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Invité

anjel josef lucero_

ft. tamino-amir moharam fouad

“ Je veux juste une clope sur la lune vieux_ ”

nom_ l'étoile, brillante, l'éclat, celle du berger, celle qui guide, la dernière que l'on distingue encore, aux côtés de la lune, malgré les lueurs des néons. lucero, qui glisse sur la langue, aussi froid que les écailles d'un serpent sur la peau prénom_ trop long, trop encombrant, josef comme ton père avant toi, anjel parce qu'on ignore encore de quelle planète tu viens. mais c'est plus simple de contracter tout ça, non pas par honte, mais par soucis de rapidité. aj, même si tes sourires restent ceux d'un ange âge_ tu es encore un enfant, un enfant de vingt-trois ans, les années à fleur de peau, décadentes sur un visage poupin déjà usé par cette chienne de vie nationalité_ américain, c'est ce que les gens voudraient entendre. mais tu n'as jamais été naturalisé. c'est le vénézuéla qui figure sur ta carte d'identité, entre deux titres de séjour périmés origines_ prendre un bateau, traverser la mer, s'éloigner des états-unis décadents. nous y sommes, l'égypte, la terre de ta mer, l'iran, celle de ton père, dont tu ne connais que la langue et les légendes lieu de naissance_ dans une barre d'immeuble délabrée, à maracay, aragua, un lieu que personne ne connaît et qui n'évoque rien d'autre qu'une extrême pauvreté à ceux qui savent arrivée à détroit_ ça se compte en jours en fait, en semaines à la rigueur, en mois tout au plus. aux états-unis, ça fait un peu plus de temps que ça, mais detroit, c'est encore nouveau pour toi orientation sexuelle_ tu n'aimes pas les sexes, aj, tu aimes les gens. et cela fait de toi quelqu'un de parfaitement instable en matière d'amour. instable et détaché tout à la fois, curieux mélange d'ace et de pan. improbable sexualité. statut_ le célibat dans les veines et dans le sang. chez toi, on ne s'attache pas, ça fait un mal de chien, de s'éprendre de quelqu'un occupation_ tu as été embauché dans la laverie automatique, par les zetas en fait. officiellement, tu distribues des jetons, les pieds sur le comptoir, le téléphone dans la main pour faire passer le temps. officieusement, tu surveilles les junkies qui convoite la cam de tes patrons, un œil sur eux, l'autre sur une arme. t'es un putain de chien de garde et la vérité, c'est que ce boulot te rapporte assez pour que tu décides de ne pas en changer. suggestion de groupe_ tu es plutôt un croco sur la défensive, à surveiller et à frapper lorsque c'est nécessaire. t'es pas un mauvais, juste un peu paumé crédit_ mal de nuit pour l'avatar, les images sont volées sans scrupules sur tumblr

caractère_tu étais installé là, tes pieds au-dessus du vide, à guetter le train. tu étais installé là, le jean dans la poussière et l'œil tourné vers l'horizon. à attendre. à attendre, en silence. patiemment. longtemps. mutisme, solitude. amis de longues date. à attendre. et aujourd'hui encore, tu attends. tu attends, paisible, que le train arrive ou que l'orage qui voile tes yeux bruns finisse par éclater. tu étais de ceux qui aspirent au calme, à la tranquillité. glacial. de ceux qui savaient s'installer dans un coin de terre, un coin de mur, un coin de vie, sans se manifester. anonyme inaperçu dans ce dédale de béton, dans ce dédale de poussière. tu l'es encore. tu n'as pas changé. tu étais de ceux qui ont bouffé du gravier, qui ont chialé du sang, qui ont vécu l'enfer et qui ont répliqué par l'indifférence. la sournoise, douloureuse, terrible indifférence. prisonnier de ton esprit, de tes pensées, de ta méfiance. détachement nécessaire pour survivre. tu attendais le train. c'est con, mais les gens ne prennent plus le temps d'attendre, d'observer les voies. ils ne prennent plus de temps au temps. ils se contentent de courir, de gueule, de s'agiter, de s'énerver. assis sur son quai, tu les observais, désinvolte, à la limite de l'irrespect. ils t'amusaient, te fascinaient. les gens, les comportements, la vie te fascinais. elle est si incohérente, si bordélique, si virulente. elle te fascine toujours. c'était incroyable pour toi, de voir toute cette énergie, exposée au grand jour. parce que toi, toi, tu la sentais palpiter sous ta peau, sans jamais la laisser s'exprimer. aj tu étais un fourbe, dévoré par la haine, bouffé par la rancœur et la violence, derrière ta gueule angélique. c'est du présent, tout ça. à l'intérieur, t'as des bombes qui explosent, des terrains minés sur lesquels tu poses tes pieds d'enfant. tes regards noirs portent la mort, les coups portés sur la gueule. un sang resté froid pour mieux bouillir à l'intérieur. instabilité dévastatrice, les gens les plus plats sont aussi les plus agressifs. tu attendais le train sur ce quai quand un homme a écrasé tes doigts, sans prêter attention à ta silhouette au dos voûté. tu n'as rien dit. tu n'as rien dit encore, quand tu as entendu le train gronde. tu n'as rien dit toujours, quand tu l'as bousculé. tu n'as rien dit quand les gens ont hurlé. mais c'était peut-être dans tête, que tu l'as poussé. juste dans ta tête. ce gamin, sur ce quai, il est encore en toi aujourd'hui. le même visage peu souriant, les mêmes boucles négligées, le même regard stone et paumé. tu es doux, anjel, si doux dans ton amertume, si doux dans tes colères, si doux dans ta violence, si doux. putain. tellement doux que ça en devient menaçant.

