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 Fucking bitch (Mayroe)

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MessageSujet: Fucking bitch (Mayroe)   Fucking bitch (Mayroe) EmptyMar 30 Avr - 18:45

Fucking bitch_
Tu sais pas trop ce qui t’as pris de jouer les chevaliers servants, Monroe. T’étais en train de boire un verre au bar, tranquille, quand tu l’as vu entrer dans l’établissement. Tu l’as repéré assez vite mais faut croire que t’as pas été le seul, puisqu’un type s’est pratiquement jeté sur elle. Pas mal, fin de vingtaine début de trentaine, le genre assez propre sur lui, et t’as trouvé qu’ils allaient plutôt bien ensemble. T’as continué ta petite vie de ton côté sans plus y faire attention, t’as consommé, comme à ton habitude, verre de verre après verre de scotch mais faut croire que t’as trop l’habitude pour que ça t’imbibe réellement, comme si ton corps commençait à s’habituer aux effets de l’alcool, ou mieux même, à les anticiper. A un moment, le barman a commencé à te parler. C’est pas les clients qui sont censés se confier au mec derrière le bar et pas l’inverse ? Tu l’as écouté distraitement en hochant la tête de temps en temps, l’esprit de plus en plus embrumé. Il te parlait de sa fille, ou peut-être de sa femme, t’as pas tout capté. Faut dire que t’en avais rien à foutre aussi, t’avais les yeux rivés sur cette nana qui souriait en acceptant les verres qu’on lui payait et se laissait embarquer sur la piste de danse sans jamais broncher. T’avais plus les yeux sur son petit cul moulé dans sa jupe que sur son visage, mais c’est qu’un détail. Et puis la foule s’est agglutinée autour d’elle et tu l’as perdu de vue, tant pis. T’as continué à écouter le barman bavasser pendant un moment sans jamais réagir, comme s’il parlait à un mur, bien qu’il ne semblait pas s’en rendre compte. Puis t’en as eu marre et tu t’es barré. T’as jeté un billet sur le comptoir, pour le pourboire il ira se faire voir t’as passé vingt minutes à écouter ses conneries, et t’es sorti, la clope déjà prête entre tes lèvres. C’est là que tu l’as vu de nouveau, la nana de tout à l’heure, celle avec sa petite jupe.

Elle se tient droite et a le regard brûlant mais tu vois bien qu’elle est pas sereine, que ce type l’impressionne, et y a de quoi au vu de sa carrure. Il se penche vers elle mais elle le repousse, une fois, deux fois, puis trois et il commence à s’énerver. Y’a sa main qui se lève au-dessus de sa tête, prête à s’abattre sur elle à tout moment et tu sais pas pourquoi t’interviens, après tout, ce ne sont pas tes affaires. Putain, fais chier. Avant que tu ne comprennes ce qui t’arrives, t’es derrière le type, une main fermement accrochée à son poignet, l’autre dans ses cheveux pour le maintenir en place, tu le fais tourner sur lui-même et l’envoie valser dans l’énorme benne à ordure qui se trouve là. Il s’écrase dans un boucan assourdissant et ne se relève pas, soit il est sonné, soit il s’est endormi. Dans tous les cas, tu t’en branles. Et puis vous discutez un peu elle et toi, tu prends de ses nouvelles sans savoir pourquoi et vous vous présentez. Elle c’est May, toi c’est Monroe. Un petit sourire échangé et tu te proposes de la ramener chez elle, parce que les rues de Détroit ne sont pas sûres la nuit. Tu te gardes de lui préciser qu’elles ne le sont pas le jour non plus, mais une chose à la fois. Tu finis par la déposer devant chez elle, une vieille baraque dans Delray puis reprend la route de chez toi. Enfin de chez toi, d’un squat assez calme où t’as l’habitude d’aller. En cours de route, ta main vient tâter la poche de ta veste et tu rencontres un vide inhabituel. Dans l’autre, ton arme est toujours là. Dans ton jean, y a toujours ton portable et tes clés, celles de ton casier à la gare. Mais t’as beau chercher ton portefeuilles partout, impossible de mettre la main dessus alors tu jures et fais demi-tour en plein milieu de la route, faisant crisser les pneus sur le sol. Cette petite pute m’a volé. Et soudain, tu regrettes de l’avoir aidé tout à l’heure, t’aurais dû laisser l’autre abruti s’amuser avec elle. Sale garce. Arrivé devant chez elle, tu la trouves à sa fenêtre en train de fumer. — Hey pétasse, j’crois que t’as un truc qui m’appartiens ! La rage qui commence à monter et la honte de t’être fait rouler par une nana.
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Meadbh Driscoll
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MessageSujet: Re: Fucking bitch (Mayroe)   Fucking bitch (Mayroe) EmptyMer 1 Mai - 23:07

