c'est de la merde de bosser, de tondre la pelouse putain, fait chier.
mais t'as pas le choix, fallait pas que tu te fasses prendre. t'assumes les conséquences de tes actes. pourtant t'as fait de la taule, tu devrais déjà avoir payé ta dette. mais ton daron pense pas comme toi, il veut pas que tu replonges dans tes conneries, alors il a fait des pieds et des mains pour te trouver ce job de merde. il sait pas lui, que t'as pas changé. tu fais croire, tu joues au gamin qu'a la tête sur les épaules, qu'a murit, mais c'est faux. t'es toujours un p'tit con, et la nuit tu continues tes conneries. tu voles des bagnoles et t'envisages même de faire un cambriolage. peut-être qu'ici tu pourrais chiper deux ou trois trucs, ces bourges ont tellement de choses qu'ils s'en rendraient même pas compte. mais tu peux pas risquer de faire ça, parce que la daron comprendrait un jour que t'as menti, que t'es loin d'avoir changé. alors tu prends sur toi, tu fermes ta grande gueule et tu tailles les haies. t'aime pas tes patrons, ces connards qui pètent plus haut que leur cul, ils t'regardent comme si t'étais une pauvre merde, un esclave sous leurs ordres. ouais, c'est pas faux, mais t'aime quand même pas ça. puis la daronne, grosse bourgeoise qui scintille de diamants, tu vois bien qu'elle te lance des regards, qu'elle aimerait faire de toi son nouveau joyaux parfois, qu'elle voudrait te mordre, cette croqueuse de diamants. et tu dirais pas non, t'as toujours eu envie de te taper une milf, une femme mature et mure dans sa bonne vie de famille mais qui cherche du piment pour l'exciter. sauf qu'encore une fois, faut pas que tu prennes le risque de perdre ce job à la con.
pourtant parfois, la tentation te chatouille. pas concernant la reine, mais plutôt la princesse. la gamine rebelle qui te cherche. ses formes te font bander rien qu'à y penser. vous vous parlez pas trop, mais y'a les regards qui trompent pas. toi, t'as envie de te la faire, de la faire gueuler dans sa propre cuisine, qu'elle couine alors que papa et maman seraient pas loin. tu le caches pas, tu retiens pas tes regards qui se posent sur elle. et tu sais qu'au fond, cette pimbêche aussi elle veut ton corps. elle peut pas dire le contraire, même si elle le fait. tu l'as déjà vu te mater en se mordant la lèvre, la p'tite pucelle qu'elle est.
et c'est ton objectif maintenant, tant pis pour le boulot, tant pis si tu prends le risque de tout perdre. parce que cette nana, c'est pas l'une de celles que tu peux attraper facilement en boite. elle est du level au dessus, et ces décibels doivent rendre fou. alors tu sors le grand jeu, tu t'fou torse nu en coupant les haies. tu transpires parce qu'il faut chaud, mais t'aimerais avoir chaud pour autre chose.
chaque chose en son temps, faut clamer paupaule, ça viendra.
quand tu finis, tu passes une main sur ton front et tu soupires. t'approches de la terrasse, y'a ton t-shirt sur un transat prêt de la piscine, tu l'avais laissé là. mais surtout, y'a la gamine qui est allongée, comme si de rien n'était, maillot de bain qui fait ressortir ses formes envoutante. tu te prives pas pour la mater. t'as pas école à cette heure-ci, princesse ? t'as prit l'habitude de l'appeler comme ça, depuis que tu bosses ici. parce qu'elle a tout d'une princesse, cette gosse de riche.
Il est toujours là lui. A faire l’esclave dans le jardin, contre quelques dollars pour payer son taff.
Liesel qui prend plaisir à l’observer de la fenêtre de sa chambre. De commenter ces moindres faits et gestes, d'essayer deviner tout ce qu’il a pu traverser avant d’en arriver là. Gamine qui se perd trop rapidement dans ses pensées, sa lèvres inférieure mordillée. Sombres sont les pensées qui la travers, sale ses souhaits devenaient. Cliché de la princesse qui aime les mauvais garçon dans lequel elle s’aventure, gamine qui comprend mieux pourquoi dans les films c’est pratiquement toujours ce même scénario. Liesel qui a une part de masochisme dans son coeur qu’elle protège trop, celle gamine qui veut toujours jouer avec le feu pour finalement fuir trop lâchement.