_L'avis de ton perso sur détroit
froid, vide, sombre, noir, le béton, le bruit, les néons, le gris, l'angoisse, la violence, l'insécurité, la peur, tenace au ventre, jungle urbaine, féroce, l'anonymat, étrange et étranger, invisible, tentations, mauvais choix, le bruit, encore, la peur, toujours, le pavé, les travaux, la fumée, le trouble, la tête qui tourne, titube jusqu'à chuter, immense, des hauteurs aux bas-fonds, du sol au plafond, encombré, asphyxié, incapable de respirer, des ruines, des fissures, abîmés, ébranlés, grandissantes, les trottoirs, la saleté, le sang qui se mêle à la poussière, la cruauté, l'animosité, les regards dérobés, des sensations, du ressenti, le bruit, persistant, la peur, dévorante. le bruit. la peur. la drogue, l'alcool, la dépression, le bruit et dans le sommeil artificiel, enfin, le silence. enlacé par la peur.

_Recherche de liens
h/f (la main tendue) il titube, s'appuie contre le mur, respire bruyamment. il reprend sa marche. tu le vois, tu le croises, tu ne lui prêtes pas attention. encore un dépravé, un parmi d'autres, il n'en vaut pas la peine. mais quand tu le croises, tu es surpris.e par le poids de son corps, son torse qui heurte ton épaule, dernier rempart avant la chute. tu le retiens, réflexe naturel, humain. il est glacé, il est froid, il est loin, très loin. il te parle, vaguement, tu ne comprends pas ce qu'il raconte, sa langue n'est pas la tienne. mais à tes oreilles, ça sonne comme un appel au secours. et même si tu es quelqu'un d'extrêmement distant, même si tu hais les gens, même si tu n'as qu'une envie, c'est de le laisser chuter sur le trottoir, y a un truc, là, au fond de ta poitrine, qui se débloque. on appelle ça un cœur. et le tien, au contact de cette voix, de cette épave humaine vient de se remettre à battre. tu viens de croiser la route d'anjel et tu ne sais pas où ça va te mener.

h/f (le poing serré) c'est violent, c'est dangereux. ça blesse, ça fait mal. ça vient de lui, ou de toi, on ne sait pas, on ne sait plus comment ça s'est passé, qui a frappé le premier. on sait juste qu'il y a eu une lèvre fendue, que le sang a coulé. y a cette tension, énorme, violente. tu le détestes ? non, au fond, tu ne le hais pas. et pour lui, c'est probablement pareil. vous êtes simplement trop différents, trop complémentaires, peut-être trop identiques. votre histoire commence dans la violence et finira en drame. parce que ton cœur et le sien sont fait pour s'attirer et se repousser. ton cœur et le sien sont fait pour ce monde. tu voudras le détruire, il t'entraînera avec lui. tu es un croco sans limites, ou de la mauvaise graine. et dans ce gamin, t'as cru voir un rayon de soleil qui te fait peur, au point de vouloir l'étouffer. de réduire son sourire en miette, jusqu'au jour où tu te retrouveras à chialer sur son corps.

h/f (la langue du passé) il parle arabe, espagnol. c'est votre plus gros point commun. il vient de loin, toi aussi. ça suffit à vous rapprocher. en bien ou en mal. tu lui rappelles de douloureux souvenirs, mais il y a un on ne sait quoi de rassurant. la maison, les racines, comme une famille lointaine et inconnue, mais bien réelle. seule ancre dans cette foule d'inconnus.

