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 bleu amer --

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MessageSujet: bleu amer --   bleu amer -- EmptyJeu 25 Juil - 2:13

blue baxton_
ft. dylan rieder
“ Whisper in my ear, put me in a trance_ ”

nom_ baxton, d'une mère qui l'a laborieusement extirpé de son ventre sans aucune aide. banalité, sans fard, sans classe, sans chic, un nom qu'on oublie vite, comme il pourrait en exister cent sans qu'ils n'aient entre eux aucune parenté de sang. il aurait bien pris le nom du paternel pour peu qu'il ait la moindre idée de sa tronche et de son blase, mais non, aux grands abonnés absents. un type rencontré une nuit moite, qui a su profiter de sa mère, trop rond pour se soucier des conséquences potentielles de sa petite sauterie. pas de honte à avoir, c'était cherché et trouvé des deux côtés, elle s'est pas faite prier pour écarter les cuisses et elle a accueilli cette grossesse comme la fin de sa vie de solitude, sans se douter qu'elle enfanterait d'un gamin incapable d'être un éternel tanguy, qui prendrait la tangente à la moindre occasion. prénom_ecchymose transmise, elle aspirait à une douceur poétique, nourrissant la croyance que le choix du prénom pouvait infuser un tempérament douceureux à son chérubin, et c'est tout l'inverse ici. blue, sans aucune prose délicate, un prénom qui a à peine le temps de rouler sur la langue que déjà il est craché, expulsé dans l'air, et qu'il marque de sa couleur, marbrure dans l'épiderme et dans la mémoire. blue, comme un mensonge sur l'oiseau qui porte ce prénom, on pourrait presque s'attendre à un gamin sage, quoiqu'à la mère un peu excentrique pour pareil choix. prénom longtemps rejeté, maudit, vomi sur les bancs de l'école quand ça riait en l'appelant tour à tour red, yellow ou boo. et puis un jour, revanche sur cet héritage bileux, il l'a accepté, en a fait une signature trompeuse, riant de cette dissonance disgracieuse. un prénom doux pour un corps brute.  âge_vingt-trois années tirées sur cette terre, sans jamais trop se fouler, sans jamais les compter. il les sent pas passer, il a pas le temps, il en a déjà rien à foutre de savoir si on est mardi ou vendredi, alors tenir les comptes des années qui coulent, il s'en balance blue, vulgaire insolent qui ne jure que par le déroulé du jour en cours, pour le reste même pas certain qu'il traînera encore sa carcasse demain. ça l'émeut pas, il le donne jamais son âge, même quand on lui demande, avec cet air d'indifférence insultante, l'oeil vide, morne. peu importe l'âge, pourvu qu'on sente passer chaque bulle de brutalité gagnée avec le temps. l'expérience plus que l'âge, la flamboyance plutôt que le chiffre.nationalité_il se rêverait bien d'ailleurs mais force est de reconnaître qu'il est né sur le sol américain et qu'il en sortira sans doute jamais un pied, qu'on croit au déterminisme social ou non. lui il chante pas l'hymne, il brandira pas un foutu drapeau à l'entrée de sa maison s'il en avait une, non, il possède la nationalité mais la nation le possède pas. il est dans les chiffre, dans les quotas, mais certainement pas de ceux qui font briller le pays tout entier. des yeux qui ne voient aucune beauté dans ce titre sur son passeport : américain. dire que certains appelle ça le rêve, le pays des libertés, l'endroit où tout est possible. pour lui ça vaut pas une clope, il s'en fout comme du reste. origine_sa mère c'est pas miss america, on peut pas lui prêter du sang royal, même pas capable d'un peu d'exotisme dans ses veines. le cul vissé sur les états-unis depuis tellement longtemps qu'on se souvient pas à mémoire d'homme si dans sa famille il y a eu autre chose que de l'américain moyen, cholestérol et héroïne en supplément mais aucune chaleur du sud de l'italie ou une goutte d'earl grey britannique. non, des origines qui scandent jusqu'au bout des lippes la nation du capitalisme. eut-être que c'est ça le véritable secret. capitaliste ascendant milkshake vanille, supplément trump on the rocks, le tout passé au shakeur. il est toujours possible de broder des chimères, d'espérer que le géniteur a versé un soupçon d'ailleurs dans ce mélange sordide mais peu de chances pour que ça soit vrai, plutôt du genre beauf pure souche, patriote le dimanche avec une bière tiédasse à la main, le t-shirt graisseux et la bouche pleine de réflexions racistes ou misogynes. c'est comme ça, il fait avec, il y pense même pas. sa mère pourrait bien être la reine d'angleterre que ça lui ferait pas plus chaud au coeur, persuadé que ce qui importe vraiment c'est ce qu'on fait pas ce qu'on est, et là sa nation et ses origines n'auront pour chant que les phalanges qui craquent et pour terre la violence sous toutes ses formes.  lieu de naissance_ savannah, verrue de la georgie, c'était son terrain de jeu bien plus qu'un lieu de naissance, il se l'est pas approprié d'un vagissement mais au fil du temps. aucun amour pour ce trou plutôt qu'un autre mais c'était un terrier dont il connaissait par coeur le moindre dédale au moins. il savait comme une vieille pute qui tire les cartes à quel moment il valait mieux rentrer rien qu'à l'atmosphère de l'air. il connaissait la moindre nuance du bitume, aussi bien pour l'avoir goûté plusieurs fois que pour y avoir écrasé la sale tronche de quelques types agaçants. dans le fil logique de sa vie, ça aurait du être son tombeau aussi bien que son berceau, mais pour le moment, obstacle sur sa route, détour du destin, le parasite est bien obligé de s'exporter plus loin. arrivée à détroit_ quelques semaines, et pourtant dieu seul sait qu'il avait aucune envie d'y foutre les pieds, il y aurait même pas envoyé le moindre connard en disgrâce mais la sagesse à deux dollars dirait un truc du style ' des fois dans la vie on fait pas toujours ce qu'on veut'. il lui marcherait bien sur la tronche à cette sagesse populaire, mais là, c'est pas complètement faux. orientation sexuelle_ pas de questions à se poser, il n'existe qu'une orientation possible dans l'esprit étriqué de blue, et elle possède la signature d'une chute de reins à donner des sueurs. la géométrie masculine ne possède aucun charme à ses yeux face à une porteuse du chromosome x prête à lui offrir la moiteur de ses charmes. pas difficile pourvu qu'elle, elle soit facile, dans cette absence d'attachement il est pas regardant l'animal, pourvu que ça assouvisse ses besoins primaux. statut_ les draps encore marqués d'une tiédeur autre que la sienne, il est jamais vraiment seul mais jamais vraiment accompagné non plus. il exècre l'attachement dans ses formes les plus écoeurantes, les je t'aime et autre attention dégoulinante, comme si la fidélité était un concept à réserver exclusivement aux autres, une espèce de maladie dont il détient le vaccin et le garde jalousement au cas où il aurait besoin d'un remède un jour. il ne jure que par l'intérêt, elles se doivent de lui apporter quelque chose, de nourrir son égoïsme insatiable. un orgasme, un bon plan, une information, un contact, n'importe quoi pourvu qu'il y trouve quelque chose en sa faveur.occupation_sombre petit con embarqué depuis plusieurs années déjà dans le blanchiment d'argent issu du trafic de drogue, à replacer l'argent sale, laver les mains de tous ces connards au nez poudré et aux paumes visqueuses de sang, ça aurait pu être quelqu'un de bien avec son amour des chiffres. un banquier, un magnat de la finance, un gentil petit comptable mais non, définitivement l'âme vendue à toute cette noirceur, parce que c'est comme ça qu'on dit. d'la finance noire. des sommes folles qui seraient bien trop suspectes. c'est bien le seul moment où on pourrait lui prêter un brin d'intelligence au gosse, lorsque cette lueur malsaine scintille et qu'il pourrait rouler sur quiconque ose ouvrir sa bouche. imbattable en snurfing, quand il s'agit de tenir d'une main de fer multitudes de pauvres âmes enrôlées dans le blanchiment, forcées de déposer de l'argent en liquide sur divers comptes, ou se retrouver piégées dans une entreprise fictive pour écouler tout ce blé dont ils ne pourront jamais profiter. mais sorti de savannah, sa seule occupation c'est de retrouver cette putain qui a osé se tirer avec du fric qui ne lui revenait pas, et il compte bien en faire un emploi à temps plein jusqu'à ce qu'elle supplie, bégaye des excuses sans fondement baignée dans ses regrets. ouais, ça c'est un bon programme. suggestion de groupe_croco sans limites crédit_aftermath

