(rêve - tw incest) // pain is for pleasure (arena)

ceci est un rêve. (sexuel) (avec de l'inceste).
@ares kaiser

si c'est ce qu'il veut, athéna va lui donner ce qu'il veut. aucune hésitation. et elle est pas nue. ça irait pas dans l'idée du but désiré. le harnais qui va bien avec l'ambiance qui va être mise en place. ton qui laisse pas le temps de réfléchir quand elle ouvre la porte. "Ares." dit athéna en entrant dans la chambre de son frère. il dort? c'est pas très grave, elle est sûre que son réveil va lui plaire, surtout avec ce que porte athéna. femme fatale, à souhait. elle ne lui laisse pas vraiment le temps d'ouvrir les yeux avant de venir s'asseoir au-dessus de lui dans son lit. "Réveille-toi." souffle athéna contre son oreille et au ton de sa voix, ça s'entend que c'un ordre - pas le dernier cette nuit. qu'il a pas vraiment d'autres choix que celui d'ouvrir les yeux. tandis qu'elle s'appuie sur sa main gauche, y a sa main droite qui passe dans les cheveux d'ares, tire un peu, réveil un peu agressif. en même temps, athéna est pas venue ici pour lui donner de la douceur, pas maintenant. seulement quand ce sera de la douceur qu'il voudra et c'clairement pas le cas pour l'instant. et sa main continue de tirer ses cheveux avant qu'un de ses doigts glisse le long de sa joue pour finalement atterrir autour de sa gorge. elle serre les côtés, approche son visage de celui d'ares. langue qui vient frôler ses lèvres, athéna sourit contre les lèvres de son frère. elle attend qu'il soit complètement éveillé avant de continuer, même si elle n'a pas desserré sa prise, ce serait trop facile.

T’es rentré du taf, un peu claqué. L’esprit un peu trop préoccupé par tous les rebondissements dans les rues, notamment la prise de pouvoir par Los Zetas et la chute de ton gang, les Juggalos. Ça chuchote partout, tout le temps, dans votre groupe. Et toi, ça te bourre le crâne, t’arrives pas à t’sortir tout ça de la tête mais ce soir, tu vas t’forcer.

Porte de ta chambre fermée, l’ordi allumé sur le lit. C’est sur Pornhub que t’atterrit rapidement. Bon moyen d’se vider la tête ça, non? Et de vidéos en vidéos, main entre tes jambes, tu te perds dans les tréfonds du site. Une chose en entraînant une autre, tu fais pas trop attention et tu finis sur des bails un peu déviants. Ouais, il est temps d’éteindre l’ordi et d’aller dormir maintenant.



Sauf que tu t’fais réveiller un peu trop vite. "Ares." D’abord tu crois qu’c’est dans ton rêve qu’on t’appelle, alors tu fais un peu le mort, la fatigue qui l’emporte. Si t’ouvres pas les yeux, tu finiras vite par te rendormir. Sauf que tu sens un poids sur ton corps et un souffle contre ton oreille. "Réveille-toi." Tu gémis un peu pour protester, comprenant pas pourquoi elle te réveille alors que ça fait genre une heure que tu dors. Tu sens sa main te caresser les cheveux — enfin, tu croyais, mais en fait elle te les tire. Et tu sens son index effleurer ta joue avant que sa poigne ne te serre la gorge. Là, tu décides d’ouvrir les yeux. Et bordel, y’a Athéna qui est assise sur toi, et elle est vêtue de… enfin, non, elle est pas vêtue en fait. À l’exception des harnais qui lui emprisonnent la peau. Ça a quelque chose de foutrement excitant — pourtant, quand elle approche son visage du tien et que sa langue touche tes lèvres, tu protestes. "Athé, qu’est-ce qu’tu fais… On est pas censés…" Voix rauque, encore un peu endormi, et surtout les cordes vocales un peu compressées par ses doigts. Tu lui as pourtant dit qu’vous ne pouviez plus faire ça, tu lui as dit qu’c’était pas elle qui décidait quand il s’agissait de votre relation. Et que si tu disais stop, ça voulait dire stop.

