| | ceux qui rêvent - | |
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Auteur | Message |
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| Sujet: ceux qui rêvent - Mer 10 Avr - 12:57 | |
| Victoria Belikova_ ft. Dove Cameron “ Whisper in my ear, put me in a trance_ ” nom_ Belikova, comme lui, comme eux, à une lettre près. le a d'la soumission, pour que tout le monde le sache, que tu lui appartiens, surement à jamais, comme toutes les autres. Belikov, Belikova, ah.prénom_Victoria, sans originalité, Victoria, il y en a des centaines, des milliers, là-bas, au pays. Dans l'top 50, les Victoria. Il a peut être regardé sur internet, qu'est-ce qu'il se faisait le plus. Non, non il ne s'en donnerait pas la peine. Huit lettres jetées sur l'acte de naissance, pour la forme, sans un regard pour le bébé. Alors tu t'es nommée, toi même. Tori seulement, sans vic, sans hic, et sans le a, pour une fois. Tori comme l'oiseau qui s'envole, qui danse dans les airs, comme l'oiseau qui plonge sans ses ailes.âge_ dix-neuf ans mais les yeux centenaires. Dix-neuf ans et le cœur résolue, la tête rêveuse, et l'âme ailleursnationalité_ Américaine, t'es née dans la banlieue crasseuse de détroit, et papa a revendiqué son droit, le droit du sol, pour toi.origine_La Biélorussie partout, toujours, dans l'coeur de papa, dans sa langue et dans la tienne. Il est parti mais ne veut oublier. Les enfants coincés entre le russe et l'anglais, entre un pays et un autre, à la dérive. Et puis il y a un peu de maman. Malgré elle. Un peu d'Ukraine, il parait, mais c'est secret, tabou, parce qu'elle n'a pas de papier, parce qu'elle se cache, dans l'ombre de détroit.arrivée à détroit_un jour d'été il y a 19 ans maintenantorientation sexuelle_hétérosexuelle, tout simplement. La question ne s'est jamais véritablement posée, il n'y a que les hommes, qui t'attire.statut_C'était ton voisin, un inconnu ou presque, et aujourd'hui il grandit un peu plus chaque jour. ça fait presque six mois déjà.occupation_un Bachelor of Science in Nursing au community college de détroit depuis presque un an, tu fais du bénévolat au service pédiatrique de l'hopital depuis des années maintenant. Le reste de ton temps libre, tu les passes face au miroir, contre une barre dans une minuscule salle de danse. Gamine, tu rêvais des planches de New York, mais tu t'es très vite réveillées. suggestion de groupe_croco pacifistes crédit_Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Sed blandit id massa eget ullamcorper. | | caractère_Poupée douce, trop douce peut être, les sentiments exacerbée et les yeux trop grands, quand on regarde bien, parfois, on voit y voit un bout de ton cœur, un cœur trop grand pour une si petite femme. Tori, c’est la légèreté et la naïveté, Tori, c’est la rosée du matin, la bouffée d’air frais après une journée mouvementé. Tori, tu donnes sans concession, tu fais confiance, tu aimes, tu donnes, toujours, sans jamais te poser de questions. C’est quelqu’un de bien, qu’on se dit, mais cette dévotion envers la nature humaine est à double-tranchant. Tori, tu ne réfléchis pas beaucoup, Tori, tu ne sais pas dire non. Tori, t’es trop gentille, et ça finira par te détruire. Parce que la naïveté nécrose ton cœur. Tu vis dans un monde trop sombre pour toi, alors t’as décidé de passer outre, de fermer les yeux, tout simplement.
Poupée passionnée, aussi. La dance qui dévore tes entrailles, qui aurait dû t’emporter à New York, sur les planches des plus grands opéras, la dance qui te permet de te lever, chaque matin, en te sachant pourtant coincer ici, jusqu’au dernier des jours.
Et puis poupée sentimentale, parfois, qui veut compter pour quelqu’un, pour une fois. En manque t’affection, assurément, prète à tout ? surement.
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_L'avis de ton perso sur détroit
Détroit, ça sent l'cambouis et les larmes. Détroit, c'est la fin du minde, c'est un bout crasseux d'l'Amérique dont personne ne s'occupe. T'y es coincée, Tori. T'as rêvé de t'échapper, t'as rêvé si fort, mais papa a toujours tenu ta cage fermée à clé. Alors tu restes ici, Tori, tu essaies d'oublier la misère et les magouilles, t'essaies d'oublier que ta famille est pourrie, et que toi aussi, tu finiras par moisir, ici. T'essaies d'voir le bien, dans Détroit. peut être même que tu y arrives, parfois. mais tu te voiles la face, tu te mens à toi même, parce qu'il est tellement plus simple de vivre avec une visière, Tori. | _Recherche de liens (indiquez au moins 2 petites idées de liens qui pourraient vous intéresser, cela vous aidera peut-être à trouver vos premiers liens facilement).
h/f (19-18) La fratrie, une sœur et cinq frères, tous plus détruits par le père les un que les autres f (18-21) Un groupe d'amies équilibrées et saines d'esprits (si ça existe ici, à détroit...) h (19-28) Un mec qui se sert de Tori, de sa gentillesse pour la faire tourner en bourrique et l’entraîner malgré elle dans les déboires de Détroit.