caractère_sa mère rêverait de le décrire comme un enfant tranquille, sans problème, poli, mais la vérité c'est qu'elle sait depuis toujours qu'elle ne peut avoir aucun contrôle dessus et qu'il y a peu de chances que cette terre porte quelqu'un capable de lui apprendre le respect. le vrai, celui qui coule de source, pas celui qui bave de fausseté. parce qu'il est insolent, comme le roi des cons, la bouche toujours bien trop ouverte quand il ferait mieux de la fermer, mais résolument close quand on attend quelque chose de lui. éternel adolescent en guerre contre le monde pour on ne sait quel raison, parce qu'on peut pas dire que sa vie ait été crasseuse de bout en bout. non, cette absurdité qui luit dans son âme, personne ne la comprend vraiment, mais elle alimente le feu de sa brutalité gratuite. tourmenté et tourmenteur, lorsqu'il s'agit de rendre la monnaie de sa pièce à quelqu'un il sait très bien s'y prendre, sourire carnassier qui étire ses lippes, la clope qui vacille. nonchalant jusqu'aux bouts des cheveux qui lui retombent devant les yeux et qu'il ne prend même pas la peine de repousser pour offrir un visage dégagé à ses interlocuteurs. non parce qu'il en a rien à foutre d'être agréable. poli. souriant. lui son sourire il ne naît que du plaisir, du sarcasme ou de l'amusement, mais certainement pas de la politesse bien pensée. éternel insoumis qui se croit un peu trop au dessus des autres, c'est pas faute d'avoir pris des branlées de mecs plus forts ou plus nombreux, mais même la face écrasée sous une semelle élimée il ne sait pas arrêter de la ramener. aucun pitié dans le fond de son cœur il laisse la charité au chrétien, insensible aux jérémiades, pire, agacé d'entendre les autres gémir, il préfère de loin un muet à un bruyant. borné comme personne, c'est cette absence de limite qui lui a fait traîner son cul jusqu'à détroit, dans l'incapacité d'accepter d'avoir perdu du pognon - de s'être fait baisé comme un débutant ? - par une pimbêche suicidaire sortie de nulle part. revanchard le môme, prêt à tout pour obtenir répartir, pour bander son ego blessé d'un rien. la défaite ne devrait jamais exister que pour les faibles.

_L'avis de ton perso sur détroit
entre nous pas d'histoire, ces premiers mots furent d'une poésie sans limite : putain c'est moche. détroit il la vomit sans même la connaître, comme une fille qu'on voudrait surtout pas sauter mais qui reste la seule option sur terre. alors il ferme les yeux, parce que pire que ce trou à rat, accepter d'avoir perdu quelques seize-milles dollars lui ferait bien plus mal au cas s'il fallait filer la métaphore d'une bonne ba*se. ça lui fait ni chaud ni froid ce qui s'y passe, à la base il se racontait même qu'il ne resterait pas plus de quarante-huit heures, juste le temps de coincer sa pétasse et la traîner par les cheveux jusqu'à savannah, histoire qu'elle paye ses dettes précisément là où elle s'est crue plus forte que le reste du monde. qu'elle paye par le sang et que son endroit de gloire soit aussi sa potence. mais excès d'orgueil, bien obligé de constater qu'il va devoir s'asseoir un moment sur ce tas d'immondice et faire avec. pas qu'il regrette vraiment son clapier à savannah mais ici les cartes sont rebattues, il a même pas encore compris à qui il fallait lécher le cul pour avoir la paix et il a pas vraiment l'intention de s'adonner à ce genre de civilités, pourvu qu'on lui foute la paix et que l'autre idiote n'ait pas trouvé refuge auprès d'un cartel. manquerait plus que ça.