c'pas comme si ares avait le choix, mais quand bien même, elle serait pas là s'il voulait pas que ça arrive. alors athéna le réveille. d'abord en venant s'asseoir au-dessus de lui. puis en se penchant. murmure au creux de l'oreille d'ares. elle entend la protestation, mais c'est pas ça qui va la stopper. ses doigts viennent tirer ses cheveux, viennent réclamer l'attention qu'athé mérite. puis ils glissent le long de sa joue, doucement, avant de finir leur course sur sa gorge. athéna serre, mais pas suffisamment fort pour lui faire mal, juste assez pour que sa présence soit vraiment remarquée. et ça fonctionne. ares ouvre les yeux. c'est bien. bouche qui s'approche de la sienne, mais au lieu de l'embrasser, c'est la langue d'athéna qui vient frôler ses lèvres. "Athé, qu’est-ce qu’tu fais… On est pas censés…" pour quelqu'un qui semble ne pas être d'accord, il ne fait pas grand chose pour l'arrêter. voire même rien du tout. les doigts qui enserraient précédemment la gorge d'ares viennent frotter ses lèvres avant de se glisser dans sa bouche. athéna hausse un sourcil en le regardant, le défit d'oser rétorquer quoi que ce soit. "Tu disais, Ares? On est pas censés... ?" pleine d'assurance, parce que s'il n'a pas encore compris, cette fois, ce n'est pas lui qui décide. enfin pas vraiment. le consentement entre toujours en jeu, mais à part si c'est pour lui mettre un vrai stop, ça ne sert à rien de l'ouvrir. clairement. "J't'écoute." dit-elle tandis qu'elle retire ses doigts de sa bouche, toujours le même sourire fier accroché aux lèvres. elle se redresse, le surplombe de sa hauteur juste avant de glisser sa main sous la couverture pour aller voir ce que pense son entrejambe de la situation. "Tu sais très bien ce que je fais. Par contre, ce que j'vais te faire... tu vas le découvrir au fur et à mesure." et c'est tout ce qu'il aura comme préparation. y a certaines parties de son corps qui sont très bien réveillées. manque que lui et s'il se dépêche pas, elle va devoir utiliser la force. et ça lui plairait, à ares, elle le sait. alors peut-être que c'est juste ce qu'il cherche.

Tu protestes, tu lui avais dit que c’était pas possible entre vous, quand bien même vous vous êtes avoués vos sentiments. Pourtant elle est là, en pleine nuit dans ton lit, les seins à l’air et tu sais qu’c’est pas correct. Ses doigts quittent sa gorge et t’as une seconde de latence où tu te dis qu’elle va t’écouter, qu’elle va s’arrêter, qu’c’était juste une blague de mauvais goût. Mais non. Elle vient enfoncer ses doigts dans ta bouche. Regard faussement innocent, sourcil arqué. "Tu disais, Ares? On est pas censés... ?" Et toi, t’es bouche bée. Littéralement, pour le coup. Tu protestes pas — parce que t’façon, tu peux pas vraiment parler la bouche pleine. "J’t'écoute." Tes yeux continuent de la regarder en silence, essayant de comprendre ce qu’elle fait. À quoi elle joue. Elle retire ses doigts de ta bouche et tu passes ta langue sur tes lèvres pour nettoyer la salive qu’elle a entraîné dans son retrait. Et elle sourit. C’foutu sourire que tu connais trop bien, parce que tu le maitrises parfaitement. La fierté. T’as bien assez vu ta tête dans l’miroir et les airs de famille sont là. Tu vois sa main se faufiler sous les draps avant même de la sentir. "Tu sais très bien ce que je fais. Par contre, ce que j'vais te faire... tu vas le découvrir au fur et à mesure." Tu ravales ta salive quand tu sens ses doigts s’enrouler sur ton entrejambe, les paupières qui s’ferment juste histoire de quelques secondes. Un soupire qui s’échappe de tes lèvres — frustration? plaisir? agacement? Tu sais pas trop, c’mélangé, les pensées qui se bousculent et se flouttent dans ton esprit à son contact. "Je…" Tu rouvres les yeux, les poses à nouveau sur elle. "C’pas bien." T’es catégorique sur ça, tu l’sais, tu l’penses. Mais c’pas parce que c’est pas bien que t’en as pas envie. T’façon, ton corps parle pour toi, et ça, tu le contrôles pas.

les protestations d'ares sont vaines et surtout elles ne veulent pas dire grand chose. est-ce qu'il veut qu'athéna arrête? il n'a pas l'air. ni quand elle a sa main sur sa gorge qui serre un peu (elle pourrait faire pire, serrera surement plus fort tout à l'heure), ni quand elle a ses doigts dans sa bouche la seconde d'après. mais qu'il lui dise non et elle s'arrêtera. sauf qu'il a beau dire, ares n'a pas vraiment l'air d'avoir envie qu'athéna s'arrête. encore moins quand elle retire ses doigts de sa bouche pour les glisser sur son entrejambe. ouais, faut croire que ça lui déplait pas tant que ça. ses yeux se ferment tandis qu'il se lèche les lèvres. grâce à ça, y a même l'impossible qui arrive, parce que le sourire déjà beaucoup trop fier d'athé s'agrandit encore un peu. "Je… C’pas bien." dit ares en la regardant à nouveau. et elle hausse un sourcil en guise de réponse, accentue les mouvements de sa main. nouvel air de défi plaqué sur le visage. "Et donc?" ça veut tout dire et rien dire à la fois, faut être plus précis. en tout cas, en attendant sa réponse, athéna est plutôt à l'aise. pense déjà à ce qu'elle va lui faire après. hm, ça promet d'être intéressant. "Tu veux que j'm'arrête?" et pour la peine, ses mouvements ralentissement, juste pour lui montrer que c'est beaucoup moins bien quand elle se calme et que la pression se fait moindre. "On t'a déjà attaché, Ares?" question posée avec innocence malgré la situation. question dont athéna pense déjà connaître la réponse, mais elle demande quand même. pourquoi? par curiosité et aussi pour préparer le terrain. ares n'est probablement pas prêt pour ce qui l'attend, mais il va forcément finir par l'être. c'lui qui veut tout ça après tout.