Il l’a vu, complètement cramé. encore une fois.
Elle descend comme si de rien était. Profiter de sa piscine comme excuse pour s’approcher. Sa mère toujours en train de mater derrière la baie vitrée. Arrêtes de baver m’man. Tu d’viens ridicule. dixit la gamine qui serait presque en train de faire tout une flaque de bave derrière la fenêtre de sa petite tour. Puis j’suis pas sûre que p’pa apprécierait que tu mates un autre gars en son absence. Et elle sent un regard noir se poser sur sa face. Elle, cette fille tout droit venue des enfers qui garde son grand sourire sur sa face. Casses-toi d’la maman. Retournes lire tes bouquins ou faire j’ne sais quoi.((laisses-moi la place, c’mec là c’moi qui le mate personne d’autre ici. )) qu’elle aurait pu dire mais ces dernières paroles restées au fond de ses pensées pour cacher son intérêt pour lui. Dernier grognement adressé et l’une des lionnes de la maison bats en retrait. L’autre disparaît dans la cuisine pour se préparer un cocktail. Lunettes de soleil sur le bout du nez, les verres trop teintés pour remarquer son regard dirigé dans sa direction. Mater en toute discrétion, se dorer la pilule en même temps. Allure de chienne capturé dans un snap envoyé à une de ses amies proches. Ces échanges qui ont toujours étaient présent entre elles, comme si elle se chauffait l’une et l’autre sans vraiment que ce soit le but recherché. Sourire qui ne quitte pas la commissure de ses lippes, son corps qui frissonne presque à l’approche du garçon.
son regard qui observe ses formes, Princesse qui est ce surnom donné. Gamine qui prendre l’habitude, qui aime ce quotidien partagé avec lui.
Lunettes de soleil baissé, regard méprisant lancé. Lui qui semble la voir plus jeune qu’elle ne fait. Non désolé j’suis diplômée comparé à certain. Langue claquée, air de connasse montré. T’as fini travailler au lieu d’me parler? Gamine qu’on aimerait encastré dans un mur, celle qui joue les difficile pour se faire aimer de certains. Lèvres déposées sur cette paille, le cocktail aspiré pour ramener plus de fraîcheur dans ce corps en chaleur.
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Sujet: Re: diamant brut Jeu 7 Mai - 14:04
le venin sort de la bouche de la gamine, connasse qui pète haut, qui s'pense plus précieuse que toi. mais te mens pas, tu sais qu'c'est vrai, qu'elle est plus importante qu'un connard comme toi. tu réponds pas à sa pique, mais ça fait étirer tes lèvres dans un rictus joueur. elle a trouvé un bon partenaire de jeu, parce que t'aime ça. mais tu penses pas qu'elle soit à la hauteur pour assumer les règles du jeu. puis elle t'en relance une, elle crache sa haine qui dissimule son envie. parce que tu sais, qu'elle lorgne sur tes abdos en sueur. tu vois bien son regard. ouais j'ai fini pour la journée, j'allais m'barrer. mais t'es venue te foutre à côté d'mon t-shirt. tu parles mal, pourtant elle aussi, c'est ta supérieur. fille de la famille qui t'engage, tu peux pas se permettre de parler comme ça au daron. mais à la princesse, tu te gênes pas. tu t'en fou. puis tu s'dis qu'elle aime ça, d'être mouvementé dans les paroles de cette façon.
alors tu t'penches, attrape ton haut sans pour autant l'enfiler encore. y'a le regard qui quitte le visage pour descendre sur ce maillot de bain bien trop sexy. si t'avais pas l'habitude de ce genre de corps, tu banderais déjà. c'est joli ton bout de tissu. ça irait bien à une vraie femme. lui aussi il peut se montrer piquant.
Vipère crache, princesse pense péter des paillettes. Il y a ce jeux entre eux, ce jeu trop dangereux.
Blondinette qui se décale légèrement pour regarder l’état du jardin, elle cherche la moindre erreur dans son travail mais elle ne s’y connait pas. Elle n’a aucune excuse de le retenir ici encore pour l’admirer en secret. C’tout? T’es payé pour faire limite rien? elle finit par siffler comme un serpent. Remets ton torchon, tu pollues ma vu.(( ne le remets pas, laisses-moi continuer de fantasmer. )) les échanges qui peuvent être tranchant pourtant cette tension qui est si différente de celle de deux êtres qui pourraient se détester.
il se penche trop près, beaucoup trop près d’elle. elle aurait presque le souffle coupé.