_Recherche de liens


h/f (19-26 ans) kids from savannah - ils se sont connus là-bas, ils ont grandis pas loin, ils ont partagé leurs idées pas intelligentes, ils ont fait chier le quartier avec leurs conneries, brûlé le cierge par les deux bouts, puis ils se sont perdus de vue. pas oublié non, les deux doigts d'la main ça s'oublie pas.
h/f (20/27 ans) son point de chute, comme un abruti il a rué en avant, sauté à deux pieds dans l'game, débarqué à détroit sans réfléchir, en se racontant qu'il se débrouillerait, et puis non. il s'est retrouvé paumé comme un môme, à visser son cul dans le premier bar, l'air hagard, à pas savoir où crécher. c'est comme ça qu'ils se sont rencontrés, banalement, presque une histoire d'enfants de choeur, mais on mord pas la main qui se tend pour vous nourrir, ou du moins, sortir d'une situation débile. ça lui aura évité de dormir sur un banc comme un con.  

les anecdotes



01_impossible de peindre un tableau au vitriol de la vie tragique du petit baxton, on voudrait en dire du mal qu'on trouverait rien de terrible à souligner. pas de papa qui tape maman, pas de maman qui tape dans la bouteille, pas de bouteille qui tape sur le fils. c'est d'une platitude viscéral, le truc donc on oserait même faire trois lignes autobiographiques. pourtant à voir le gamin seul tout le monde a toujours eu des doutes, turbulent dès les premières années, à faire des choix stupides et dangereux pas longtemps après, le genre de gringalets qui se jette à la gorge de trois fois plus grand que lui sans l'ombre d'un doute. combien de fois elle l'a récupéré à la vie scolaire, s'extirpant péniblement du bureau du principal après de longs sermons sur l'éducation à donner à son fils ? aucune idée. elle a arrêté de compter très tôt. du cadre qu'ils disaient. madame il faut lui imposer un cadre. et lui qui du haut de ses dix ans n'hésitait pas à cracher du fils de pute à la figure du corps enseignant excédé. désespérant. elle a jamais rien dit dans le fond. jamais crié dessus. si elle était de la classe moyenne on la traiterait de bobo à l'éducation bienveillante. elle y connait rien à la bienveillance, mais ça fait longtemps qu'elle a compris que taper sur sa mule de progéniture. ingérable oui, depuis toujours. dans son sang, dans ses veines, dans sa tête qu'il a maintes et maintes fois cogné contre d'autres. elle a l'habitude de le récupérer dans un sale état et de ne rien dire. pas un mot. le silence parfait, accompagné d'un léger sourire triste mais pas dénué d'amour. s'il pouvait encore débarqué chez elle après ses conneries, elle l'accueillerait encore de la même façon. mais lui, sa mère, il n'y place aucune importance. une personne dans le paysage, rien de plus. indifférent jusqu'au creux de l'estomac, rien qui palpite pour cette femme qui lui a tout donné. n'y voit qu'un corps vieillissant, fatiguant de questions absurdes, de sensations tiédasses d'accolades non désirées quand enfin il daigne se traîner jusqu'à chez elle pour sa pénitence mensuelle. non, définitivement pas le fils de l'année, concourant plutôt pour l'award du plus grand indigne de tous les temps.  

02_ si c'était qu'un crétin de bas étage, ça serait presque facile la vie avec blue. mais non. toujours au mauvais endroit le con, et impossible à récupérer une fois qu'il est lancé. véritable chien de chasse névrosé, abruti par cette haine qui coule sans raison dans son coeur, à croire que l'amertume paternelle coulait dans d'autres fluides que son sang. pincé à quatorze ans pour avoir volé la voiture de la voisine, ça l'amusait de la faire criser, sans savoir quoi en faire. de voir son visage cramoisi s'époumoner alors qu'il enclenchait la marche arrière hilare de sa mauvaise blague qui l'a conduit tout droit au poste de police. la première fois d'une longue liste. le problème avec ce genre de raclure, c'est qu'ils apprennent beaucoup trop vite la frontière à ne pas franchir frontalement. à faire les malins, mais à ne jamais se faire pincer pour quoique ce soit de trop graves. jamais loin de ceux qu'on arrête pour trafic de drogues, recel, proxénétisme, mais toujours les bras croisés dans le dos, le sourire provocateur. toujours un pied dans n'importe quel bagarre, à essuyer le sang d'un autre sur son tshirt. mais faut faire son trou sérieusement si on veut avoir une place intéressante. et pour ça il ne faut pas avoir froid aux yeux. et c'est exactement ce qu'il ne connait pas, cet idiot. possédé par l'énergie aveugle des âmes trop jeunes, deux ans plus tard il traficote, troque, deal, jusqu'à se trouver une arme. pas que le poids du 9mm le fasse bander, mais plutôt qu'il a une idée arrêtée. nette. soulignée en rouge dans son esprit : se débarrasser du type dont il convoite la place au sein du réseau de blanchiment d'argent. les conseillers d'orientation en auraient fait un malaise s'ils avaient connu ses ambitions plus tôt.
une nuit noire d'encre, suffocante dans l'espoir d'un orage qui ne viendra pas, l'arme qui pèse dans la poche de son sweat beaucoup trop grand et vient taper mollement contre sa hanche à chaque pas, le nez baissé comme si quelqu'un pouvait se soucier d'un adolescent en mal de reconnaissance, aux dents qui rayent le parquet. à le convoiter, il avait enregistré les moindres habitudes, les moindres vices, de ce type qu'il voulait rayé de son horizon sans espoir. et c'était sa chance, jour de fête, le bougre allait partir en quête d'une petite estonienne pour lui offrir un peu de plaisir moyennant une somme dérisoire. mais cette fois il aurait même pas la chance de baisser son pantalon. liquidé deux rues avant d'atteindre sa fontaine de jouvence, laissé pour mort dans des gargouillis sans nom, et l'autre qui disparaît comme il est apparu : sans l'ombre d'un remord, l'envie de vomir pour l'avoir regardé un peu trop longtemps se vider de son sang en se tordant de douleur. mais maintenant les bases étaient posées : pas capable du meilleur mais du pire assurément, juste pour nourrir ses intérêts. et qui irait se soucier d'un sale type laissé sur le carreau ? pas les flics.