Y’a tout qui s’bouscule dans ta tête. Parce que tu la tiens à l’écart depuis un bon bout de temps maintenant. Parce que tes autres relations ne semblent jamais marcher — toujours les pensées qui vagabondent et ramènent son visage dans ta tête. Pas capable de t’satisfaire d’autre chose qu’elle. C’est sûrement pour ça qu’t’y mets pas vraiment du tien quand tu protestes. Tu l’fais parce que tu sais que c’est la bonne chose à faire. Le choix moral. Mais ton corps… ouais, non — ton corps n’est clairement pas du même avis. Encore moins quand elle te touche. Six mois de relation charnelle, elle a bien vite appris comment s’y prendre avec toi. Et plus tu cherches à rester moral, plus elle s’investit dans sa quête du fruit défendu. Bordel. "Et donc?" Elle s’en fout, en fait. Tu sais même pas pourquoi ça te surprend — elle te le dit depuis le début, qu’elle s’en fout de la moralité. Entre vous deux, y’a que toi qu’ça gêne. "Tu veux que j'm'arrête?" Elle perd son rythme qui te tenait éveillé et tu grinces un peu des dents, ne voulant pas forcément montrer ta frustration — pourtant, c’est compliqué. L’ange et le démon sur tes épaules qui s’font la guerre ; mais il est tard, il fait nuit, dans la pénombre qui sait ce qui peut se passer? Et puis faut dire qu’t’en as envie aussi, dire le contraire serait mentir. Elle avait promis de garder ses distances, elle avait promis d’oublier tout ça — pourtant elle s’retrouve là, sur toi, te laissant pas trop l’choix. Elle t’a demandé ton avis, certes, mais elle a déjà grimpé sur toi, y’a déjà sa main dans ton boxer qui s’amuse — t’façon, il est déjà trop tard. Alors tu cèdes. Secoues la tête. Tu t’rends à l’évidence, en fait. "Nan, j’veux pas qu’tu t’arrêtes." Confidence soufflée, tu t’forces à pas penser aux conséquences, à pas penser à l’après — qu’est-ce que vous ferez demain matin quand vous vous réveillerez?

"On t'a déjà attaché, Ares?" Question qui sort de nulle part et qui t’fait lâcher un petit rire moqueur. Elle est pas sérieuse quand même? T’as été condamné pour avoir abusé d’une nana, si t’avais pu être attaché, ça serait pas arrivé. Sauf que c’pas vraiment ton domaine. "Sûrement pas, nan. Tu m’connais." Tu préfères tout contrôler, être le boss, ça te plait. "Sauf pour quelques sessions de torture mais j’suppose que c’était pas ce que tu demandais." Et tu parles de torture sale, celle où t’es cloué à une chaise à te manger des poings en échange d’informations. Pas la torture à laquelle elle pense sûrement.

ares ne lui a laissé le choix sur rien, ni sur la façon de gérer la relation, ni sur la séparation. alors athéna est là, au-dessus de lui et si elle lui laisse le choix de dire non, elle lui laissera pas totalement le choix de la suite une fois qu'il aura dit oui. envie de gérer la situation et surtout, elle a envie de s'amuser et elle sait que ça déplaira pas à ares. sinon elle serait pas là. c'pas pour autant qu'elle impose totalement sa présence. enfin si, mais pas vraiment. il a le choix. même si elle est au-dessus de lui, même si sa main est déjà dans son caleçon, après tout, c'est qu'un détail ça. c'est pas censé l'influencer plus que ça. sauf qu'elle voit son air mécontent quand le rythme de sa main ralentit. hm. ares réfléchit et athéna attend patiemment qu'il se décide. pour l'encourager à prendre une décision objective, elle pourrait se mettre à côté de lui, mais non. elle est pas là pour entrer dans l'objectivité, elle. elle l'a jamais été. décision prise depuis un moment et c'est tout le temps lui qu'elle attend. "Nan, j’veux pas qu’tu t’arrêtes." répond enfin ares dans un murmure et y a immédiatement un sourire satisfait qui apparait sur le visage d'athéna. pas besoin de lui dire deux fois. sa main se remet à faire des vas-et-viens autour de son entrejambe pendant qu'elle pose une question. y a le petit rire moqueur d'ares qui fait hausser un sourcil à athéna. elle va pas le relever tout de suite, parce qu'il a surement pas encore compris comment la partie allait se jouer, mais elle retient. "Sûrement pas, nan. Tu m’connais. Sauf pour quelques sessions de torture mais j’suppose que c’était pas ce que tu demandais." athéna fronce un peu les sourcils, parce qu'effectivement, c'était pas exactement ça qu'elle sous-entendait. puis finalement, elle hoche la tête. donc, dans le contexte actuel, ares n'a jamais été attaché. oui, athéna s'y attendait et après avoir entendu le rire qu'il a lâché un peu plus tôt, faut croire qu'il n'a pas l'impression que ça sera le cas cette nuit. "Y a une première fois à tout." lui répond athéna d'un ton qui en dit long, suffisamment pour qu'il puisse comprendre que ouais, c'est prévu. mais chaque chose en son temps. d'abord, athéna revient chercher ses lèvres, une de ses mains toujours en train de le titiller plus bas, l'autre qui revient se poser sur sa gorge et serre doucement, assez pour faire pression, toujours pas assez pour faire mal. le but c'juste de lui faire comprendre qu'elle peut serrer plus fort si elle veut. "J'vais t'attacher bientôt, comme ça, tu pourras pas me toucher. J'vais décider de ce que je veux te faire et tu me diras même s'te plait. T'as le droit de vouloir arrêter, mais pour le reste? Je gère." un bref résumé pour bien lui faire comprendre la situation. elle retire sa main de sa gorge, retire également sa main de son caleçon pour venir glisser sa langue, puis ses dents dans son cou. elle mord, laisse une marque. ou deux. le laisse encore un peu réfléchir. y a les menottes parterre à côté du lit, prête à être utilisées. la vraie question, c'est est-ce que ares est prêt? probablement pas, mais il finira par l'être.  