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Belikov, une famille de choix
Papa tue maman, papa est exécuté, Vlad a 12 ans. Il n’en parle jamais, c’est son secret, son souvenir, sa souffrance. Il ne parle jamais de ses années en foyers, à Minsk, de ses nombreuses fugues, de son casier judiciaire. Il n’en parle jamais, Papa. Il a dix-sept ans quand il décide de partir, de quitter Minsk, de quitter le pays, le continent pour la terre des promesses, pour New York, qu’il se disait. Voyage en bateau, arrivée précipitée, désillusions. Vlad voulait tellement croire au rêve américain, il est tombé de bien haut. New York ne voulait pas de lui, et le voilà à Détroit, parmi les rats.
Il a rencontré Dimitri. Y’avait un air de famille au fond de sa gueule défoncée. C’était la première fois qu’il revoyait quelqu’un du pays, Vlad. Alors pour lui, Dimka, c’était un mentor, un père, un frère. Il l’a suivi dans ses conneries, il a commencé à bosser pour lui au red wolves, un vieux bar miteux de North End qui cache en réalité, dans les étages du bâtiment délabré, un véritable lupanar. Il n’était que barman, au début. Et puis Dimka a eu des soucis, avec la black mafia, Vlad n’en a jamais su plus. Dimka s’est fait descendre et Vlad a eu une promotion.
D’serveur à proxénète, il n’y a qu’un pas, il parait. Du jour au lendemain, c’est devenu le patriarche d’une famille de débauche, de dizaines de filles paumées qui cherchaient juste à s’en sortir. Il en a profité, peut être un peu trop. On ne peut pas dire qu’il ne les a jamais protégés, mais il en demandait un peu trop, surement.
Quand la première est tombée en cloque, Vlad, il est tombé des nus. Ça pouvait être le sien comme celui d’un autre. La gosse ne pouvait pas avorter, et lui, il pouvait pas laisser l’moutard crever dans la rue. Alors il l’a élevé, comme un fils, comme le sien. Et puis il y en a eu un autre, et encore un.
Ils vivent tous au dernier étage d’une red wolfes, juste au-dessus de leurs mères, mères qu’ils ne connaissent pas, qui ne veulent pas les connaitre, mère qui n’ont de ça que le nom.
Prénom / Pseudo_ Zoeyyy Âge twenty Pays / région / ville bzh Autre(s) compte(s)_ oh nananananana oh nanana Ton perso_ inventé Comment as-tu connu le forum_
| | Raconte-nous une blague_ "cette fois ci, pas de DC"
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- Code:
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<bottin1>Dove Cameron</bottin1> / <bottin2>@"Tori Belikova" </bottin2> - Code:
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<bottin1>[size=8]@"Nana Nobody"[/size]</bottin1> / [url=http://crocodilegames.forumactif.com/u26]@[/url]Tori Belikova, [url=http://crocodilegames.forumactif.com/u85] |
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| Sujet: Re: ceux qui rêvent - Mer 10 Avr - 12:57 | |
| _les anecdotes 01_T’es le vilain petit canard de la famille, Tori. T’es pas aussi forte que ta sœur, ni maligne comme tes frères. T’es incapable de te battre, pour survivre, et ça, papa, ça l’a toujours énervé. Tu ne sais même pas pourquoi, pourquoi il te hait autant. C’est pas comme s’il les aimait, les autres. Mais avec toi, c’est différent. Quand il te regarde, tu te sens faillir. T’aimerais que maman te prenne dans ses bras. Papa n’a jamais voulu te dire qui c’était. C’est la règle. Vous n’avez pas de mère, juste un père, juste un morceau de famille. 02_Alors t’as grandi avec Percy. Vous étiez dans la même classe, à l’école primaire. Il habitait une rue parallèle à la tienne, et quand tu avais besoin d’un peu de chaleur, c’est chez lui, que tu allais. Parce que sa mère était là, présence féminine et maternelle qui t’a empêché de sombrer, surement, durant toutes ses années. 03_Chez toi, ce n'est jamais silencieux. C’est mal isolé, et les rumeurs des voix remontent toujours, le long de la charpente branlante de l’immeuble. Ce n'est jamais silencieux, et pourtant, pourtant le silence est assourdissant. Chez Percy, au contraire, il y a toujours eu de la musique, de la musique et des rires, de la musique et de la danse. D’aussi loin que tu puisses t’en souvenir, sa mère a toujours dansé, pour vous, pour elle, tu ne sais pas trop. Et tu trouvais ça si beau, Tori. Quand t’es eu 9 ans, elle t’a offert un justaucorps, pour ton anniversaire, et une paire de collant. Quand t’as eu 9 ans, elle t’a amené danser, Tori, pour la première fois, avec Percy, avec la même musique qui berçait tes rêves. Et tu as compris que la danse ne les bercera plus jamais. Parce que la danse, c’est devenu ton rêve. Un rêve précieux, que tu cachais sous ton oreiller, au moment de te coucher, de peur de voir ta sœur l’arracher, l’arracher à ton