(rêve - tw incest) // pain is for pleasure (arena)

Tu finis par réclamer. Tu capitules, balances ton égo au fin fond du placard. Parce qu’elle joue avec toi, elle joue avec tes nerfs, et au final, tu restes faible. Faible face à elle, face au tourbillon de sentiments que t’éprouves pour elle. Et si c’est vraiment ce qu’elle veut, tu lui donneras. T’as toujours promis de tout faire pour la satisfaire et la combler en tant que frère. Mais ça s’arrête pas là. Au final, frère ou… peu importe quoi d’autre, tu veux juste qu’elle soit heureuse. Et si ça doit passer par là, tu joueras le jeu autant qu’elle veut.

Livré à elle, à sa merci, t’aimes pas vraiment la voir se toucher. Enfin, pas exactement — t’aimes pas la voir se toucher sans que tu puisses rien y faire. T’aimerais être celui qui la touche. Mais tu peux pas. Et c’est frustrant. Alors même si tu peux rien initier, elle, elle peut le faire. Elle peut se servir de toi, au lieu de se satisfaire par elle-même. Et elle se redresse à tes mots, elle te regarde, les yeux dans les yeux, le sourire malicieux collé aux lèvres. Elle n’dit rien pour l’instant, elle se mord simplement la lèvre. Toujours la main entre ses cuisses, assise sur toi. Jusqu’à ce qu’elle porte ses doigts à tes lèvres. T’ouvres la bouche, ta langue qui explore et savoure. "T'aimes?" Tu hoches la tête, ne pouvant pas parler la bouche pleine. Tes yeux ne quittent pas son regard.

Mais c’est un gémissement qui sort de tes lèvres quand tu la sens se glisser sur ton entrejambe. Elle n’y va pas par quatre chemins, elle tient une bonne cadence et toi, tu serres les poings dans tes râles de plaisir. Elle prend appui sur l’une de ses mains pour venir chopper tes lèvres et t’accueilles le baiser avec plaisir, n’attendant pas davantage pour le lui rendre — tête un peu relevée, demandeur, langue qui cherche et trouve. "Peut-être que j'devrais t'utiliser plus souvent." "Quand tu veux." qu’tu répliques dans un souffle. Elle s’appuie sur ton torse et reprend les vas et viens de plus belle, et toi, tu bascules la tête en arrière, focus sur le plaisir. "Et pas de bêtises, Ares, j'en ai pas fini avec toi." Tu serres les dents — parce que tu commences à comprendre son langage codé, maintenant. Tu comprends c’que ça veut dire. "Ok." T’as dit qu’t’allais te plier à ses désirs. Alors tu le fais. Et tu lâches un peu tes préjugés par la même occasion. Mais c’est p’têtre juste que ses coups de reins te font perdre la tête et qu’t’as du mal à réfléchir à autre chose que les pensées sales qui envahissent ton esprit.

sentiment de puissance qui coule dans ses veines. non seulement parce qu'ares semble enfin avoir accepté qu'il était pas aux commandes et qu'il n'allait pas vraiment avoir le choix, mais aussi à la façon qu'il a de la regarder. impuissant face à ce qu'elle peut lui faire. et les possibilités sont infinies, sauf que c'est athéna et athéna seule qui peut choisir où et quand s'arrêter. certes, ares peut dire stop s'il en a envie et elle s'arrêtera, mais il a pas vraiment l'air de vouloir que ça s'arrête. au contraire. semblerait même qu'ares en veut plus. il lui demande de l'utiliser. et athéna accepte avec un grand plaisir. sourire malicieux qui vient se glisser sur son visage tandis qu'elle se mord la lèvre. les doigts qui étaient précédemment entre ses cuisses viennent s'insérer dans la bouche d'ares. il hoche la tête, confirme qu'il aime. tant mieux. c'pas la seule chose qu'il va aimer, parce que quelques secondes plus tard, athéna le glisse en elle et leurs gémissements se font entendre en même temps. putain.