Peu importe à quel point tu sais qu’vous devriez pas être en train de faire ça, tu lui avoues qu’tu ne veux pas qu’elle s’arrête. Parce que t’as beau te voiler la face autant qu’tu veux, ça t’a manqué. Ça te manque. Ses mains contre ta peau, le regard joueur qu’elle te lance, la voix suave qui te murmure à l’oreille. Et comme si c’était la seule phrase qu’elle attendait d’entendre, à peine t’as prononcé les mots magiques que ses mouvements reprennent de plus belle pour te faire davantage plaisir.

La question inattendue qui arrive, ton rire qui retentit avant que tu ne lui répondes honnêtement. Évidemment que t’as jamais été attaché au lit. C’pas ton genre. C’est même pas vraiment ton genre d’attacher les meufs non plus. Pas vraiment dans ce délire, trop d’accessoires, trop de préparations — toi, c’est plutôt dans l’impulsivité que tu te plais. Si tu veux que la meuf ne puisse pas utiliser ses mains, tu lui tiendras les poignets dans les tiennes. Si tu veux qu’elle se taise, tu mettras ta main devant sa bouche. Y’a pas b’soin de tous ces trucs qui semblent être à la mode depuis quelques années. La faute à Fifty Shades of l’autre gars méga riche, là.

"Y a une première fois à tout." À ton tour d’hausser un sourcil. Pas vraiment sûr de comprendre ce qu’elle veut dire. Ou du moins, tu le comprends mais t’espères qu’il y a malentendu, t’espères que tu te trompes.

Attention qui est détournée par ses lèvres qui reviennent chercher les tiennes. Et tu te laisses faire, tu réponds même, t’intensifies le baiser — et tu ravales ta salive, instinctivement, quand tu sens ses doigts s’enrouler autour de ta gorge. À quoi elle joue? "J’vais t'attacher bientôt, comme ça, tu pourras pas me toucher. J'vais décider de ce que je veux te faire et tu me diras même s'te plait. T'as le droit de vouloir arrêter, mais pour le reste? Je gère." Tu fronces les sourcils mais elle ne semble pas y faire attention. Ses mains quittent ton corps et ses dents mordillent ton cou. Ou plutôt, mordent. Le genre de morsure qui laisse des marques. T’essayes de réfléchir, t’as pas trop l’esprit dans le moment présent. "Pourquoi?" que tu lâches finalement, tes mains sur ses bras la faisant se redresser un peu. Tu comprends pas pourquoi elle veut ça. Si elle a envie de toi, elle a pas besoin de tout ça. Si? Parce que clairement, dans tous les cas, y'a une subtilité que tu saisis pas, là.