h/f (le reste) la drogue, qui le fera plonger. l'alcool, qui se perdra à ses côtés. la violence, dans un regard échangé. la peur, l'envie de se protéger. la curiosité, celle de comprendre, d'apprivoiser. le suicide, tout juste évité. le contact, inattendu, qui fait sursauter. entre deux morceaux de béton, lui, toi et l'éternité.

les anecdotes

01_ le cœur, il bat à tout rompre. excité. il implose, sombre, chaleur exacerbée. il disjoncte, se perd, taille ses artères. à l'extérieur, t'es froid, t'es mort. t'es rien. mais en dedans, putain, en dedans. c'est nerveux, tambours de guerre qui battent aux tempes. à l'intérieur, ça fait mal, ça remue, comme un monstre qui écarte les barreaux de sa cage. tu souffres. perpétuellement. tu souffres de ne pas savoir l'ouvrir, de ne pas s'avoir t'ouvrir, de ne pas réussir à être et avoir été tout à la fois. tu galères, avec tes émotions, parce que si tu comprends comment les autres fonctionnent, toi, toi t'as toujours pas trouvé le mode d'emploi. t'y arrives pas, tu n'y es jamais arrivé. t'es là, à galérer entre ta peur de l'abandon et tes crises d'angoisses. ces moments où t'as le crâne entre les mains et les hurlements étouffés entre tes lèvres serrées. les muscles bandés, tendus, dans tes longues nuits d'insomnie. tu as peur du noir, du bruit, de la nuit, de la vie. tu as peur qu'on te touche, qu'on t'atteigne, qu'on te fasse plus mal encore. 02_ tu n'as plus de respect pour ton corps, pour ton cœur, pour ton être. tu te respectes comme on respecte une pute à detroit. parce que c'est ce que tu étais, là-bas à aragua. tu y as échappé, à quel prix au fond et pour quoi. pour rien. tu n'es rien. quand tu plonges dans l'alcool, quand tu plonges dans la drogue, quand tu plonges la lame au creux de tes veines, c'est pas pour arrêter de souffrir. c'est pour te purifier. te nettoyer, de l'intérieur, renouveler ton sang, vomir tes tripes et avec elles tes démons. ton histoire, elle ne mérite pas d'être racontée. tu veux l'oublier, tout oublier. 03_ œuvre vivante, éphémère, on devrait exposer ton corps blessé, ruiné, dans un musée. ah, ça leur ferait une belle jambe, aux politiciens. les ravages de la violence, la jeunesse en perdition. si ta mère te voyait. ta mère ? les mains plus sales que l'âme. elle est où, ta mère. disparue, envolée. morte ou juste laissée de côté. ta mère, tu as peut-être fini par la bouffer. c'est ce que vous faites, vous, chiens d'immigrés. ça se dévore jusqu'à l'os, dans cet espace confiné qui vous amène vers la terre promise. si tu avais eu le choix, tu ne l'aurais pas quitté, le soleil de ton pays, surtout pas pour la fumée noircie des états-unis. mais on t'as jamais demandé ton avis, pas vrai aj ? on a jamais pris le temps d'écouter ces que tu avais à dire, tes rêves, tes envies. c'est plus simple d'écraser les miettes au point de les faire devenir poussières. plus simple que de les balayer. t'es un ange qu'on a forcé à s'écraser. 04_ on pourrait penser que tu n'aimes rien, ni personne. que tu as l'âme aussi fermée que le visage. c'est pas vrai. c'est pas vrai putain, mais qui le sait. t'as le cœur ouvert dès qu'on te parle d'art, l'âme dansante quand on sait te montrer la beauté. t'es sensible à ces conneries, parce que tu as le regard vibrant de celui qui sait apprécier. de celui qui découvre, qui admire, de celui à qui ça plait. t'as pas d'ambition, t'as pas d'avenir, t'envisages rien tu te laisses porter. mais. toujours ce satané mais. il y a des choses que tu admires, que tu sais apprécier. des courbes, des couleurs, des regards qui transpercent ton cœur au-delà de ce que tu pourrais imaginer. c'est aussi pour ça, que tu fuis ce qui peut t'atteindre. tu tournes le dos à tes rêves, tu renies tes envies. tu préfères être un fantôme qui ne ressent rien, qu'un être humain qui souffre, souffre, souffre constamment.05_ ton reflet dans le miroir, il t'oppresse. ce regard qui scrute ton âme, il te dérange. tu fais cette impression aux autres, mais toi, toi tu ne la supportes pas. ton apparence, ta chair, ce besoin irrépressible de changer de peau, de t'arracher les muscles jusqu'aux os. tu portes les ongles très courts, et les cheveux en vrac. à ton oreille, un anneau argenté, démesuré. à bien y regarder, on te l'a déjà arraché, ton lobe en porte encore la marque écœurante. tu enfonces tes doigts au fond de ta gorge, une manière de décuver, sortir de ton état de sobriété. tu veux avoir mal. non, tu veux juste t'apaiser. tu hais les salles de bain. le carrelage froid. les murs froids. l'eau glacé. ta peau bouillante, ton corps dénudé. incapable de se préserver, dans l'obligation d'être ce que tu es. un déchet. 06_ la foule. elle t'enivre. tu n'aimes pas être bousculé, être frôlé, mais dans la foule, tu te sens happé, avalé, digéré par une masse mouvante et redoutable. dans la foule, tu n'es rien, ni personne, encore moins qu'à l'accoutumée. tu n'es rien d'autre qu'un atome dans cette curieuse construction. rien qu'un enfant égaré qui se laisse vaguement porter par les flots. tu remontes à la surface de temps en temps, mais bien souvent, tu retournes t'immerger. tu voudrais parfois qu'une main se tende vers toi. pour t'enfoncer dans ces corps et te noyer ou pour t'extirper de ce rythme fou, dans lequel tu te perds, à chaque seconde un peu plus. 07_ l'argent qui glisse par les trous dans ses poches, qui échappe, qui se perd. il fuit dans les dépenses incertaines, cigarettes, alcool, drogue. il s'échappe tant et si bien qu'il est quasiment impossible de l'économiser. sans lui, te voilà entraîné dans le vagabondage, l'errance. le manque de pied à terre te force à rester éveillé, à cauchemarder les yeux grands ouverts. crises de panique au cœur de la nuit. cercle vicieux. pessimisme artificiel. il n'y a pas d'issue, pas d'issue. tu es seul, tu galères. tu bouffes la poussière quand tu ne te roules pas par terre. et quand tu fermes les yeux, quand tu les fermes enfin, de l'autre côté, il n'y a rien. il n'y a plus rien.