elle vient chercher ses lèvres et elle sent qu'il vient chercher les siennes aussi en relevant la tête. elle aime bien, comment il tente quand même de bouger. ça le rend un peu désespéré. "Quand tu veux." athéna sourit à sa réponse. quand elle veut, hein? si seulement. elle se redresse pour prendre appui sur son torse et reprendre un rythme plus rapide. c'moins bien quand elle est penchée. mais tandis qu'athéna prend son pied, elle s'dit qu'il vaut mieux qu'ares soit prévenu qu'elle compte pas s'arrêter là. "Ok." "C'est bien." tac au tac, parce qu'il comprend vite maintenant. et comme elle a envie d'autre chose, elle va pas manquer de le faire savoir. de toute façon, c'bien simple, s'il fait pas comme elle l'a décidé, elle aura qu'à le rattacher - quitte à se torturer elle-même, c'pas grave, elle s'arrangera pour prendre du plaisir devant lui sans qu'il puisse rien y faire en guise de punition. "J'vais te détacher, Ares. J'veux que tu me touches." elle se penche et défait les menottes. prend une de ses mains pour la mettre entre ses cuisses et place l'autre sur son cou. "Serre." on pourrait croire qu'elle inverse les rôles, mais pas vraiment. c'elle qui décidé où il la touche et s'il dévie, c'simple, elle aura qu'à arrêter de remuer son bassin. "Et si tu veux toucher autre part, demande l'autorisation. Ce serait dommage que tu te retrouves encore attaché, pas vrai?" ajoute athé avec le même air provocateur. c'toujours elle aux commandes et c'pas prêt de changer. en attendant, avec sa main sur sa gorge, c'est mieux. elle préfère.

C’est le graal quand elle finit par s’empaler sur toi. Toi qui es impuissant, dans l’incapacité totale d’initier quoi que ce soit. Elle est aux commandes, pour changer. Et même si au début, t’étais pas fan de l’idée, faut dire que ça devient assez excitant, quand tu mets de côté tes préjugés. Elle sait ce qu’elle veut et elle compte bien l’obtenir, de quelle que manière qui soit. Et en vrai, ça t’rappelle un peu toi. La détermination dans le regard, le goût du challenge, l’amour du pouvoir. Alors ouais, au final, ça t’excite. Et elle peut recommencer quand elle veut. Parce que tu vas être obéissant. "C'est bien." Et pour seule réponse, tu lui offres un regard entendu. Tu feras de ton mieux, du moins.

"J'vais te détacher, Ares. J'veux que tu me touches." Ah? Liberté? Enfin? Déjà? T’es plus trop sûr. Quoi qu’il en soit, tu sais qu’t’as envie de la toucher alors ça t’arrange. Elle se penche sur toi, sa poitrine qui frôle ton torse et t’entends les cliquetis des menottes retentir près de tes oreilles. T’as même pas le temps de bouger toi-même qu’elle a déjà choppé l’une de tes mains pour la foutre entre ses cuisses — et elle prend l’autre pour poser ta paume sur sa gorge. "Serre." Une seconde d’hésitation, toujours cette peur de lui faire un peu trop mal — mais finalement, tes doigts s’enfoncent sur les cotés de son cou pour lui compliquer la respiration. "Et si tu veux toucher autre part, demande l'autorisation. Ce serait dommage que tu te retrouves encore attaché, pas vrai?" Tu hoches la tête. "Merci." qu’tu souffles, alors que tes doigts entre ses jambes la caressent vigoureusement, sans grande douceur. Ton but ça reste de lui donner du plaisir, au final. Et tu sais qu’elle préfère quand c’est moins doux. Ça tombe bien, toi aussi.