A une vrai femme qui la fait doucement ricaner. goût d’amertume qui s’invite dans le fond de sa gorge. C’quoi une vraie femme pour toi? Une meuf que t’arrives à mettre dans ce que t’appelles ton lit? Liesel qui se doute bien, que les proies doivent être facile à chassée pour lui. Gamine qui se relève pour se mettre plus près. Joues avec le feu, gamine. T’as plutôt l’air d’être un chien qu’un homme. coin des lèvres doucement étiré, ses lunettes de soleil retiré pour l’affronter. Affronter lui et son regard qui pourrait l'envoûter. Ça s’voit sur ta face que t’serait l’premier à chopper l’Sida en baisant la première venue. Qu’t’es comme ce qu’on dirait une pute. l’insulte trop souvent réservée au femme, un masculin qui n’existe pratiquement pas pourtant souvent récurrent. Face à lui, elle s’est placée. De bas en haut, elle l’a à nouveau regardé. J’sais même pas comme tu fais pour attirer des nanas, tu ressembles à rien. le mensonge qui ressort, lui pourtant l’a cramé en train de se mordiller la lèvre. Ses pensées qui crie au mytho parce qu’elle y repenses encore à ces scénarios sales qu’elle s’est imaginée.
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Sujet: Re: diamant brut Jeu 7 Mai - 15:56
tu dis rien. rien de rien. tu la laisses t'enchaîner avec ses piques odieuses. cette connasse qui rit de ta vie. mais tu perds ton sourire au fur et à mesure que la vipère crache son venin. elle dit des mots dont elle ignore l'impact. parce que toi, tu sais c'que tu vaux, tu sais c'que tu fais. ouais, tu baises beaucoup de meufs, ouais t'as surement déjà chopé des trucs. et elle te traite de pute, cette prude. mais toi, t'es pas du genre à trop clasher avec des mots. pour toi le jeu est plus violent, plus physique que ça. elle veut jouer à la guerrière, elle est face à un vrai guerrier. alors t'attend qu'elle termine, puis t'attrape son bras, fortement, brusquement, tu t'en fou de faire mal. tu plaques la gamine contre le mur, une main qui tiens les deux siennes sur le haut de sa tête, la seconde collée à sa hanche. elle peut plus bouger. tu peux faire d'elle ce que tu veux. tu pourrais même la forcer à se faire baiser. t'as presque le front collé contre le sien, tandis que ta main agrippe sa hanche. fait pas trop la belle, princesse, tu joues pas dans la cour des grands. moi si. tu sens que son souffle saccade. tu crois qu'elle a peur, et qu'elle est excitée en même temps, parce que t'es certain qu'aucun homme n'a jamais été aussi proche d'elle comme ça. tu te penche vers elle, fait écraser ton torse contre sa poitrine pour murmurer à son oreille. traite moi encore une fois de pute, et c'est toi qui deviendra la mienne. tu relève la tête, la regarde dans les yeux. sur le coup, t'as l'oeil mauvais, dangereux. t'es pas un gentil garçon qui se rabaisse. si elle fait trop la maligne, t'auras pas de scrupule à la remettre à sa place avec des coups.
mais là tu fais rien, tu veux juste faire peur, et exciter. t'es le danger qui lui plait. t'es l'indomptable qu'elle doit apprivoiser. et tu la lâches, la laisse presque tomber, tandis que tu t'éloignes, prend appuie sur un siège en la regardant. tu parles beaucoup, mais t'aimerais être à la place de toutes celles dont j'baisse la culotte.
Les mots tranches, trop blessants. Liesel semble avoir touché une corde sensible.