Des soirées comme celle-ci, tu en as déjà vécu des dizaines si ce n’est des centaines. C’est le jeu. Parfois tu t’en tires bien, d’autres fois, tu as moins de chance et tu tombes sur la mauvaise personne. Sur celui qu’il ne fallait pas faire chier, celui qui n’était pas d’humeur à jouer à tes petits jeux de vilaine. Les verres se sont enchaînés, tu n’en as payé aucun mais de leur tête, en revanche, tu t’es bien payée ! En même temps, c’était un peu de leur faute aussi, s’ils te croyaient à leur portée, s’ils pensaient vraiment avoir une chance, tout ça parce que tu avais bien voulu accepter de passer cinq minutes à rire de leurs blagues entendues mille fois déjà. Par contre, passé ces cinq minutes, tu commençais à perdre patience et déjà tu songeais à la manière dont tu parviendrais à le décourager.
Tu étais devenue plutôt habile à force, mais ce soir tu étais tombée sur un coriace. Un de ceux dont il ne valait mieux pas se moquer, pile ce que tu avais fait. Et maintenant que tu lui avais fait perdre son temps, il comptait bien obtenir ce qu’il pensait être du. Toi. Ton cul sans doute aussi. Ce n’était pourtant pas dans tes intentions. Ce n’est qu’une fois qu’il le comprit que l’ambiance changea du tout au tout jusqu’à ce qu’un type intervienne.
Monroe.
Tu ne l’avais jamais vu jusqu’à présent, ni vraiment remarqué ce soir. Peut-être qu’il venait d’arriver, peut-être qu’il était là depuis le début. Tu n’en savais rien, mais les quelques mots échangés ensuite furent plutôt sympathiques. Assez pour qu’il décide de te raccompagner. C’était vraiment cool de sa part. Mais pas assez pour que la tentation soit amoindrie. C’était plus fort que toi, tu avais repéré son porte-feuille dépasser de sa poche et telle une pie, tu n’as eu de cesse d’y repenser. Est-ce qu’il le remarquerait, si tu le lui prenais ? Honnêtement, ta bonne conscience te dictait de ne pas y toucher. Puis le démon avait repris le dessus. Pas seulement celui qui adorait t’attirer des ennuis, non: il était celui qui les créait. Celui qui était capable de causer le chaos d’un rien.
Tu lui avais souhaité une bonne nuit avant de disparaître dans votre baraque sordide, son porte-feuille dans ta poche. Il ne s’était aperçu de rien. Peut-être qu’il n’en verrait rien avant demain ? Tu ne pus retenir un sourire en coin alors que tu remontais jusqu’à ta chambre. Etonnamment, la maison était vide. Samih et Daire étaient probablement sortis boire un verre, JJ se balader on ne sait où. Parfois, il ne valait mieux pas savoir ce que faisait JJ de son temps libre.
Retirant ta robe, tu en enfilais une autre, plus légère, puant un peu moins la clope. Tu jetais l’autre directement par terre avant de prendre en main le porte-feuille de Monroe. C’était fou ce que le contenu d’un porte-feuille pouvait révéler sur une personne. Dans le cas de Monroe, tu n’y trouvais rien d’exceptionnel. De l’argent, un joint, un sachet contenant probablement pas du sucre en poudre et une vieille photo écornée.
Machinalement, tu coinçais son joint entre tes lèvres et regardais de plus près la photo d’un couple avec leur enfant. Tu souris doucement avant de la remettre à sa place puis sans gêne, tu t’installais sur le rebord de ta fenêtre en t’allumant le joint. Une voiture ne tarda pas à débouler au bout de la rue et vu la manière dont elle s’arrêta sous ta fenêtre, tu te doutais bien de ce dont il s’agissait. De qui il s’agissait.
Tu souris en coin, pas gênée par la situation.
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MessageSujet: Re: Fucking bitch (Mayroe)   Fucking bitch (Mayroe) EmptyLun 6 Mai - 9:15