03_il s'est fait baisé. dans les grandes largeurs. par une représentante du sexe féminin. et ça, ça lui fout le seum. ça fait remonter instantanément la bile dans sa gorge. le circuit du blanchiment d'argent est plutôt bien huilé en général, et heureusement parce qu'il en incombe de sa responsabilité au gamin. mais un jour la petite boulette devient un sacré nid d'emmerdes. un des types à sa coupe doit se contenter de récupérer une enveloppe sous un banc avec seize milles dollars à placer, pour les réinjecter plus tard dans le système. ça marche toujours comme ça, avec des points de rendez-vous changeants. mais cet abruti était en retard ce jour là. il avait décidé de se faire un petit plaisir avec sa bonne femme, et ça lui a fait perdre du temps. pas grand-chose, c'était pas le coup du siècle, mais les cinq minutes les plus chères de sa vie, pour voir au loin une gazelle lui prendre son enveloppe et se faire la malle avec sans demander son reste. et voilà qu'il a du appeler blue pour lui faire signaler ce léger problème. fureur interdimentionnelle pour l'autre.

04_ la gazelle est question, c'est trixia. six lettres qu'il espère bien graver sur une pierre tombale de fortune. pas si difficile que ça de mettre un nom sur cette audace absurde. aisé de trouver quelqu'un qui a vu passer la brune bien fière de sa trouvaille, et pour bizarrement ne plus la croiser à savannah peu de temps après. l'indécence même qui lui a laissé croire qu'elle pourrait aller se faire une piscine de billets avec une enveloppe qui ne lui revenait d'aucun droit. alors il a fait la promesse qu'il allait lui faire regretter le moindre centime. récupérer sa mise ou sa tête, faire d'elle la plus belle carpette que cette terre n'ait jamais connu, sans se douter qu'elle n'est pas seulement inconsciente mais aussi sacrément sauvage et pas du genre à trembler au premier grondement d'orage. mais peu importe, il ne saura trouver aucune clémence pour une pétasse voleuse de pognon.

05_ impulsif et pas toujours très réfléchi, quand l'information est tombée qu'elle s'était tirée à détroit il a tiré le premier clampin de sa caisse pour la lui voler et mettre le cap sur cette décharge bétonnée. flingue vulgairement enfoncé contre son rein gauche, paquet de clope dans une poche, portefeuille dans l'autre, il n'a même pas songé à prendre ses affaires, vider son appartement ou faire le nécessaire pour ne pas arriver comme le dernier des touristes. il s'était raconté que ça serait plié en quelques jours, même pas effleuré par des considérations matérielles, comme s'il était épargné du besoin de dormir, boire ou manger. comme si la haine suffisait à nourrir son homme. il a bien déchanté en voyant la nuit tombée sans s'être intéressé à des questions de conforts. finalement forcé d'abandonner la bagnole pour ne pas en prime se faire coincer pour vol de voiture - ce qui aurait été un comble d'aller passer par la case prison sans pouvoir mettre la main sur la source de ses problèmes - il s'est réfugié dans le premier bar sinistre qui lui a paru assez lugubre et sordide pour accueillir son fessier et sa colère. et comble de ses qualités, pas étouffé par sa mauvaise foi ça n'a fait que creuser un peu plus sa haine pour la pilleuse, comme si elle était coupable de sa désorganisation la plus totale.

06_la patience fait clairement pas partie des cordes à son arc. pour lui le maximum à atteindre c'est quelques secondes de son temps offertes impunément, presque au hasard. mais il ne sait pas patienter. pas la peine de l'emmener au fast-food il rêverait d'arracher les yeux du moindre employée qui fait traîner ses frites trop longtemps. aucune cohérence, aucune logique, aucune demi-mesure. blue comme synonyme de celui qui ne sait pas attendre plutôt que bleu. gamin il était de ceux qui ne savent pas tenir leur fessier sur une chaise. vieillissant cela ne s'est clairement pas arrangé, exigeant des autres une réactivité inhumaine qui lui vaut bon nombre d'ennuis, allant parfois jusqu'à bousculer des types qu'il aurait mieux valu ne jamais crisper. mais comme n'importe quel chien errant, il retrousse les babines, prêt à en découdre avec n'importe qui. la douleur c'est comme la patience, il connait le concept mais il est incapable de faire comme tout le monde. il préfère hurler des insultes à la terre entière pour un bras cassé plutôt que prendre sur lui, se taire et patienter que plus fort que lui veuille bien se calmer.

07_ dans ses fantasmes les plus fous il voudrait bien faire croire qu'il n'est pas si mauvais que ça. mais le naturel revient toujours au galop, il finit toujours par disjoncter. redevenir un chien fou. il vomit les faibles, les geignards, les mous du genou, les dépressifs finis, les plaintifs maladifs. il fuit toutes situations d'attachement, ne jure une fidélité toute relative qu'à quelques potes triés sur le volet, le reste il vidange tout soupçon d'émotivité positive pour rester efficient. il aime les challenges. la défaite n'est pas une option raisonnable mais le défi si. il est de ces animaux qui donnent le meilleur d'eux plus on les mène, pousse, cravache. incapable de courber l'échine et baisser les bras. il s'ennuie plus rapidement qu'un gamin en première section, et l'ennuie le rend mauvais, lugubre, et fait gonfler ses pires défauts. il ne partage son sommeil avec personne, pas même la plus jolie fille des états-unis, parce qu'il aime être serein, avoir la place, avoir la paix. sacré. il est persuadé qu'il sera mort avant d'atteindre ses trente-cinq ans et il s'en balance. il n'existe rien qui lui inspire véritablement de la peur. de la colère, du ressentiment, du dégoût, oui, mais de la peur non. ni peur du vide, ni des gens, ni de la mort, ni du chien de la voisine, le néant le plus total, mais il n'en tire aucune fierté, il n'en a même pas conscience.