C’est dans ses habitudes mais gamine oublie ses origines, elle oublie qui elle était avant son arrivée. Sa vie de galère qu’elle a dû traverser. De toutes ces idées eut pour éloigner la crise à la maison. Tous on fait des sacrifices sauf elle, ça la rongeait avant, ça la brisait. Elle oublie ces moments où elle était prête à se perdre dans l’illégalité pour remplir les trésors de la famille, celle qui aurait pu vendre son corps à des personnes pour gagner de l’argent. Pourtant aujourd’hui, son corps elle l’utilise au profit des marques, non salit mais embelli sur les posts instagram. Mais c’est devenue une habitude à Liesel, d’oublier d’où elle vient, de cacher ce type de vérité. Violence s’abat sur elle. Elle ne saurait dire quel sentiment est en train de la parcourir. Peur ou excitation qui se sont mélangé pour faire battre son coeur. Ce rythme saccadé qui se montrait dans sa respiration affolé. Coincée, elle est. Gamine s’est mis à se dandiner pour tenter de se faire lâcher, pas assez pour arriver à se libérer. (( tu pourrais faire de moi ce que tu voudrais, si je n’avais pas autant de fierté. )) qu’elle pourrait lui chuchotait, mais fierté l’en empêche. Hors de questions qu’il pose ses mains sales sur sa peau écarlate. L’inexpérience qui repousse toute idée de terminer avec lui, la honte qui la parcours de n’être encore une pucelle qui rêve de sexe.
Et son regard la transperce. Liesel qui réveille la bête. Gamine relâchée après cette menace murmurée.
L’emprise sur ses poignets, ce toucher sur sa hanche que la mémoire décide de lui laisser. C’était comme si il continuait de la toucher. Elle ne pouvait pas le nier, être à la place de certaines filles, elle rêvait. Quoi? Tu crois vraiment que j’veux qu’tu m’baises? T’as craqué, mon pauvre. Désolé mais c’est pas les clodo qui m’excitent. Nombreux sont les signes qui crament ses mensonge, qui mettent au défis sa fierté trop montée. Si tu crois que tes menaces m’font peur, tu peux t’foutre le doigt dans l’cul. Rappelles-toi de qui j’suis. Dis-toi que j’peux te pourrir la vie. l’enfer qu’elle pourrait promettre si on la cherchait, l’argent qui s’en sort trop facilement pour faire tomber les obstacles sur leurs passages.
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Sujet: Re: diamant brut Jeu 7 Mai - 17:39
t'as relâché, t'as voulu éduquer mais la gamin semble pas vouloir apprendre la leçon. elle range pas les griffes et veut lacérer ta peau avec ses mots. c'qu'elle comprend pas c'est qu'elle, elle aura bientôt les marques sur sa peau, pas avec des mots. si elle continue, elle l'aura cherché. le clodo siffle jusqu'à tes oreilles, et t'approches, le poing qui se serre. mais elle menace, la petite salope. et c'est la vérité qui claque. elle peut t'envoyer à la rue, te faire virer si elle va pleurer dans les jupes de sa daronne. mais l'truc, c'est qu'toi tu peux carrément lui retirer, la jupe à la daronne. tu m'menaces là ? tu t'es rapproché, mais tu la touches pas. tu surplombes la nana de toute ta hauteur, tu la foudroie du regard. t'es proche, beaucoup trop proche d'elle. tu sens son souffle sur toi. toi aussi tu peux être un serpent.
alors t'attrapes une nouvelle fois sa main, brusquement toujours, et tu la plaques contre toi, fortement, fermement tu la maintiens contre ton corps. y'a ta seconde main qui prend son menton, force la gamine à relever ses yeux dans les tiens. tu sais pas avec qui tu joues, princesse. elle te fout en rage, t'as envie de lui briser la nuque. mais t'as encore plus envie de poser tes mains sur son corps, de l'attraper ici même, sauvagement. apprend à rester à ta place. tu peux rien contre moi. si tu tentes quoique ce soit, j'aurai juste à allé voir ta mère pour la convaincre de me garder. et j'te promets que j'ai de bons arguments.
Gamine pas du genre à se laisser faire, le boucan qu’elle crée pour rendre fou certains. Tempête tout droit venue des enfers.