Fucking bitch_
Il te faut un petit moment pour que tes yeux fassent la mise au point, mais c’est bien elle, cette garce qui t’a dérobé. A croire que c’est devenu une habitude chez moi. Mais pourquoi tu l’as aidé aussi, pourquoi il a fallu que t’ailles te mêler de ça ? Ça te fout en rogne rien que d’y repenser. La violence contre les femmes, ça a toujours été une limite que tu t’es promis de ne jamais franchir, tu sais pas trop pourquoi. Peut-être pour prouver à tes défunts parents que même si t’as mal tourné, t’es pas forcément un cas désespéré ? Peut-être aussi pour ne pas blesser ta tante, la seule famille qui te reste ? Pour Anca, celle qui essaye tellement de t’aider, faisant passer le bien-être des autres avant le sien ? Ou tout simplement pour toi, pour ta conscience ? Parce que t’as pas envie de devenir ce genre d’ordures. Pourtant, ça te dérange pas de foutre sur la gueule d’un mec jusqu’à l’envoyer à l’hôpital, ça te dérange pas non plus de vendre de la merde à des petits jeunes dont l’espérance de vie est réduite de moitié à cause des risques d’overdose. T’es pas un saint Monroe, non, t’as rien d’un saint. Mais frapper une femme, c’est un truc que t’as encore jamais fait. Et pourtant, cette garce parvient à te faire remettre tes principes en question lorsqu’elle te sourit et que tu reconnais ton joint dans sa main. Sale pute. La colère qui monte à l’idée qu’elle a impunément fouillé dans tes affaires, et son sourire, son putain de petit sourire provocateur qui te fait monter si vite en pression que t’en as la vision floutée. Le souffle court, les joues rouges, les poings serrés, t’as presque la tête qui tourne tellement tu bous. Tu vois rouge, t’as plus aucun contrôle, et ses mots sont les mots de trop. — J’arrive, salope. T’as pas crié et c’est probablement plus inquiétant que si tu l’avais fait. T’es jamais si calme d’apparence, même en temps normal, t’as toujours l’air un peu agité, mais là, t’as franchi un palier.

Tu te pointes devant la porte et tournes la poignée. Cette connasse a vraiment laissé la porte ouverte ? Tu te demandes si c’est pas simplement ce qu’elle souhaite, s’en prendre plein la gueule. Tu cherches même pas à savoir s’il y a du monde chez elle, tu files directement vers l’escalier qui se présente à toi et gravis les marches quatre à quatre, tes chaussures faisant beaucoup trop de bruits dans le calme de la maison. T’ouvres une ou deux portes avant de tomber sur la bonne, celle de sa chambre. Et tu marches droit vers elle, les yeux noirs de couleur et les dents serrées. Tu la plaques violemment contre le mur et te penches un peu vers elle. — J’te sauve les miches et toi tu m’voles ? Tu sais pas trop si t’es déçu, en colère ou simplement étonné qu’elle fasse preuve d’autant de courage, ou de stupidité, allez savoir. D’un geste rapide, tu lui prends le joint directement des lèvres pour le porter aux tiennes et la pousser sur le côté, la faisant tomber au passage. Un scan rapide de la pièce te permet de retrouver ton portefeuille sur le lit et tu te précipites pour le récupérer. T’as envie de vérifier que tout est encore bien dedans, t’as envie de t’assurer que la photo n’a pas disparu mais tu lui feras pas ce plaisir. Tu te retournes vers elle et sourit avant de lancer, comme si vous parliez de la pluie et du beau temps. — Tu sais qu’j’ai envoyé des gens à l’hôpital pour beaucoup moins que ça ?Tu tires une longue bouffée sur ton joint et recraches lentement la fumée. — Donnes-moi une bonne raison de pas t’refaire le portrait. T’es passé de la rage à un faux calme étonnement vite, et tu sais ce que ça signifie chez toi. Tu la sens monter doucement cette crise qu’elle vient de déclencher, l’agressivité qui se répand dans tes veines, ce sentiment de puissance qui prend lentement possession de toi, et ces changements d’humeur beaucoup trop brutaux. T’es malade depuis assez longtemps pour savoir quand ça va arriver, mais dans le cas présent, t’en as rien à foutre, elle l’a bien cherché après tout. Elle vient de dégoupiller une grenade qui risque de lui exploser au visage à tout moment.
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MessageSujet: Re: Fucking bitch (Mayroe)   Fucking bitch (Mayroe) EmptySam 11 Mai - 15:50