Prénom / Pseudo_ robbie, comme robert le camionneur, comprendra qui pourra.
Âge vingt-six ou un truc du genre, je compte très mal
Pays / région / ville france, le pallet, voilà, tout est dit vu la taille du bled.
Autre(s) compte(s)_ aucun
Ton perso_ inventé assisté.
Comment as-tu connu le forum_ j'étais ici il y a quelques mois, je reviens



Tu fais quoi dans la vie ; artiste peintre animalière. voilà, ça c'est fait. next.
T'es déjà arrivé saoul(e) au bureau/à l'école_ non, définitivement trop sage, mais bon maintenant que le boulot est au bout de la maison, techniquement c'est faisable et ça arrive... mais ça compte pas.
Plutôt ville ou campagne_ campagne, me parlez pas de la chaleur de la ville, je transpire rien qu'en y pensant.
Si tu pouvais inviter qui tu veux à dîner (même mort), ce serait qui_ t'as cru que j'allais faire à manger pour quelqu'un ??? déjà tellement la flemme pour moi-même. ado je me serai bien fait un domac avec ulliel.
Ta phobie la plus étrange_ j'sais pas. je hurle si un papillon me percute, ça compte ?
Les séries que tu aimes_ vous avez la demi-journée ? team boulimique de netflix
Quel est le film dont tu connais touts les répliques par cœur_ jeux d'enfants je pense.
Qu'est-ce que tu écoutes comme musique dans l'ensemble_ ce qu'on me conseille j'ai AUCUNE personnalité. je ne jure que par banks en ce moment.
La chanson honteuse que tu adores_ gimme gimme more, gimme....
Plutôt bouquin ou plutôt liseuse (ou fuck la lecture ?)_ j'ai une liseuse, c'est la vie, adieu les pavés, mais je tue quiconque souhaite toucher à mes pléiades. voilà, prévenu.
Est-ce que tu fangirl sur une célébrité en particulier_ nan, je suis déjà une fangirl de gens qui écrivent, j'ai pas le temps d'aller kiffer des célébrités à qui je pourrais jamais parler.
T'as déjà volé quelque chose ? si oui, quoi_ non, trop une flipette.
Si tu ne pouvais manger plus qu'un seul plat pour le reste de ta vie, ce serait lequel_ n'importe quoi contenant des tomates, je pense.
Est-ce que tu fais du sport ou une activité_ équitation, ancienne pole danseuse. trop.en.manque.
T'es plutôt du matin ou du soir_ je suis clairement pas du midi les gars.
La sieste pour toi, c'est le bien ou le mal_ le bieal.
T'as des manies/habitudes alimentaires bizarres_ euh non, ça va, merci.
Quel est le pire cadeau qu'on t'ai offert_ un cadenas de vélo... alors que j'avais pas de vélo. je chercher encore.
Raconte-nous une blague_ si vous connaissez pas l'histoire du hamster et du couple homo je vous conseille de chercher sur youtube le podcast.