Grande gueule protégée par l’argent, lui qui fait d’elle la gagnante. Sa petite gueule qu’elle pourrait fracasser par une enveloppe remplie de dollars à des gens qui le ferait à sa place. Rapide et efficace, gamine qui n’a aucunement besoin de se salir les mains pour accomplir des tâches. Souffles mêlés, les regards noirs plongés. (( prends-moi )) qu’elle souffler dans le fond de ses pensées. La distance qu’elle aimerait réduire, se laisser emporter, elle voudrait. C’est tendu, beaucoup trop tendu mais cette tension fait presque valser son coeur. Tirée contre lui, gamine ne cherche point à se débattre. Seul son sourire insolent vient se dessiner sur son visage de poupée. Son regard enragé qu’elle maintient. (( Si il cherche une once de peur dans mon regard qu’il aille se brosser )). Ses faiblesses qu’elle sait cacher, à jamais elle sera là pour l’affronter malgré sa colère qui pourrait la briser. Pas besoin de connaître son adversaire pour l’écraser Et pourtant elle connaît des failles pour le faire redescendre. Il se sent invincible grâce à la reine qui serait son bouclier. A sa façon de le regarder, Liesel sait qu’elle serait prête à tomber sous les draps aux côtés de ce garçon. Rictus sur le coin de lippes. Liesel qui en riait presque. Elle rapproche sa tête de la sienne, venant presque à frôler ses lèvres. Ils sont trop près, les battements de son coeur lui font presque mal, trop mal. Tu peux la baiser, elle restera pas longtemps dans les parages. Pas sûr qu’un père accepterait d’entendre sa fille dire qu’elle a vu sa propre mère dans un lit avec un autre… On pourrait presque l’entendre rire dans ce qu’elle venait de dire, pourtant Liesel c’est la gamine capable de briser sa famille pour protéger ses membres de l’infidélité. J’imagine même pas sa rage lorsqu’il apprendra que ça pourrait être toi. Parce que le père il voit presque un fils en ce jardinier. Sa main venant doucement se glisser sur le torse du garçon afin de pouvoir doucement le repousser. J’vais être gentille et te donner un p’tit conseil le clodo… qu’elle commence à balancer. Ne te surestime pas trop, j’ai l’impression que t’as pas compris à qui tu as en face. léger haussement d’épaules et la gamine replace ses lunettes sur le bout de son nez.
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Sujet: Re: diamant brut Ven 8 Mai - 10:51
elle se sent invincible la gamine. princesse de pique qui pourrait te planter en un claquement. t'es pas face à une pimbêche gosse de riche. elle veut jouer, elle a du caractère et c'est peut-être bien pour ça que t'as envie de te la faire. parce qu'elle est électrique la nana, toi autant que toi. pourtant tu sais bien qu'elle survivrait pas deux minutes dehors, dans la rue. et alors que ton visage se ferme à mesure de ses mots, finalement y'a le sourire qui se dessine de nouveau. ouais, j'crois comprendre que j'suis face à une tigresse. tu la laisses se détacher et replacer les lunettes sur le nez. la langue passe sur les lèvres tel un prédateur, t'as envie de la dévorer. mais elle mérite une leçon, celle qui se croit plus forte que toi. alors t'es pas tendre, t'attrape son bras, la soulève facilement pour la porter comme une princesse contre toi. tu m'plais bien, princesse. mais j'aime pas trop les nanas qui sortent les griffes trop souvent. tu fais un clin d'oeil, et la balance sans vergogne dans la piscine. trempée, la minette. et lui toi tu souris. t'attrapes ton t-shirt que tu remets et tu commences à t'éloigner, à partir. t'as fini ta journée, et en plus, t'as mouillé la p'tite connasse. un jour, tu le feras mouiller autrement.
Tigresse qu’il fait rimer avec princesse. Liesel qui voudrait lui rugir dans l’oreille, montrer cette excitation qui monte en elle.
Les griffes de sorties, demoiselle égratigne le garçon de ses mots pour l’arrêter. Elle a comme cette impression de gagner, dans sa tête cette petite guerre vient de se terminer. Il résiste, beaucoup trop. Jamais il la laissera avoir le dernier mot, ça l’énerve. Son bras qu’il attrape à nouveau, demoiselle qui s’est mise à souffler. Marre d’être tirée trop près de lui, marre d’avoir ce coeur qui bat trop fort et trop vite jusqu’à lui faire mal à la poitrine. Quoi qu’est… pas le temps de finir, qu’il s’est mis à la porter. Elle avait baissé sa garde trop tôt.Lâches-moi! ses mots qu’elle ignorait, la gamine qui s’agitait pour qu’il la fasse tomber. Elle s’était presque mise à gueuler. Reposes-moi putain! mais en vain. Les insultes en allemand qu’elle s’est mise à lui cracher en pleine figure. Son regard qui observe vers l’endroit où il la transporter. N’y penses même pas! L’eau qu’elle finit par rencontrer. La fraîcheur de la piscine qui vient faire baisser la température de son corps enflammé. Et lui il tente de s’éclipser. Liesel qui se met à grogner, avant de se dépêcher de récupérer ce pistolet à eau qui traînait. Il était chargé, mais l’eau s’est réchauffée par les rayons du soleil qui tapaient. Hé l’clodo! qu’elle interpelle pour le faire tourner dans sa direction. Apprécies cette petite douche! et la voilà viser sa petite gueule pour se venger. Lorsqu’il est vidé, elle l’a balancé, puis elle s’est tournée pour récupérer une serviette afin de se sécher. Elle pouffe de rire dans son coin, presque comme une enfant trop fière d’avoir pu avoir le dernier mot. C’est du coin de son oeil qu’elle regarde le garçon, sa main remettant l’une de ses mèches trempée derrière son oreille. Elle aurait presque envie de rougir, la gamine. De foncer sur lui joindre ses lèvres aux siennes.
