Sujet: je luis de paillettes et me réduit au chaos. Mar 15 Oct - 4:19
solstice zaytsev_
ft. zhenya katava
“ Whisper in my ear, put me in a trance_ ”
nom_zaytsev. une marque de commerce d'une chair enflammée. cicatrice du démon encré dans le creux des reins. victime d'une indifférence politique quant à la traite des corps frêles, puissance mentale, honneur piétiné. tu n'es pas d'ici, comme tu n'as jamais été d'ailleurs. tu voles, tu t'envoles, dans l'espérance la plus lourde. dans l'espoir le plus suffoquant. prénom_solstice. plus doux sur la langue, mélodie dans la mémoire. ce ne sont pas les lettres qui chahutent sur l'acte de naissance, mais il se glisse contre les lèvres des hommes avec aisance. plus un nom de rêveries qu'un avenir sérieux. âge un vent de liberté qui t'effleure l'âme. la plume que tu frôles, sans jamais l'attraper entre tes doigts tremblants. les années qui se chevauchent sans prendre le temps de souffler la bougie. vingt six prières, les yeux clos, genoux en sang, de te libérer de ce supplice. nationalité_ t'aurais aimé avoir une vérité sur papier. pas la langue d'un serpent qui rejette ses mensonges dans une encre sombre. avoir l'avenir d'une nation au coeur, pas la peur d'être renvoyé sous les coups de fouets d'une autre grande famille. d'un autre manque de savoir vivre. tu n'as aucune nationalité, une sans papier. origine_ ton regard encore brillant d'une origine particulière. qui vibre sur une teinte de peau gracieuse. deux parents élevés dans la pauvreté, forcés à contre-coeur de s'abandonner dans la débauche vieille comme le monde lui-même. biélorusse de sang, de malheur. lieu de naissance_ minsk, ville la moins dangereuse de biélorussie qu'ils profèrent. les touristes qui viennent et qui repartent, le moindre dollar encore présent dans le fond de la poche. mais minsk, malgré son amélioration constante, reste ta terreur la plus personnelle. minsk, il y a dix-huit ans, n'est pas minsk d'aujourd'hui. arrivée à détroit_il y a treize ans, que tu passes tes deux mains contre ta gorge dans l'espoir de ne plus respirer. forcée à caresser les murs sans fenêtres dans la torture la plus complète. rester gentille, rester tendre, pour entendre les oiseaux chanter. orientation sexuelle_maigre sont les introductions accomplies auprès des femmes. plus souvent à terme professionnel ou présence réconfortante. tu n'as jamais éprouvée plus qu'un sentiment de soeur, de mère ou d'amie, envers ces femmes brisées. mais tu n'es même pas certaine, d'avoir assez de coeur pour te fondre dans les bras d'un homme. ayant toujours connu le poing, avant le creux de la main. statut_impossible, inexistant. comme si l'essence même de ton amour s'était enterrée dans le sable il y a dix huit ans de cela. avant même de connaître l'essentiel de se servir d'un sentiment aussi puissant. emprisonné dans un célibat éternel et involontaire. sans avoir la voix ni la force de faire tomber les barrières pour respirer les roses. occupation_ autrefois exilée de force, peu importe ce que ton corps pouvait apporter. puis une photo dans des catalogues les plus dégradants. victime du réseautage, de l'évolution d'internet. de l'esprit perfide de l'homme. sans oublier la femme qui préfère être de retrait. prostituée de surcroît. sans les papiers nécessaires pour aspirer à autre chose. disons qu'aujourd'hui, tu peux respirer un air différent à tous les jours. posée dans une chambre, plutôt qu'un sous-sol, une cave. suggestion de groupe_ crocos sur la défensive. crédit_ avatar, ultraviolence. icon, prima luce
caractère_ ce que la bête espère, c'est de créer le plus fragile des bibelots. mais ils ont arraché la douceur d'une enfant, pour forcer la fureur d'une femme de manière prématurée. ce qui te caractérise le plus, c'est le calme, le silence. les nuits de pluie douce, le faible vent dans le feuillage. du bout des doigts, tu es la douceur incarnée, ou l'objet inanimé. préférant l'attitude d'un pantin, qu'offrir la moindre réponse la plus insensée, la plus blessante. tu mens, tu encaisses, tu fais comme si. comme si tout allait bien. comme si le ciel était bleu et l'herbe verte. tu fais comme si tu ne voyais pas rouge. comme si le feu n'explosait en rage étincelante dans ton corps. au bout de ton coeur meurtri, c'est l'essence d'une mère. d'une amie à l'oreille attentive, d'une amante qu'on ne parvient pas à oublier. c'est le nom et l'emprise que l'on veut racheter. pour pleurer dans tes bras ou pour embrasser le creux de tes reins. tu sais fermer le poing et t'affirmer. revendiquer ta vie et tes douleurs. tes droits et tes peurs. le sarcasme dans le coin des lèvres, les soupires dans les fenêtres ouvertes. tu as envie de jouer, tu as envie de vivre. mais tes envies sont bouclés dans le regard des hommes.