obligée de l'attacher parce qu'il ne voulait pas accepter les règles, mais maintenant qu'ares semble les avoir plutôt bien comprises, athéna sait ce qu'elle veut. et en vrai, elle sait qu'elle pourrait probablement en profiter pour le torturer encore plus. qu'elle aurait pu attendre avant de l'insérer en elle, mais qui a dit qu'elle devait faire preuve de patience? personne. parce que c'elle qui décide et comme elle fait ce qu'elle veut, y a déjà quelques idées qui s'immiscent dans son cerveau pour le provoquer un peu. mais d'abord, elle s'dit que jouir une première fois, ça vient en priorité.

donc elle lui rend ses mains. et athéna les pose où elle en a envie l'une après l'autre. ares la connait suffisamment pour savoir ce qu'elle veut sans qu'elle ait besoin d'entrer dans les détails. ses doigts entre ses cuisses ne font pas preuve de douceur et c'pas ce qu'elle lui demande, donc c'est très bien. sa main sur sa gorge, quant à elle, semble hésiter un quart de seconde avant de serrer comme elle aime. alors évidemment, y a un sourire qui revient faire son apparition sur le visage d'athé.

"Merci." lui dit ares. et rien que pour ça, elle accélère le rythme. c'est fou de se dire qu'ares a décidé de faire l'impasse sur ça. parce que putain, c'est agréable, non? elle, elle a du mal à s'en passer. et entre la main sur sa gorge et celle entre ses cuisses, y a peut-être les gémissements d'athé qui font un peu plus de bruit. peut-être que c'est un euphémisme, mais elle y réfléchit pas tellement. ça devient dur de continuer de bouger quand l'orgasme arrive. dur de continuer quand elle se contracte et tremble. alors y a comme une pause tandis que sa main serre le poignet d'ares qui lui maintient le cou. et elle s'dit qu'il serait temps qu'ares travaille un peu. "Hm, on change de place." bien entendu, ça s'entend encore une fois que c'est pas une question. et quand elle dit 'changer de place', elle ne parle pas des rôles. "Les règles changent pas, Ares. C'est pas parce que t'es au-dessus que t'es aux commandes." histoire que ce soit parfaitement clair pour tout le monde. faudrait pas qu'il ait l'impression de dominer, parce que ce serait que ça: une impression.

Elle libère tes mains et les guide aux endroits qu’elle souhaite. Entre ses cuisses humides, sur sa gorge. Et même si au début, t’es un peu hésitant — tu te rappelles des règles et tu les appliques. Même si t’es pas aux commandes, même si tu te prenais un peu au jeu malgré toi, au final, c’est quand même mieux de pouvoir la toucher plutôt que d’avoir les poignets attachés.

Tu la remercies même quand elle se glisse sur toi ; t’es reconnaissant, tu sais qu’elle était pas obligée de faire ça, de te détacher, mais c’est tant mieux pour toi — et pour elle, parce que tu comptes bien lui faire plaisir au maximum vu que t’en as maintenant l’opportunité.

Elle accélère ses mouvements de bassin pendant que tu continues tes caresses entre ses jambes, t’entends ses gémissements envahir ta chambre, de plus en plus intenses. Tu te mords l’intérieur de la joue, tu te concentres un peu plus, les yeux dans les yeux — tu l’observes parce qu’elle est belle comme ça. Elle l’est toujours, mais là, c’est encore mieux, une autre dimension, un graal que t’aurais jamais dû atteindre — et pourtant. Elle est là, entre tes mains. Et ça lui plait. Autant que ça te plait.

Ça lui plait tellement qu’elle en perd la tête, le corps qui tremble et qui arrête de se mouvoir pendant quelques secondes. Ses ongles que tu sens s’enfoncer dans la fine peau de ton poignet qui serre toujours sur sa gorge qui devient rouge à force, sous la pression de tes doigts.