Prénom / Pseudo_ creature, chaton.
Âge vingt-deux ans.
Pays / région / ville france, la capitale.

Ton perso_ inventé dans un moment d'égarement. Comment as-tu connu le forum_ le projet sur bazzart, un coup de cœur à la con, comme si j'avais le temps pour ces conneries, j'te jure.

Tu fais quoi dans la vie ; je perds mon temps; des études dans la com, pour être da, graphiste, chef de proj ou que sais-je encore, des boulots qui me feront crever avant cinquante ans. T'es déjà arrivé saoule au bureau/à l'école_ y arriver non, consommer des bières dans l'enceinte dudit lieu, oui, je plaide coupable. Plutôt ville ou campagne_ la ville des campagnards, celle qui a internet, mais des arbres un peu partout. Si tu pouvais inviter qui tu veux à dîner (même mort), ce serait qui_ Johnny Cash, pour le plaisir d'entendre sa jolie voix au moins une fois pour de vrai. Ta phobie la plus étrange_ les ballons de baudruche. et c'est vraiment pas une plaisanterie. Les séries que tu aimes_ la liste est longue, j'en ai certainement plus de 200 dans ma liste de "à voir". mon dernier coup de cœur en date est Russian Doll. Quel est le film dont tu connais touts les répliques par cœur_ c'est pas très glorieux, mais les répliques de RRRrrr!!! me reste facilement en tête. sinon, les disney, globalement, je maîtrise. Qu'est-ce que tu écoutes comme musique dans l'ensemble_ c'est le domaine dans lequel je suis le moins difficile, tant que ça ne passe pas trop à la radio (car comme tout le monde le sait, la radio est un gage de non qualité) La chanson honteuse que tu adores_ sissy that walk de RuPaul, assumons jusqu'au bout ma passion drag queen. Plutôt bouquin ou plutôt liseuse (ou fuck la lecture ?)_ un bouquin sans hésiter. Est-ce que tu fangirl sur une célébrité en particulier_ quelques unes. disons que si tu me veux dans ton lit, tu mets un masque avec la gueule de Jon Bernthal et c'est bon quoi. T'as déjà volé quelque chose ? si oui, quoi_ le dogtag d'une nana de ma classe y a des années. enfin, disons que je ne le lui ai jamais rendu. Si tu ne pouvais manger plus qu'un seul plat pour le reste de ta vie, ce serait lequel_ impossible, j'aime trop la bouffe pour pouvoir choisir. Est-ce que tu fais du sport ou une activité_ j'en ai fait, j'ai plus le temps. dans quelques mois, j'espère avoir des moments pour bouger mon fat ass. T'es plutôt du matin ou du soir_ du soir, de 23h à 2h, le monstre se réveille. La sieste pour toi, c'est le bien ou le mal_ celle qui suit le repas du midi, un peu au soleil là, ah, c'est délicieux. mais ça reste le mal, j'ai l'impression de perdre mon temps. je préfère le perdre sur l'ordinateur. T'as des manies/habitudes alimentaires bizarres_ non, je mange vraiment de tout et n'importe quoi. Quel est le pire cadeau qu'on t'ai offert_ le coup des bons d'achat, c'était pas mal. Raconte-nous une blague_ c'est l'histoire d'un pingouin qui respire par le cul. un jour il s'assoit et il meurt. rigole plz.