c'est pas comme si ares allait refuser ses avances. athéna ne serait pas là s'il ne voulait pas qu'elle y soit. et de toute façon, elle connait ses faiblesses. pas pour autant fan du rire moqueur qui s'échappe des lèvres de son frère. meh, c'pas grave après tout, elle corrigera l'attitude après. chaque chose en son temps, mais athéna retient. les mouvements de sa main autour de son entrejambe continuent. prête à le rendre fou, c'est clair et net. elle lui sous-entend son plan. ouais, elle compte l'attacher, mais rien de bien méchant. envie d'être en contrôle de la situation, de lui faire voir l'autre côté. s'il peut la toucher, il sera obligé de se concentrer sur ce qu'elle lui fait. ares n'a pas l'air ravi. oopsies. mais elle détourne son attention aisément. ses lèvres qui viennent chercher les siennes font diversion et il répond au baiser. y a un petit sourire en coin qui revient sur les lèvres d'athéna tandis que sa main se pose sur son cou. plan dévoilé entièrement cette fois-ci. il n'a toujours pas l'air ravi. hm. y a plein de moyen de lui faire comprendre que son plan est très bon. athéna est douée pour ça, il devrait le savoir. mais elle retire ses mains, prend appui sur elles pour venir l'embrasser dans le cou, puis mordre. plus ou moins fort. assez pour faire des marques aux endroits où elle passe. "Pourquoi?" lui demande ares. il pose ses mains sur les bras d'athé, la force à se redresser. et cette fois, c'est elle qui fronce les sourcils. son regard vient se planter dans celui de son frère. et y a un sourire malicieux qui arrive alors qu'elle retire les mains d'ares et les plaque sur le lit à l'aide des siennes. "Y a déjà une raison que tu viens de me donner à l'instant." et cette fois, c'est elle qui a l'air moqueuse. fallait pas qu'il lâche ce rire tout à l'heure. "Et surtout, la vraie raison, c'parce que j'en ai envie. T'as des objections? Parce que si c'pas le cas, on perd du temps là." certes, si ares veut, il peut dégager ses mains, mais s'il a compris quelque chose jusqu'à présent, alors il le fera pas. surtout après la première phrase d'athéna, ça ferait que lui donner des raisons de plus. "Mais comme t'as l'air d'avoir un peu peur, on va faire un truc d'accord? Si tu me touches pas, on pourra rester comme ça. Ou seulement quand j'te dis de le faire." ouais, parce qu'au cas où ça ne soit pas encore rentré, c'est elle qui décide. elle revient l'embrasser et lui lâche les bras, juste pour voir s'il a bien compris les règles du jeu.

Ben non, t’as pas trop envie d’te faire attacher toi. Fin genre, tu comprends pas c’que ça va apporter. Tu pourras même pas la toucher. Elle aimerait bien qu’tu la touches, non? Sinon elle vivrait pas aussi mal la séparation. Alors pourquoi elle aimerait bien te priver de ça? Se priver elle-même de ça? La raison t’échappe totalement.

Pourtant, Ares, la raison est simple. Et tu devrais la comprendre assez rapidement puisque tu cherches la même chose dans la vie de tous les jours : avoir le contrôle. Sauf que ça t’vient pas à l’esprit qu’Athéna puisse vouloir le contrôle. Et encore moins sur toi.

Elle retire tes mains posées sur ses épaules pour venir te bloquer les poignets de chaque côté de ton visage. Elle t’empêche de bouger. "Y a déjà une raison que tu viens de me donner à l’instant. Et surtout, la vraie raison, c'parce que j'en ai envie. T'as des objections? Parce que si c'pas le cas, on perd du temps là." Okay, donc elle la joue vraiment autoritaire. Genre, c’est elle la patronne. Hm. Tu veux toujours lui faire plaisir dans la vie, à ta soeur. Mais là…? T’es pas trop sûr de ce dans quoi tu t’engages, pour être honnête. "Mais comme t'as l'air d'avoir un peu peur, on va faire un truc d'accord? Si tu me touches pas, on pourra rester comme ça. Ou seulement quand j'te dis de le faire." Ah? Okay, très bien. C’est une boss conciliante, ça va.

Ça va être facile t’façon, n’est-ce pas? Pour lui rendre son baiser, t’as pas besoin de tes mains. Tes lippes qui dansent contre les siennes, humides d’envie. Sauf que quand ça s’intensifie, ça devient plus compliqué. Ton bas-ventre qui se contracte, ton bassin qui se soulève un peu sans même que tu n’en aies conscience, l’érection qui démange. Alors tu viens chopper l’une de ses mains pour la glisser à nouveau dans ton boxer. "S'te plait." Elle peut pas te teaser comme ça et s’arrêter d’un coup. C’pas possible. T’as forcément envie d’plus, maintenant.

ares, pour l'instant, il a pas l'air de bien comprendre les règles du jeu. athéna l'accepte, lui laisse un temps d'acclimatation, lui laisse le temps de bien comprendre tout ce qu'elle dit. une fois que sa patience se sera envolée par contre? là, ares aura plus vraiment le choix que de se plier à ses demandes. bien entendu, il a le choix de vouloir arrêter, mais ça va tellement de soi qu'athéna ne le précise pas de nouveau. il peut la faire reculer s'il veut, mais ça dure pas longtemps. athéna bloque ses mains à l'aide des siennes. faut qu'il comprenne qu'il la touche qu'avec son autorisation. sans, c'est non. athéna lui laisse une dernière chance. juste parce qu'il n'a pas l'air serein à l'idée de se faire attacher. s'il respecte les règles, y aura pas de problèmes.