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Sujet: Re: diamant brut Ven 8 Mai - 11:37
chatte hurlante, chatte trempée, elle beugle d'être mouillée. et ça t'fais marrer, tu souris dans ton coin, commençant à partir alors que t'entends qu'elle s'agite dans l'eau. quand elle t'appelle, t'es trop curieux alors tu te retournes, et te prends de l'eau dans la gueule. bien rappliqué, que tu penses. elle a réveillé l'instinct joueur en toi, et lorsqu'elle sort de l'eau, tu t'approches d'elle, tu retires ton t-shirt que tu lâches, laisse tomber au sol. y'a ta main qui se pose sur sa joue. y'a ton regard malicieux qui brille. tu veux jouer, princesse ? alors on va jouer. de nouveau tu l'attrapes. adieu le torse chaud, c'est un sac à patate, sur ton épaule, que tu la fout. tu lui claques même une fesse, fortement. ((j'fais de toi ce que je veux)) que tu pourrais dire. mais tu te tais. à la place, tu plonges dans la piscine, avec elle toujours sur toi. vous deux dans l'eau, elle n'est plus sur ton épaule, et y'a tes mains qui attrape ses hanches, tu la tires vers toi, pose ton front contre le sien, la bloque contre le bord de la piscine. j'pourrais te dévorer, la maintenant. que tu murmures dans le creux de son oreille, tu viens y replacer les mèches de ses cheveux trempés. tu viens, presque, déposer tes lèvres dans son cou avant de te redresser, de la regarder. tu frissonnes. t'as froid où je te fais cet effet ? dis que c'est moi, et j'attendrais pas pour frissonner avec toi. t'as envie d'elle, là.
Faut que Liesel apprenne à abandonner, mais c’est comme lui demander d’arrêter les réseaux. Elle ne le fera jamais.
Elle l’a provoqué, encore et encore. Il s’est rapproché. Casses-toi. qu’elle lui a balancé mais il y a ce manque de signe de défense. Sa main sur sa joue, cette fois-ci il y a ce brin de malice qui les lie. Portée de façon vulgaire, ses pieds qu’elle met à agiter. Recommences pas merde! des petits coups poings qu’elle dépose sur son dos. Sa main qui claque sur l’une de ses fesses, elle s’est mise à hurler. Elle a kiffé. Mais t’es malade! La sienne qui vient claquer son dos nu pour se venger. A nouveau envoyée dans l’eau, accompagnée cette fois. La tasse qu’elle a bu, l’étouffement qu’elle subit lorsqu’elle ressort. Pas le temps de répliquer qu’il l’a attrapé pour à nouveau la coincée. Il ne restait qu’un mouvement pour l’embrasser, mais ça n’allait pas être Liesel qui allait se lancer. Trop de fierté. (( c’pas le moment de se laisser aller. )) qu’elle s’est mise à se crier.
Fichue, elle était. la chaleur de son corps qui revient à celui d’une flamme de l’enfer. Le souffle plus fort, beaucoup trop fort lorsque le sien caresse sa peau.