Tu n’avais pas toujours eu ce coup de main, mais c’était à force de t’entraîner que tu avais finis par gagner cette agilité et surtout, cette discrétion. Tu tirais toujours une grande satisfaction quand tu parvenais ton coup même si demeurait toujours une petite déception aussi, quand tu t’apercevais qu’ils avaient été assez bêtes pour s’être laissés avoir. Parce qu’au fil du temps, tu t’étais enhardie, tu ne t’en prenais plus seulement aux crétins qui tentaient de te baiser. Non, maintenant tu t’en prenais aussi à ceux qui avaient les dents longues et assez de folie au fond des yeux pour te broyer la main pour cet affront. A croire que tu aimais flirter avec le danger. Peut-être même que tu le défiais, à ta manière. Tu ne te souciais plus vraiment de ce qui pouvait t’arriver. En fait, tu n’y pensais même pas. Tu te fichais des conséquences, tout ce que tu voulais, c’était vivre une fois de plus ce petit frisson d’effroi qui repoussait jours après jour tes limites.
Monroe en avait fait les frais. Tu n’étais pourtant pas assez conne pour t’imaginer qu’il ne s’apercevrait de rien et qu’au petit matin, il aurait déjà oublié ton adresse. Non, tu savais très bien qu’il saurait te retrouver et ça ne te dérangeait même pas. Peut-être que c’était même un peu le but, rendre les choses plus compliquées, peut-être même plus personnelles. Parce que ce soit, tu savais que tu n’avais pas seulement piqué sa confiance. Tu avais aussi piqué dans son égo. Les nuits n’étaient pas sures à Détroit, il l’avait dit lui-même, tu n’as fait que lui confirmer ses dires. La prochaine fois, il n’aurait qu’à faire un peu plus attention aussi ! Le pire, c’est que ça t’amusait vraiment.
Tout comme tu refusais de céder à la peur ou à l’appréhension quand le brun sauta hors de sa voiture, furieux. A la réflexion, tu aimais bien cette chambre avec une vue imprenable sur la rue. Tu pouvais narguer la Terre entière depuis ta fenêtre. Et tu ne t’en privais pas alors qu’il gueulait en bas. La peur ne vint toujours pas alors que tu provoquais un peu plus encore en lui suggérant de se débrouiller tout seul, pour récupérer son bien. Il arrive. Ok. Qu’il vienne donc.
Tu tires juste un peu plus sur le joint et tu laisses la douce sensation de flottement t’encadrer lentement. C’est bon, le soir, avant d’aller te coucher. Ça rendait tes nuits encore plus douces. Mais tu n’allais pas t’endormir tout de suite, à moins qu’il ne veille à ce que tu le fasses définitivement. Tu le saurais très vite. Ses pas résonnent dans toutes la baraque branlante et tu te dis que tôt ou tard, l’un de vous finirait par passer à travers le plancher.
Il finit par te trouver et tu ne réagis pas vraiment à son approche, même s’il te fit voir le mur de près. C’était douloureux mais toujours moins que les dernières fois que tu avais rencontré un mur. Seven avait eut moins d’égard lui. A sa question, tu te demandes s’il s’attend vraiment à une réponse. Est-ce qu’il y a un bon moment pour voler des gens ? Tu ne réponds pas tout de suite et il reprend son bien avant de te libérer. Tu te contentes de retirer le débris de plâtre contre ta joue. Tu ne te redresses pas tout de suite, le regardant sauter sur son porte-feuille avec un regard victorieux à peine dissimulé. Je sais ce que tu caches.
A sa question, tu finis par te redresser. « Et moi j’ai déjà survécu à pire que ça, c’est pas grave » Un peu plus et tu accepterais ses excuses ! On t’a frappée, brûlée, étranglée avant ça. Il ne gagnait pas le grand concours des sévices, hélas. D’un pas tranquille, tu allais t’installer au bord de ton lit, près de lui, ton regard bleu dardé calmement sur lui. « Je ne t’ai pas vraiment volé en plus, je ne t’aurais pas donné mon adresse sinon »
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