athéna revient l'embrasser et ares répond à son baiser, mais il la touche toujours pas. y a son bassin qui remue contre celui d'athé et elle sourit. elle aime bien le sentir s'agiter contre elle. mais ares est impatient et faut croire qu'il aime pas écouter ce qu'on lui dit, parce qu'il pense pouvoir décider de la suite des événements. il attrape le poignet d'athéna et glisse sa main dans son caleçon. réclame, mais pas que. "S'te plait." hm, c'pas désagréable à entendre ça, mais dommage pour lui, il vient de niquer sa seule chance d'être presque libre de ses mouvements. "J'aime bien quand tu supplies. Continues, t'auras peut-être ce que tu veux." ouais, sait-on jamais, s'il supplie avec suffisamment de conviction dans la voix, peut-être que ça fonctionnera.

"En attendant, par contre, t'as perdu." dit athéna en haussant les épaules. elle retire sa main de son caleçon. ares a pas le choix. elle se penche et récupère les menottes à côté du lit. "Tes poignets." et même s'il y a un sourire en coin qui illumine son visage, son regard laisse pas place à une quelconque discussion. elle lui met une menotte, fait passer la chaine autour d'un des barreaux de la tête de lit avant d'attacher son autre poignet. bloqué. un sourire satisfait apparait sur le visage d'athé. elle vient mordre la lèvre inférieure d'ares juste avant de frotter ses fesses contre son entrejambe. "Contraint et forcé d'être sage." elle secoue la tête, amusé, juste avant de se redresser. elle lui enlève son caleçon, il commence à gêner. elle glisse une main entre ses propres cuisses, juste parce que même si ça l'amuse de le torturer, ça lui donne envie à elle aussi. et elle le touche à lui aussi en même temps, mais doucement. pour l'entendre supplier un peu plus, surement.

N’pas toucher, ça doit pas être si difficile, n’est-ce pas? Tu peux t’retenir. Sauf que quand elle t’embrasse comme ça, c’est compliqué. Plus que ce que t’aurais pensé. Faut dire qu’elle t’a manqué. Et elle t’a chauffé, aussi. Tu restes un mec, ton corps a réagi et t’arriveras pas à te calmer tant que t’auras pas expulsé la frustration.

Le bassin qui ondule, t’agrippes sa main pour la fourrer dans ton boxer. Tu réclames gentiment, parce que l’envie ne fait que s’aggraver et elle a besoin d’être assouvie. "J'aime bien quand tu supplies. Continues, t'auras peut-être ce que tu veux." Tu roules des yeux en lâchant un petit sourire amusé à ses mots. Elle te taquine, pas vrai? "En attendant, par contre, t'as perdu." Non, c’est pas de la taquinerie. Du moins, ses menaces étaient sérieuses. Merde. T’aurais pas cru qu’elle tiendrait parole, toi. "Tu sais que j’suis mauvais perdant." qu’tu dis, la moue boudeuse collée au visage — comme si ça pouvait l’attendrir et la faire changer d’avis.

Elle se penche, récupère un truc qui fait un bruit de cliquetis métallique. "Tes poignets." Cette fois, c’est elle qui se met à sourire, alors que toi, tu soupires doucement — sans pour autant cacher ton semblant de mécontentement. Tu tends tes mains face à elle. "C’est parce que j’t’aime que j’fais ça parce que crois-moi, jamais personne me fera ça. Mais… pour toi, j’veux bien jouer le jeu." T’es pas sûr que ça t’enchantera, mais qui sait? T’façon, elle a trop l’air déterminée pour complètement abandonner sa lubie de la soirée. Poignets attachés autour d’une barre de métal — tiens, tu pensais pas qu’il y avait une tête de lit comme ça dans ta chambre, bizarre — Athé a l’air satisfaite et elle vient planter ses dents dans ta lèvre inférieure, comme pour marquer son nouveau pouvoir. Ses fesses qui ondulent sur ton bassin déjà gonflé à bloc n’arrangent rien à ton état. "Contraint et forcé d'être sage." Tu roules à nouveau des yeux, esquisses un petit sourire. Sage? C'est mal te connaître. T'as jamais été sage de ta vie, c'est sûrement pas ce soir que tu vas commencer. "Profites-en, ça sera la seule et unique fois." Et visiblement, elle compte bien en profiter, puisqu’aussitôt, elle te retire le seul tissu qui fait barrage entre vous. Elle reprend ses vas et viens entre tes cuisses mais c’est lent, presque inexistant. "Tu me frustres." que tu lâches, pas franchement heureux en ce moment même. Et tu sais pas si ton humeur s’améliore ou si elle se dégrade encore un peu plus quand tu la vois se toucher devant toi. Toi qui es coincé. Dans l’impossibilité de te rendre utile. Alors tu grognes un peu, bête sauvage qui exprime son mécontentement face à l’humain qui essaye de le domestiquer.