Elle en frissonne, lui offrirait presque son corps. Pommettes colorées, son regard le fuit. Trop honte de l’effet qu’il lui fait. Arrêtes de rêver, j’ai juste froid.((si tu savais à quel point je veux que tu frissonnes avec moi. )) Liesel qui sait qu’elle est différente des autres filles qu’il a pu baiser, trop inexpérimentée pour ce type de garçon qui aujourd’hui la fait craquer. Ses mains qu’elle écarte pour se libérer. Le dégoût qui l’envahit dans le fond de ses pensées. Dégoût de se retenir par ce secret trop caché pourtant elle n’a fait aucun pacte de chasteté. Elle s’éloigne doucement, elle ne se retourne pas parce qu’elle a peur la gamine. Peur de montrer tout ce qu’elle essaie de lui cacher. Tu peux m’toucher avec tes yeux, mais pas avec ta bite p’tit clodo. J’serais jamais une de tes chiennes, laisses tomber.
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Sujet: Re: diamant brut Ven 8 Mai - 13:37
y'a le rouge sur ses joues, tu le vois et ça te plais. la couleur lui va si bien, à cette princesse épine. pourtant elle se retire, elle te fuit, se barre de tes bras et tu la retiens pas. tu te tournes, suit ses mouvements de tes yeux dévoreurs. et y'a ce sourire qui s'étire sur tes lèvres lorsqu'elle promet ne jamais devenir l'une de tes chiennes. tu vas relever ce paris, tu la feras couiner de plaisir cette chatte, tu l'sais bien. tu l'veux.
toi aussi tu quitte l'eau, sors de la piscine et attrape ton haut. t'as pas répondu directement, t'as juste haussé les épaules. t'es un con bowie, tu prends les filles faciles et tu baisses les culottes pour y enrouler ta teub. mais avec elle, les choses sont différentes. elle se penche pas pour que tu rentres, elle ferme l'accès même si elle veut le contraire. c'est un challenge cette nana, la princesse intouchable. et t'aime ça. j'veux pas qu'tu sois l'une de mes chiennes, princesse. tu veux plus que ça avec elle. pas une relation sérieuse, t'en es pas là. mais tu veux pas l'oublier dès le lendemain. pas elle. pourquoi t'assumes pas ? j'sais bien que tu veux que j'dévore tes lèvres. le sourire joueur se fait. tu la mets au défi, la gamine. t'as peur de quoi, que ton daron nous surprenne et qu'il soit déçu de sa fille parfaite ?
Faut qu’il parte, qu’il s’éloigne de son coeur, de son corps. Ce corps qui la trahit, qui balance à la poubelle tous les mythos pour le résister.
Les pommettes colorées qui viennent lui faire monter la colère en elle. Ca lui casse la tête, ça la saoule de devoir se sentir tellement vulnérable devant une personne qui ne devrait pas la voir ainsi. Liesel qui voulait celle qui gagnait, venait presque de montrer le chemin de la victoire au garçon. Elle continue de cracher pendant sa fuite. Loin de lui, fallait qu’elle se retrouver. Loin de la tentation, qu’elle allait. Se retourner qu’elle n’ose plus, ses yeux émeraudes dans lesquelles elle ne veut plus être hypnotisée. Pourtant il y a ses mots qui l’interpelles, des millions de question qui se posent mais l’une qui gueule dans sa tête. (( Tu veux quoi alors? )). Mais la vérité qu’elle veut éviter parce qu’elle sait que c’est pas forcément une bonne idée. Elle hausse les épaules, comme pour montrer qu’elle s’en fout de ce qu’elle lui raconte. Il continue, il la cherche, la met au défi. Fermes ta gueule, tu sais rien du tout l’clodo.(( Fermes-la, t’en sais trop surtout.)) Et son corps qui s’arrête devant la baie vitrée, son regard brun presque noirci qui l’observait. Fille parfaite, qu’elle était loin de l’être. Elle qui acharne sa tempête sur ses parents. Nombreux sont les échanges violents dans une symphonie allemande qu’elle a pu avoir avec eux. Et son majeur qui se lève dans la direction de Bowie, ce sourire forcé qui s’étire sur ses lèvres rosées. Si tu crois que me mettre au défi va m’faire sauter dans tes bras, tu peux garder ton doigt dans ton cul. J’veux rien avec toi, casses-toi. Puis ses bras se croisent, son pied tape le sol d’un rythme lent. Un rythme qui se lie à son impatience. L’impatience de le voir partir pour faire calmer ses ardeurs, se libérer de ses pensées impures. Elle veut tenter de l’oublier, lui et surtout cette journée.
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