Code:: <bottin1>tamino</bottin1> / <bottin2>@"aj lucero" </bottin2>

Invité

+1 si je me sens l'âme poète
(si tu contractes, ça fait lâmpouet)
((rigole plz))

edit ; j'suis pas un poète

ouhhh toutes tes images assorties aux couleurs du design, je valide
(en plus celle utilisée tout en haut je l'aime trop )
bienvenue officiellement du coup ! comme dit sur discord j'te poke tomorrow pour causer affaires

hmm quelqu'un qui fait des blagues nulles, intéressant on pourra faire des concours

enfin en tout cas si tu as besoin de quoi que ce soit, tu sais où nous trouver

Invité

franchement, tu peux, j'ai littéralement passé 30 minutes à en trouver qui me plaisent (( e x o d e 2082058761

(oé elle est si belle ! elle me colle des frissons jpp)
merci chaton (( e x o d e 3944707180

j'attends de tes news avec impatience
~~franchement, je suis inspiré ce soir, c'pour ça~~

Invité

Han ce joli minois ! (( e x o d e 1039351271

J'ai hâte de voir ce que tu vas nous faire avec ce perso du coup. En tout cas si tu as besoin de liens d'avances ou quoi hésites pas à mp ! ^^

Invité

que de la beauté par ici (( e x o d e 50136753

bien hâte d'en lire plus (( e x o d e 566634977

bienvenue et bon courage pour le reste (( e x o d e 1929569289

Gniii mais moi je veux en savoir plus wesh (( e x o d e 1039351271

En tout cas, trop de beauté ici. (( e x o d e 2479461917

Invité

@ash hopkins merci petit chat et que dire du tien ! (( e x o d e 3944707180

@eka cortez on en parle de ton choix de vava ? je MEURS ah !
@malcolm allen ça vient, ça vient (( e x o d e 840147780

merci joli

Invité

euh par contre ta bouille + ta plume je meurs, je suis amoureuse
je vais te stalke mais comme jamais chaton
(( e x o d e 2219691522

Invité

stalke moi autant que tu veux jolie, mais sache que je te stalke déjà en retour (( e x o d e 3944707180

Ton personnage est vraiment cool, tout comme ta plume (( e x o d e 4107408732

bienvenue

Invité

merci jolie ! et ce choix de vava, je dis oui (( e x o d e 566634977

_WELCOME HERE

alors, mdr. après avoir lu ta fiche c'est ainsi que je visualise aj désormais : clique.
SORRY BUT NOT SORRY
mais sinon à part ça c'est tout parfait, j'adore vraiment le personnage et pis ta plume est trop dslmkdsmdl grave contente qu'on se soit trouvé un truc (d'ailleurs je reviens vite sur discord pour qu'on termine tout ça ). Amuse toi bien et sois sage (pas trop)
_________________

Olé, bienvenue à toi. Ta fiche est désormais validée tu es un membre à part entière du forum.

Tu vas pouvoir participer à la vie rpotique de C R O C O D I L E / G A M E S. Prépare-toi, ici on aime le drama !

Pour t'aider dans tes premiers pas sur le forum, on t'a listé sur le côté tous les liens pratiques qui peuvent te servir. N'hésite pas à faire un tour d'horizon pour vérifier que tout est bon avant de te lancer.

On a hâte de voir ce que ton personnage va donner.

PS : n'oublie pas de créer ta "feuille de personnage" dans le profil afin qu'il soit complet.

Invité

j'ai. éclaté de rire.
et craché ma tisane avec ça, y en a partout.
un massacre !

merci mon loukoum (( e x o d e 2168834339