"Hm, on change de place." Ah? "Les règles changent pas, Ares. C'est pas parce que t'es au-dessus que t'es aux commandes." Tu hoches la tête, une fois de plus. Bon, tu seras un peu aux commandes quand même, vu qu’c’est toi qui mèneras la danse. Mais si elle veut l’entendre autrement, soit. Tu la fais basculer sur le côté pour qu’elle se retrouve sur le dos sur ton matelas, toi qui la surplombes. Tu prends appui sur tes genoux entre ses jambes et tu reviens te glisser en elle, tes mains qui la maintiennent par le haut des cuisses pour avoir une meilleure prise et ainsi pouvoir lui offrir de meilleurs coups de reins. Le dos et le cou qui deviennent déjà humides sous l’effort — parce que faut dire qu’tu n’y vas pas en douceur pour la satisfaire, l’effort physique est bien présent. Mais tu tiendras aussi longtemps qu’elle le voudra.

ares prend pas de liberté et touche là où athéna veut. entre ses cuisses et autour de sa gorge. et c'est mieux comme ça. comme toujours. surtout que cette fois, il serre un peu plus fort que d'habitude. elle préfère. en guise de récompense, elle accélère les vas-et-viens. elle va plus vite et plus fort. en vrai, est-ce que c'est vraiment une récompense pour ares vu qu'elle n'en a pas fini avec lui? pas vraiment. mais il va survivre. elle aime bien comment il la regarde et elle aime bien le regarder aussi. petit sourire en coin des lèvres et elle arrête assez vite de réfléchir à quoi que ce soit quand l'orgasme arrive. et putain, elle s'accroche à ares, serre son poignet et plante ses ongles dans sa peau.

mais ça lui suffit pas. alors elle réclame qu'ils changent de place. lui au-dessus, elle en-dessous. elle précise quand même que c'pas parce qu'il est en position de dominance que c'vraiment le cas. encore une fois, elle y réfléchit pas tellement longtemps, parce qu'ares tarde pas à la pénétrer à genoux entre ses cuisses avec ses mains qui agrippent les hanches d'athé. et il a l'air déterminé, ares, à la satisfaire. athéna le fixe - sauf quand elle ferme les yeux grâce aux coups de rein qu'elle reçoit - et elle le lâche pas du regard. ses mains s'accrochent aux siennes, mais elle fait en sorte qu'elles obstruent pas ses actions. bah ouais, elle voudrait pas le déconcentrer. faut dire qu'elle en serait pas capable tant son cerveau est embué par les sensations.

athéna jouit encore une fois, courbe le dos, serre encore plus fort les mains d'ares. pensées qui se perdent, mais ares s'arrête pas. putain. elle rouvre les yeux plusieurs secondes plus tard, mais c'pas parce qu'elle vient d'avoir un orgasme que ses gémissements se sont calmés. comment ils pourraient? il ralentit pas. mais c'elle qui va bientôt plus en pouvoir. "Approche-toi." elle entend bien que l'angle est mieux comme ça, mais elle en a rien à foutre. et quand il vient juste au-dessus d'elle, elle passe sa main sur sa nuque pour venir l'embrasser. peut-être qu'elle lui mord la lèvre inférieure avant de passer sa langue dessus. peut-être bien qu'elle lui griffe la nuque aussi. oops - ou pas. "Tu peux jouir au prochain, Ares." parce qu'elle sait faire preuve de clémence et surtout parce que c'est nécessaire. "Et comme t'as été sage, t'as carte blanche." ajoute athé en lui faisant un clin d'oeil. juste parce qu'elle a envie de savoir ce qu'il aimerait bien faire. et athéna sait très bien que peu importe ce qu'il va faire, elle sera pas déçue, c'l'avantage avec lui.

Changement de position, et même si elle te précise que ça veut pas dire que les rôles changent, toi, t’en as quand même un peu l’impression. Si c’est toi qui donne le rythme, c’est toi qui es aux commandes, nan? Fin bon, tu cherches pas plus loin, tu vas pas te poser plus de questions — tu prends volontiers l’avantage sur elle en te positionnant par dessus.

