soeur haine (1/1 libre)

INFORMATIONS PERSONNAGE_ les rues étroites sous le joug de la belle ambrée qui éclate le ciel de ses rayons infernaux. les familles imparfaites qui s'entassent dans de médiocres appartement en ruines. les rires qui fondent sur les murs, les cris parfois, le silence rarement. c'est agité, c'est son coin, son coeur. l'espagne, elle l'a dans la peau, la vraie, l'impitoyable, la majestueuse, celle que l'on ne voit que très peu en cartes postales tant elle paraît laide dans sa précarité. c'est la p'tite dernière. pas plus aimée. pas plus avantagée. femme et enfant aux multiples responsabilités, au caractère bien trempé, parce que le monde le veut, parce qu'il l'a pousse à être un peu des deux.  
AVATARS_je suis absolument pas difficile, je sais que l'avatar peut-être important pour l'appropriation du personnage donc faites vous plaisir    
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LIEN AVEC SALEM_c'est le sang qui court les veines, qui bat dans les tempes et inonde le myocarde. c'est les coups d'ongles quand les corps s'entrechoquent dans des rixes d'enfants, c'est les surnoms éclatés au sol qui fusent et tapent sur le système, c'est les je t'aime à la pelle, les embrassades pour consoler les palpitant émietté, c'est le frère, c'est la soeur, un tout en château de cartes soufflés brusquement.
le silence assourdissant, le mutisme accablant, elle lui a explosé le palpitant avec la violence de son impartialité. elle l'a crevé, cette nuit là, quand les lueurs de la justice ont tapissé le ciel sous la mélodie des sirènes qui se rapprochaient dangereusement, douloureuse aurore boréale qui lui retourne le myocarde chaque fois qu'elles fusent qu'importe l'heure ou l'endroit. elle l'a balancé, il l'a détestée. souvenirs biaisé par la ruée soudaine, elle n'a pu lui dire qu'elle n'y était pour rien, qu'elle n'a fait que suivre et qu'elle a essayé, elle a tenté de raisonner ses géniteurs en bêtes cupides qui n'avaient à coeur que de balancer leur propre fils aux autorités