cœur, à ton corps ou à ton âme. 04_T’as continué à danser, Tori, pendant dix ans. Ton professeur dit que tu as le corps d’une danseuse, et le cœur d’une première étoile. Malgré tous les spectacles que tu as pu faire, malgré Gisèle, Odile et Carmen, malgré toutes ces étoiles que tu as interprétées, papa n’est jamais venu te voir, il se contente de signer le chèque, à la fin du mois, pour que tu évites de lui traîner dans les pattes. Il n’y a jamais eu que Lev, pour venir te voir, pour te supporter, pour te prendre dans ses bras. 05_Au lycée, tu rêvais de New York, de la Joffrey school of ballet et des plus grands opéras. On te disait qu’avec de la rigueur et de la volonté, tu y arriverais. Papa n’a jamais voulu, jamais voulu te laisser partir là-bas, dans cette ville qui l’a repoussé, dans cette ville maudite. Ta place est ici, qu’il te disait, tu ne mérites pas mieux, tu n’es pas spéciale, met-toi bien ça dans la tête, Victoria. T’as fini par y croire, Tori. Que la danse n’était qu’un passe-temps, que tu appartenais à Détroit, que tu y été née et que tu y mourras certainement. 06_Peu de temps après, tu devais avoir quinze ans, peut-être, tu as commencé à rendre visite aux enfants de l’hôpital de Détroit. Tu voulais surement t’assurer que malgré les mauvais moments qu’ils pouvaient passer, ils ne renonceraient jamais à leurs rêves. Ce qui n’était qu’une affaire de quelques heures par semaine s’est vite transformée en véritable passion, Tori, alors, après le lycée, ce n'est pas la route de New York, que tu as prise, mais celle de la fac. Pour devenir infirmière, pour pouvoir aider tous ces enfants à une plus grande échelle encore. 07_Et puis tu l’as rencontré. Ou pas vraiment. Tu le connais depuis toujours, Mihail. Il vit juste à côté de chez toi, il y a toujours vécu. Mais papa te disais de ne pas trop t’approcher des Popescu. Et toi, tu l’as écouté. De toutes façons, tu n’en avais pas envie. Mais tu l’as revu, lui, le p’tit dernier de la famille, à la fac, par hasard. Heureux sont les hasards, qu’on dit. Tu l’as revu, et tu as appris à le connaitre, malgré ce que pouvait te dire papa. Tu as appris à rire et pleurer à ses côtés. Tu as appris à l’aimer, Tori, tellement fort. |
| | | Rosalia Flores- Whisper in my ear -
| Sujet: Re: ceux qui rêvent - Mer 10 Avr - 13:20 | |
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| Sujet: Re: ceux qui rêvent - Mer 10 Avr - 13:47 | |
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| Sujet: Re: ceux qui rêvent - Mer 10 Avr - 15:28 | |
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| Sujet: Re: ceux qui rêvent - Mer 10 Avr - 16:56 | |
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| | | | Dom RiggsFeuille de personnage : sourire aussi éclatant que charmeur | toujours bien sappé, porte beaucoup de bijoux (bagues, chaînes, gourmette, une boucle d'oreille) | souvent une odeur de weed qui plane | quelques tatouages | cicatrice au niveau du poumon gauche (poignardé) | constamment en train de se marrer meilleur kebabier de Detroit
| Sujet: Re: ceux qui rêvent - Mer 10 Avr - 19:40 | |
| rebienvenuuuue de ce que j'ai lu vite fait sur le discord, ça promet du coup j'ai hâte de voir la suite |
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| Sujet: Re: ceux qui rêvent - Mer 10 Avr - 23:42 | |
| joliiiiie |
| | | Malcolm AllenFeuille de personnage : Malcolm est sanguin, hyper impulsif. Il réagit au quart de tour et peut passer d'une émotion à une autre, totalement opposée en un rien de temps. + Malcolm a trois doigts tordus, séquelles d'une nuit de breakdown où il s'est explosé les mains contre le mur de sa chambre + Y a comme un odeur d'ammoniaque chez lui, dû au crack qu'il fume. miss pleureuse 2020
| Sujet: Re: ceux qui rêvent - Jeu 11 Avr - 13:33 | |
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| Sujet: Re: ceux qui rêvent - Jeu 11 Avr - 18:53 | |
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| Sujet: Re: ceux qui rêvent - Sam 13 Avr - 2:03 | |
| Rebienvenue à toi!! |
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| Sujet: Re: ceux qui rêvent - Dim 14 Avr - 12:51 | |
| tori, j'aime trop le prénom. re bienvenue, babes. t'es de toute beauté. |
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| Sujet: Re: ceux qui rêvent - Mar 16 Avr - 16:42 | |
| oouh qu'elle est douce qu'elle est belle, trop bien pour ce monde dfgnfgc rebienvenue chez toi (et cette fois je peux t'aimer ) |
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| Sujet: Re: ceux qui rêvent - | |
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| | | | ceux qui rêvent - | |
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