Coups de reins repris de plus belle, cette fois-ci t’es libre de tes mouvements et c’est bien plus pratique ainsi. Certes, elle peut s’faire plaisir toute seule en utilisant ton corps, mais elle aura jamais la vitesse et la force que tu peux y mettre. Regards accrochés, gémissements qui s’accentuent, ses mains qui s’accrochent à tes poignets quand son corps se remet à trembler.

Sauf qu’c’est pas ça qui va te faire t’arrêter, au contraire, ça t’pousse à continuer — puis t’façon, elle t’a pas donné l’autorisation d’te lâcher, alors t’attends sagement, tu la satisfais sagement jusqu’à ce qu’elle aura décidé qu’elle en aura eu assez. "Approche-toi." Mitigé à c’t’idée, ça va casser ton rythme ça, t’auras pas la même prise, tes mouvements n’auront pas la même intensité. Mais c’est c’qu’elle veut alors tu le fais, t’obéis, tu te penches sur elle en essayant de n’pas ralentir la cadence, d’garder un bon angle. Elle s’accroche à ta nuque, te vole un baiser, mordille ta lèvre avant de la lécher. Et tu profites de cette proximité, de ce contact qu’t’es pas censé autant aimer. "Tu peux jouir au prochain, Ares. Et comme t'as été sage, t'as carte blanche." Carte blanche? T’en as pas vraiment besoin de cette carte. L’seul truc auquel tu penses, c’est la levrette — sauf qu’t’en as pas envie. T’as envie de la voir, t’as envie d’profiter de ce paysage qu’elle t’offre, avant qu’ça ne s’arrête, avant qu’ça ne disparaisse. Alors tu secoues doucement la tête, le souffle court. "J’suis bien comme ça." Et t’espères qu’elle sera pas trop déçue d’ton choix.

Toujours est-il qu’tu te redresses un peu pour retrouver le confort de tes mouvements. T’attrapes l’une de ses mains qu’tu poses sur son clitoris. "Touche-toi." Tu déplorais qu’elle fasse ça toute à l’heure mais c’est différent cette fois — t’es pas impuissant, c’est toi qui gères et l’fait qu’elle se caresse ne fera qu’augmenter son plaisir général. Tu lui bloques les jambes de tes mains, cuisses ouvertes. Jusqu’au climax. Jusqu’à ce que tes souffles se transforment en râles, jusqu’à ce que ses gémissements se transforment en supplications, jusqu’à ce que tu la sentes se contracter autour de toi et trembler à nouveau et que…



Alarme.
Téléphone qui sonne et qui te réveille en sursaut. Le corps en sueur. Sueurs chaudes? Ou sueurs froides? T’es pas sûr. Le front qui perle que t’essuies du revers de la main. Haletant, le coeur qui tambourine dans ta poitrine.
Et la réalisation, de c’qui vient de se passer. "Putain…" Mains que tu passes sur ton visage pour te réveiller, pour chasser les images qui trottent encore dans ton esprit échauffé. Et la gêne qui s’fait ressentir entre tes jambes, dur comme un roc. La tête qui retombe lourdement en arrière dans un long soupire désespéré. C’pas en faisant ce genre de rêves qu’tu vas réussir à l’oublier. Alors tu décides de t’lever, la douche froide te fera du bien. Accompagnée d’ta main droite.

Tu marches jusqu’à la salle de bain, les mains contre ton membre pour cacher tant bien que mal l’évidence — et tu t’attendais pas à la croiser dans le couloir mais faut dire qu’elle est matinale aussi, aujourd’hui. Comme par hasard. "J’vais à la douche." qu’tu lances rapidement sans trop la regarder et en traçant ta route pour t’enfermer dans la pièce. Tu fais direct couler l’eau, en espérant qu’elle n’ait rien capté de c’qui se passait plus bas.