_Petit intitulé pour ton histoire

« j’te jure que c’est pas moi. c’est une gonzesse. je l’ai vu et j’ai cru qu’elle bossait pour vous moi. je savais pas.» le ton qui glapit comme un animal pris au piège. parce qu’il vaut pas mieux qu’un rat pris dans un collet, et il sent bien que la situation n’est clairement pas à son avantage. pire, que ça hume les ennuis à s’en déboucher les naseaux. et blue de toute sa rage qui le surplombe, la pupille en fusion, bordée de l’écume de colère de celui qui a le sentiment qu’on la lui met à l’envers. et bien comme il faut. ça cogne contre sa tempe, métronome dangereux du sang qui donne le tempo de sa fureur, le palpitant puissant, mais trop régulier. la colère froide. glaciale. la plus dangereuse de toutes, celle qui l’accule au plus profond de ses retranchements, le rendant imprévisible. on sait que ça va partir, mais on ne sait jamais quand. les lèvres serrées jusqu’à ce qu’elles ne soient plus qu’un mince trait horizontal sur son visage, les molaires qui crissent. bruxisme de celui qui dévore son irritation. la situation était pourtant simple comme bonjour. une enveloppe, un bon paquet de fric dedans, un foutu banc, et cet espèce d’idiot censé récupérer l’argent. pourtant la suite laisse perplexe. pas d’enveloppe, pas de pognon, et l’autre qui revient avec une histoire abracadabrante. il perd patience blue. enfin pour la perdre il faudrait en avoir, et elle lui fait défaut depuis sa naissance. anguille qui lui file entre les doigts, qu’on a bien tenté de lui inculquer sans succès. d’un pivot brutal son poing vient heurter la mâchoire de sa victime. elle craque, l’autre hurle, crache, tousse, mais rien qui apaise celui qui s’est fait enflé. « t’as pas plus crédible connard ? réfléchis-bien, on parle pas de vingt balles que t’as volé à ta mère. » mais non, l’entêtement même dans la terreur, il bégaye, reprend dans tous les sens, supplie, s’énerve, éructe dans un jargon qui n’intéresse déjà plus la personnification de la violence gratuite. il masse l’arrête de ses doigts, le regard qui se fond dans le désordre de l’appartement miteux. tous là, tassés dans un minuscule salon qui ressemble plus à un dépotoir qu’une pièce conviviale. l’archétype du logement crasseux du type qui vit seul et se raconte qu’il est inutile de faire la vaisselle régulièrement. les habits froissés voisinent les cartons de pizzas abandonnés, le tout parfois surmonté de courrier à peine entrouverts. la représentation parfaite de celui qui se laisse aller, laisse tout couler. ça lui inspire pas confiance, il lui en mettrait bien une autre, juste pour le plaisir de le voir crachoter un plus de sang visqueux sur sa moquette poussiéreuse. mais non. il réfléchit blue, et ça demande à ses mains de se tenir tranquille un instant. une gonzesse. il fait le tour de la pièce encombrée, les autres se poussent. des fantômes qui n’attendent qu’un coup d’œil pour entrer dans la danse. ah il allait le faire valser ce petit enculé qui avait perdu cette somme folle. ça ne lui appartenait pas. c’était pas ses économies qui venaient de se barrer dans la nature, il est pas assez important pour ça, mais c’est sa responsabilité. et il aime pas bien qu’on engage sa responsabilité.
il fouille l’intimité de ce pauvre type qui n’avait jamais demandé à travailler pour eux mais à qui on a pas laissé le choix, c’est comme ça, faut bien des petites mains, des gens pour réinjecter l’argent après l’avoir blanchi, de préférences des gens sans face. sans personnalité. des ectoplasmes vivants que personne ne calcule, à la vie trop minable pour avoir un sursaut de personnalité, mais pas trop, pour ne pas attirer l’attention de la petite flicaille en manque d’action. des monsieurs smith à la pelle, qui ont tout au plus une ex-femme qui les déteste, une fille à l’autre bout du pays, et un goût douteux pour des whisky de si mauvaise qualité que l’autre ne s’en servirait même pas pour déboucher ses toilettes. les mains qui palpent les poches à la recherche d’un cran d’arrêt, la lame scintille d’une lueur guère plus saine que le fond de ses prunelles. son smith, qui se redit sur sa chaise pliante, qui se voit déjà égorgé comme un porcelet de premier ordre, mais non, pour l’instant le couteau ouvre le courrier. curiosité malsaine ? non, vicieux petit jeu du chat et de la souris. son regard se balade sur des feuilles qu’il ne lit même pas, faussement occupé alors même que toute son attention est focalisée sur ce qu’il se passe dans son dos. la tension plus palpable que le couteau. l’odeur âcre de la transpiration qui inonde le t-shirt du pauvre type. et ça continue, il abandonne le courrier, factures, relances, publicités tombent successivement à ses pieds sans aucun respect. il y a au moins un truc dans cet appartement qui lui cire les pompes.
sa langue claque contre son palais à plusieurs reprises comme on motiverait une vieille carne à bien vouloir donner un ultime coup de collier, mais lui ce qu’il voudrait, c’est un truc cohérent, pas cette blague stupide. du couteau il repousse un torchon grisâtre pour dégager un livre corné qui ne manque pas d’intérêt. la littérature, il s’en fout. mais rien n’est jamais gratuit avec lui.  « tu sais… c’est quoi ton nom ? je vais t’appeler john, t’as pas une tête à ça, mais ça ira quand même. tu sais john, moi il y a des trucs qui me rendent fous. perdre du blé, et perdre mon temps. c’est deux trucs putain ça me fait câbler t’as pas idée. » il fait sauter le livre dans sa paume, tournant la tête pour observer son nouveau baptisé. il fait grise mine, à ne plus savoir à quel sauce on va le manger. « mais c’est pas moi. »[/color] ultime jérémiade qui fait rouler ses yeux comme des billes dans ses orbites. putain. non. pire que perdre du temps. pire que perdre du temps. devoir supporter les lamentations des autres. le livre vole dans la tronche de l’autre, sans délai. truman capote en express dans la figure. la ligne rouge franchie, les chiens lâchés, la voix de blue qui envahit la pièce, au sommet de sa colère. « mais tu vas arrêter de te foutre de ma gueule ! » pour la diplomatie, on repassera. vocabulaire peu élaboré d’une enfance dans les bas quartiers où la largue se pare des pires ordures comme autant d’accessoires. il gronde comme un enragé, un seul chiffre qui l’obsède, chaque dollar perdu, volatilisé. et l’autre qui lâche rien et ça l’excède. « une gonzesse, juré, une espèce de brune, super bien foutu, qui n’a pas traîné. » un soupire, un massage des tempes. trop obtus pour accepter aux premiers abords cette histoire tirée par les cheveux. quelle poufiasse serait suffisamment stupide pour toucher à du pognon sous un banc à savannah, n’aurait pas vu venir gros comme une maison la quantité de problèmes qui allaient en découler. si elle existait, il allait la trouver. et il allait la démonter. lui faire regretter son existence stupide jusqu’à maudire sa mère de l’avoir pondu. oui, voilà, il allait tout faire pour l’exploser. l’anéantir. mais avant elle allait souffrir pour chaque seconde passée avec du fric qui ne lui appartenait pas. « va falloir être plus précis. ça manque pas des petites meufs et vu ta gueule tu dois pas être bien regardant sur l’état de la bête, je fais quoi, j’égorge toutes les brunes jusqu’à trouver ton fantasme ? » il hésite, tangue, dilemme fastidieux, chatouillé entre l’envie brutale d’assouvir un appétit malsain et la raison qui lui murmure de garder l’autre en vie. que c’est qu’une erreur. que l’erreur est humain. que… non. il emmerde la sagesse populaire. il emmerde ces dictons de vieux le cul vissé dans une chaise au coin de la rue à attendre que la faucheuse libère la terre de leur présence pestilentielle. « plutôt jeune ou vieille ta pouf ? du genre à faire l'tapin depuis trente ans ou poule de luxe fraîche ? » l’autre lâche ce qu’il peut, à savoir pas grand-chose. une minette. lui il l’aurait bien vu dans une téléréalité. bonne à lui donner des sueurs mais clairement pas de son niveau ni de son âge.  
blue rumine ces informations, en mâche jusqu’à la dernière bouchée, certain qu’il pourrait encore tiré d’autres informations avec de la patience, un verre d’eau fraîche et les bonnes questions. mais ça lui troue le cul de faire serveur, maman et hypnothérapeute. alors son cran d’arrêt si cher à ses yeux finit plantée dans la carotide de l’autre sans crié gare. précision chirurgicale surprenante pour un gamin qui a déserté les bancs de l’école beaucoup trop tôt. surpris de sa réussite, il s’émerveille, rit et se félicite comme un gamin arrogant face au geyser inattendu. carmin qui tâche et fascine. « bah merde alors, je l’ai pas loupé. » qu’il souffle penché en avant, les mains en appui sur les cuisses pour admirer son tableau d’art moderne. « j’suis presque déçu d’une morte aussi rapide, pas vous ? » lancé à qui osera moufter dans la pièce. mais rien, pas même un gargouillis d’estomac en guise de réponse, tout le monde se tient. vingt-trois printemps putain de dangereux et ils ne le savent que trop bien. bouger une oreille et finir comme le péquenot, très peu pour eux.  