athéna l'a prévenu et elle l'a fait plusieurs fois en plus. elle lui a même laissé une dernière chance en lui annonçant la couleur encore une fois. mais non, ares, il a pas l'air de vouloir accepter les règles qu'elle impose. pas grave, il va devoir s'y tenir malgré lui. peut-être qu'il n'y croit pas, ares, mais il va bien falloir qu'il comprenne. c'pas une blague et elle compte bien faire ce qu'elle veut de lui. juste pour le plaisir. "Tu sais que j’suis mauvais perdant." athéna hausse les épaules à sa réponse. peu importe qu'il soit bon ou mauvais perdant. il est perdant quand même et les règles sont les règles. maintenant, elle veut ses mains pour lui mettre les menottes et l'empêcher de bouger. y a qu'elle qui le touche comme elle veut le toucher. il a le droit d'être impatient, il a même le droit de le signaler oralement, mais athé n'agira que si elle a envie de le faire. puis, il peut même faire la moue comme en ce moment, ça marchera pas. oopsies. "C’est parce que j’t’aime que j’fais ça parce que crois-moi, jamais personne me fera ça. Mais… pour toi, j’veux bien jouer le jeu." lui dit ares en la laissant l'attacher. athéna sourit à sa remarque. il veut bien jouer le jeu pour elle, hein? "J'te félicite." lui répond athéna en lui faisant un clin d'oeil. elle provoque un peu, mais elle le fait exprès. une fois qu'il est attaché, elle se redresse et son sourire ne quitte pas ses lèvres. ça l'amuse. et ça l'excite aussi. alors elle vient mordre la lèvre inférieure d'ares, s'amuse du fait qu'il ne puisse rien y faire tout en remuant contre son entrejambe. "Profites-en, ça sera la seule et unique fois." peut-être bien, mais que ce soit la seule et unique fois ou non, ouais, elle compte bien en profiter. athéna retire le caleçon d'ares, remet sa main où elle était, mais les mouvements sont lents. et c'est fait exprès. "Tu me frustres." "Pauvre Ares" répond athé du tac au tac, mais y a pas que lui qui est frustré. sauf qu'elle, elle peut agir. elle glisse sa main entre ses cuisses et se caresse. ares râle et y a pas à dire, ça amuse toujours autant athéna. c'drôle, l'effet que ça fait, d'avoir totalement le pouvoir sur la situation. sur lui, en particulier. "J'vais faire preuve de clémence." dit athéna avant de se pencher, ses lèvres descendent le long de son torse pour finir leur course sur son entrejambe. elle sourit malicieusement tandis qu'elle vient passer sa langue avant de le prendre dans sa bouche. obligée d'arrêter de se caresser pour prendre appuie sur sa main. elle croise son regard et continue, varie le rythme. va d'abord doucement avant d'accélérer puis ralentir à nouveau. et il peut rien y faire. elle redresse la tête, laisse sa main libre venir remplacer ses lèvres. "J'suis suffisamment clémente pour toi?" demande athé en rigolant un peu, vient de nouveau parcourir son torse. elle lèche et mord aussi, laisse des traces par moment. mais elle continue les vas-et-viens avec sa main et cette fois, ares peut les sentir sans problème.

T’aimes jouer, Ares — mais que quand c’est toi qui gagnes. Et là, la victoire te semble terriblement loin. Et elle a l’air de s’en foutre, que tu sois content ou pas, cette fois. Elle mène le jeu à sa façon et toi, t’as pas l’habitude de ça. L’habitude d’être aux commandes, l’habitude de contrôler. Tu t’fais pas diriger toi, c’est l’inverse.

Pourtant, elle a tellement l’air d’y tenir que tu lui avoues qu’tu veux bien faire un effort — pour elle, parce que tu l’aimes. Pas de tabou quand tu lui dis ça à voix haute, comme si y’avait plus rien qui gênait entre vous, le déni envolé, les sentiments avoués. Comme si c’était normal. "J'te félicite." Tes poignets qui s’font attacher, elle te rend prisonnier. C’pas une sensation qui t’est infamilière, mais de base, tu l’as pas choisi, t’as jamais été volontaire. Ici, apparemment, tu l’es. Sauf que l’amusement a ses limites, et Athéna, elle a intérêt à en profiter parce que ça n’arrivera probablement plus jamais.

Son bassin qui ondule contre toi, tu la regardes se caresser avec son regard mielleux planté dans le tien. Elle le fait exprès, elle te provoque — tu sais qu’elle est bonne à ça, Athéna, à frustrer, à avoir exactement ce dont elle a envie, de n’importe quelle manière qui soit. "Pauvre Ares" Ton regard ne démord pas, toujours ancré dans ses yeux clairs. Ouais, t’es à plaindre. Après tant de temps, tu te décides à céder pour ta soeur — et pourtant, dans c’foutu rêve devenu à nouveau réalité, elle décide de se la jouer Christian Grey.