de là est née une vilaine, très vilaine, obsession pour les brunes plutôt potables. quitte à toutes les supprimer de la terre. qui à recenser toutes les brunes de savannah disparaissant dans les jours qui suivirent. et s'en débarrasser les unes après les autres.





Code:
<bottin1>dylan rieder</bottin1> / <bottin2>@"blue baxton" </bottin2>
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Meadbh Driscoll
Pire qu'un CRS avec le taser
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âge : 21 ans
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MessageSujet: Re: bleu amer --   bleu amer -- EmptyJeu 25 Juil - 8:03

Bienvenue parmi nous bleu amer -- 2168834339
Ce début de fiche est déjà très motivant ! Et cette tronche... bleu amer -- 2122883911 bleu amer -- 1229383321
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Malcolm Allen
Malcolm Allen

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bleu amer -- 13e8298d6b883321e666c4befa8543c3 : Malcolm est sanguin, hyper impulsif. Il réagit au quart de tour et peut passer d'une émotion à une autre, totalement opposée en un rien de temps. + Malcolm a trois doigts tordus, séquelles d'une nuit de breakdown où il s'est explosé les mains contre le mur de sa chambre + Y a comme un odeur d'ammoniaque chez lui, dû au crack qu'il fume.
miss pleureuse 2020
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maybe I'm defective
or maybe I'm dumb
I'm sorry, so sorry for what I've done

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âge : 21 yo.
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Il squat l'un des petits studios disponibles. Les chiottes sont sur le pallier et la douche n'a pas d'eau chaude est est dans un coin de la pièce. Ca fait environ 12 m2, c'est moche, y a qu'un lit une place et deux places chauffantes de branchée. Il a pris celui-ci car c'est l'appartement voisin de Draxter.

https://crocodilegames.forumactif.com/t142-malcolm-allen https://crocodilegames.forumactif.com/t146-malcolm-allen https://crocodilegames.forumactif.com/t87-malcolm

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MessageSujet: Re: bleu amer --   bleu amer -- EmptyJeu 25 Juil - 10:09

Ouhhh bon retour parmi nous bleu amer -- 2591683536 bleu amer -- 2591683536
Flemme d'aller investiguer, du coup qui est-ce que tu jouais ? bleu amer -- 4054307831

(je suis faible, dylan me séduit à chaque fois davantage bleu amer -- 1640420981 bleu amer -- 1640420981 )
Bon courage pour ta fiche, si tu as besoin de quoi que ce soit, n'hésite pas bleu amer -- 2931277197
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MessageSujet: Re: bleu amer --   bleu amer -- EmptyJeu 25 Juil - 11:18

AAAAA
DYLAAAAN
bleu amer -- 2351747642 bleu amer -- 578484597 bleu amer -- 445272618
trop amoureuse de tout, même si c'n'est que le début, chu fan de toi bleu amer -- 1562938868
du coup si tu cherche un lien quelconque hmhm bleu amer -- 2187954130 mes dms sont ouverts
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Nino Ernaez
Nino Ernaez

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bleu amer -- 13e8298d6b883321e666c4befa8543c3 : L'allure maigrichonne mais les muscles tendus de nervosité, un sourire à décrocher des coeurs et parfois, dans son ombre, une petite poule qu'il promène en laisse.
judas
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- - J'AI COURU DANS MON CERVEAU,
JUSQU'AU FOND DE MON ÊTRE.


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avatar : alan soule
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statut : père célibataire, n'a malheureusement pas le droit de voir son fils comme il le voudrait (mère vipère).
quartier : il vit dans mexicantown, un petit appartement qu'il loue tout seul au dernier étage d'un petit immeuble qui s'élève au-dessus d'un des nombreux bars latinos du coin. il partage néanmoins ce petit espace avec rosie, sa poule.
https://crocodilegames.forumactif.com/t89-nino-ernaez#135 https://crocodilegames.forumactif.com/t157-nino-ernaez https://crocodilegames.forumactif.com/t88-p-e-r-d-i-t-i-o-n

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MessageSujet: Re: bleu amer --   bleu amer -- EmptyJeu 25 Juil - 11:45

dylan + ce pseudo = bleu amer -- 2082058761 bleu amer -- 541158315
j'aime beaucoup ce qui se dessine, hâte d'en savoir plus sur blue bleu amer -- 50136753
et olalalaaaa il vient de savannah bleu amer -- 4227930115 nous faudra trop un lien avec mon DC (@jj o'reilly ) parce qu'il a habité à savannah de ses 12 as jusqu'à très récemment (il a débarqué à detroit y a quelques mois seulement) bleu amer -- 2993330836 bleu amer -- 2993330836 bleu amer -- 1929569289

bon courage pour la suite en tout cas bleu amer -- 4100140679 bleu amer -- 2087354933
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Seven Popescu
Seven Popescu

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bleu amer -- 13e8298d6b883321e666c4befa8543c3 : dents en vrac, toutes de travers | tatouages pourris | main gauche balafrée (poignardée) et à la motricité un peu réduite | cicatrice sur l'épaule gauche (poignardée), cuisse droite (balle), bras gauche (balle), côté droit du ventre (balle) | traces de piqûres sur les bras | nez qui saigne trop facilement | mains souvent abîmées | toujours énervé | l'air de ne pas avoir dormi depuis trois siècles
- jj, mon paradis -
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then it went dark,
and it rained and rained and rained

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avatar : sasha trautvein
âge : vingt-et-un ans.
statut : déchet.
quartier : north end, en colocation foireuse avec barbra, dans la maison de sa sœur internée. on le trouve plus souvent dans la rue ou dans des squats.
https://crocodilegames.forumactif.com/t766-seven-popescu https://crocodilegames.forumactif.com/t452-seven-popescu https://crocodilegames.forumactif.com/t391-les-poings-contre-les-murs

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MessageSujet: Re: bleu amer --   bleu amer -- EmptyJeu 25 Juil - 14:42

Citation :
Comment as-tu connu le forum_ j'étais ici il y a quelques mois, je reviens

ohhh t'étais qui ? bleu amer -- 1900157287

mais olala ce perso qui se dessine bleu amer -- 2659288409 blue a l'air bien trop cool et ta plume aussi, j'ai hâte de lire la suite bleu amer -- 1929569289 + coucou team savannah aussi,  "des fois dans la vie on fait pas toujours ce qu'on veut" c'est pareil pour seven, j'viendrai donc sûrement choper un lien bleu amer -- 2879867992 bleu amer -- 3419657395
bienvenue bleu amer -- 2421444627
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MessageSujet: Re: bleu amer --   bleu amer -- EmptyJeu 25 Juil - 15:37

mais ?
vous êtes limite trop mignons ???
milles mercis pour l'accueil, les gentils mots, je vous aime déjà même si ici, ce que je préfère c'est le bolossage du staff

j'étais personne (maden pearks, avec armie hammer) , j'avais pas pris le temps pour ce forum c'est trop nul  bleu amer -- 1278612583  (but i'm back)
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MessageSujet: Re: bleu amer --   bleu amer -- EmptyJeu 25 Juil - 19:43

regardez, pour m'faire pardonner d'être un fantôme depuis des lustres ...
j'ramène un déserteur par la peau du cul
c'est cadeau
bleu amer -- 3220218415 bleu amer -- 301742621

j'te trouve bien vulgaire dans cette fiche
quéecho je suis
bienvenue bleu amer -- 2314601829
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MessageSujet: Re: bleu amer --   bleu amer -- EmptyJeu 25 Juil - 20:00

Trixia Cunningham a écrit:
regardez, pour m'faire pardonner d'être un fantôme depuis des lustres ...
j'ramène un déserteur par la peau du cul
c'est cadeau
bleu amer -- 3220218415  bleu amer -- 301742621

j'te trouve bien vulgaire dans cette fiche
quéecho je suis
bienvenue  bleu amer -- 2314601829

IMAGINE c'que ça va être en rp alors babe
pas une chanson comme ça ? oh tu vas prendre.
bleu amer -- 554638846
mais je suis donc un trophée. ok ok.
PAS DE PROBLEME. me gusta.
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Rosalia Flores
Rosalia Flores
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pseudo : bangkok.
crédits : doom days (av), soldiers eyes, strangeHell.
Then it went dark
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quartier : mexicantown.

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MessageSujet: Re: bleu amer --   bleu amer -- EmptyJeu 25 Juil - 21:47

Cet avatar et ta plume + il vient de Savannah, bref, t'as tout bon bleu amer -- 50136753 bienvenue ici bleu amer -- 2591683536
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MessageSujet: Re: bleu amer --   bleu amer -- EmptyDim 28 Juil - 0:22

merci tout le monde encore ♥
j'attends juste la validation de @Trixia Cunningham vu que c'est son idée
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MessageSujet: Re: bleu amer --   bleu amer -- EmptyDim 28 Juil - 1:39

mais n'imp c'est ta fiche, j'ai juste soumis l'idée de mon pl pas écrit.
donc bon,
puisqu'il faut donner un avis ...
j'tolère cette fiche.
bleu amer -- 2168834339
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Samih Scully
Samih Scully

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bleu amer -- 13e8298d6b883321e666c4befa8543c3 : Toujours défoncé + des traces de piqures sur les bras + une longue cicatrice du flanc jusqu'à la colonne + trèfle irlandais tatoué sur l'épaule gauche + porte toujours un hoodie noir + cohabite avec deux autres personnalités
papi pédo
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pseudo : fitotime
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[ YOU CAME TO ME LIKE A LITTLE CHILD
I BROUGHT YOU UP, FED YOU
AND GAVE YOU ALL OF MY TIME
]


bleu amer -- B0neZFfA_o

The kid has got a darkside
Best believe it
Push too far you'll see
The kid has got a darkside
That you don't wanna meet at all
La la la la la


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bleu amer -- 247949clubsuzy

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avatar : rami malek
âge : 26
statut : célibataire
quartier : delray _ maison abandonnée, maison fantôme au milieu d'un grand terrain vague avec le reste de la smala.
https://crocodilegames.forumactif.com/t364-samih-scully#4370 https://crocodilegames.forumactif.com/t363-samih-scully https://crocodilegames.forumactif.com/t316-samih

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MessageSujet: Re: bleu amer --   bleu amer -- EmptyLun 29 Juil - 8:26

_WELCOME HERE


Ce perso est beaucoup (beaucoup) trop cool bleu amer -- 1421378656
Faudra absolument qu'on se trouve un lien bleu amer -- 2993330836 .
D'ici là tu es bien sûr validé :D

_________________

Olé, bienvenue à toi. Ta fiche est désormais validée tu es un membre à part entière du forum.

Tu vas pouvoir participer à la vie rpotique de C R O C O D I L E / G A M E S. Prépare-toi, ici on aime le drama !

Pour t'aider dans tes premiers pas sur le forum, on t'a listé sur le côté tous les liens pratiques qui peuvent te servir. N'hésite pas à faire un tour d'horizon pour vérifier que tout est bon avant de te lancer.

On a hâte de voir ce que ton personnage va donner.

PS : n'oublie pas de créer ta "feuille de personnage" dans le profil afin qu'il soit complet.
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