"J'vais faire preuve de clémence." Ah? Elle a eu pitié? Tu réagirais bien sur le fait qu’c’est pas ce que tu cherchais, égo qui revient au galop — mais en réalité, t’es bien content si ça donne l’effet que tu espérais. Qu’elle se mette à te satisfaire, qu’elle te donne c’que tu veux, réellement, sans passer par quatre chemin. Et au moment où les vas et viens de sa main reprennent un bon rythme, au moment où ton rythme cardiaque refait des siennes, tu perds tout sens moral. Tu perds toute rationalité. Comme subjugué, pendu aux lèvres de ta cadette, prêt à répondre au moindre de ses désirs. Si c’est ce qu’elle veut, tu joueras le jeu, tu te plieras à ses règles. Si c’est comme ça qu’tu peux avoir la chance de la récupérer, ne serait-ce que pour une nuit, le sacrifice vaut le coup. C’est c’que tu te dis.

Et ça se confirme quand ses lèvres terminent leur course du haut de ton torse jusqu’à ton entrejambe. Ouais, tu ferais tout pour elle, même les trucs les plus fous. Yeux dans les yeux, rythme qui fait varier les plaisirs et tes gémissements lui indiquent facilement c’qui te fait vriller. Ses lèvres quittent ta virilité, bien trop vite remplacée par sa main, à nouveau. "J'suis suffisamment clémente pour toi?" Tu te tortilles un peu sous ses morsures, tu contractes les abdos sous ses chatouilles. Sa main n’s’est pas arrêtée mais c’est pas suffisant. Et comme tu sembles avoir compris les règles, tu réclames. "S’te plait Athé… J’ai envie d’toi, j’ai besoin de plus." Pas doué avec les mots, beaucoup plus à l’aise avec les gestes. D’habitude, dans n’importe quelle situation, tu sais faire voir c’que tu veux. T’as pas besoin de le verbaliser, contrairement à maintenant. Et c’pas quelque chose avec lequel t’es à l’aise. Mais t’essayes, au moins. "Au lieu de te toucher, utilise-moi. J’suis là pour ça." Peu importe c’qui lui ferait plaisir. T’es gardé immobile — et en plus, t’es consentant — alors autant qu’elle en profite pour assouvir ses moindres désirs.

athéna s'amuse bien. c'pas dit qu'ares s'amuse autant, mais elle lui fait rien de désagréable. au contraire. plus il sera impatient, plus il appréciera à chaque fois qu'elle le touchera. par contre, quand bien même, tout ça la divertit et lui fait plaisir, ça empêche pas qu'elle est probablement tout aussi impatiente que lui. c'est tout simplement plus facile à gérer quand on sait ce qui va se passer, quand on gère la suite aussi. en contrôle de la situation. pas comme lui. alors elle se touche en même temps qu'elle remue son bassin contre lui. sourire provocateur placardé sur les lèvres. mais elle s'dit qu'elle lui en fait subir assez. et elle a envie de le toucher à lui aussi.

athéna elle se penche pour venir passer ses lèvres sur son torse avant de descendre plus bas. toujours plus bas jusqu'à ce qu'elle le prenne dans sa bouche. parfois doucement, parfois plus rapidement. toujours les yeux dans les yeux. elle aime bien voir l'effet qu'elle lui fait. elle aime bien entendre ses gémissements. ça l'excite encore plus. sa bouche se fait remplacer par sa main tandis qu'elle s'attaque de nouveau à son torse. elle lèche et mord, laisse des traces, s'amuse un peu ici aussi. "S’te plait Athé… J’ai envie d’toi, j’ai besoin de plus." ares apprend vite quand il veut. et vraiment, elle se lasse pas de l'entendre supplier. meilleur chose qu'elle peut entendre pour être honnête.

"Au lieu de te toucher, utilise-moi. J’suis là pour ça." athéna sourit contre son torse, se redresse pour pouvoir revenir poser son regard dans le sien. elle se mord la lèvre, penche la tête sur le côté en continuant de le regarder. il est beau comme ça. il est beau tout le temps. elle arrête de se toucher, glisse ses doigts encore humides dans la bouche d'ares. "T'aimes?" toujours aussi provocante tandis qu'elle se met à califourchon correctement au-dessus de lui pour pouvoir le glisser en elle et gémir à son tour. athéna aimerait bien continuer de le torturer encore un peu, mais maintenant qu'elle le sent en elle, ça devient un peu plus compliqué. faire des vas-et-viens lents? c'est pas dans ses capacités, là, tout de suite. donc : athéna va vite. obligée de ralentir un peu quand elle se penche pour venir embrasser ares, sa main appuyée à côté de sa tête. "Peut-être que j'devrais t'utiliser plus souvent." sa main se déporte sur le torse d'ares pour avoir un meilleur appui. elle reprend un rythme plus rapide, enfin. "Et pas de bêtises, Ares, j'en ai pas fini avec toi." donc il attend avant de jouir. au pire, ce serait une raison de plus pour le torturer, cela dit...