_L'avis de ton perso sur détroit
qu'on crache sur le sol et qu'on maltraite les édifices de cocktail molotov, détroit est blessant et martyrisant, mais tout de même une douche froide de liberté. une liberté que l'on agrippe avec beaucoup trop de vivacité. qu'on ne questionne pas. qu'on embrasse et maîtrise de la mauvaise manière. les alpha tentent de prendre le dessus alors que plus de la moitié s'écrase dans les ruelles. se tuent dans des désirs déchirants. dans des amours impossibles. détroit, ce n'est pas une étoile qui brille. elle se meurt, elle s'éclate de l'intérieur. mais tu ne te lasses pas encore à regarder les arbres frêles de l'autre côté de ta fenêtre. tu ne te lasses pas de consoler ceux à l'âme davantage poignardée que la tienne. tu ne te lasses pas encore de cette ville, la première à te montrer une demie once de respect, avant de t'écraser sous les poids étrangers.
_Recherche de liens
h(xx) tu l'a sentie. sa peine. grosse comme le monde. son regard qui voulait tout dire, lorsqu'il ferma la porte derrière lui. et pour la première fois, tu n'étais pas dans l'esprit de te fermer comme un mur. tu voulais que ta peine danse avec la sienne. que vos lèvres se répondent en écho. que vous vous comprenez dans le silence, dans la sensibilité charnelle. et c'est peut-être la première fois que tu t'es vu dire "à la prochaine". f(xx) vous avez la même force dans l'âme, sans parler de vos maux. si la vie s'établissait comme une relation, la votre s'y rapprocherait. les rires dans la nuit. le partage d'une frite, parfois à contre-coeur. le besoin de ne pas se soucier de rien. ni du temps. ni de demain. la meilleure amie dans le sang. dans la porte ouverte sans cogner. dans les fonds de verres qui ne cessent de s'aligner sur le comptoir. l'amour platonique lorsque les corps se collent sous les draps. dans la seule optique de dormir en sécurité, avant de se battre pour sa vie au levée du jour. h(xx) la relation qui fait mal, mais qu'on ne peut se passer. les mentons hauts, les poings fermés. l'honneur avant tout, à s'écraser sous les mots, à se plaquer sur les murs. à vouloir se déchirer, dans le besoin de voir un peu de souffrance, un peu de douleur, un peu de remise en question. c'est les dos tournés, à vouloir se fuir mais à agripper les mains jusqu'à sentir les os se briser. c'est le feu contre le feu. h/f (xx) tu es sa figure maternelle. une relation sensible, à vouloir mieux faire, à vouloir tout faire. sans les moyens, sans l'argent. c'est vouloir sortir cette personne des décombres, vouloir brosser ses cheveux dans la nuit, lui offrir tes bras et les plis de ta jupe dans le jour. c'est apprendre de sa vie implantée dans les entrailles de détroit, c'est accourir à ses cris, à ses appels. c'est être peut-être la seule personne présente éternellement dans sa vie.
les anecdotes
01_papa refermait toujours la porte délicatement derrière lui. jusqu'à percevoir à peine le loquet s’enclencher. parce que lorsqu'il revenait de travailler, maman dormait toujours sur le canapé. ou sur sa fameuse chaise berçante. en te tenant toi dans ses bras. son trésor. son bébé. sa seule raison de se battre, d'ouvrir les yeux et de continuer d'avancer. dans le regard de papa, c'était toujours une accumulation de fatigue et de regret. sa cravate défaite prouvait une journée mouvementée. dans sa respiration, une nuance de tristesse. et cette journée-là, c'était pire que les autres. parce que dans le creux de sa main s'est signé au sang un contrat avec l'enfer.
02_ elle avait peut-être perdue une partie de ses vêtements, la moitié des traits de son visage et presque l'ensemble de ses cheveux bruns, mais elle restait ta poupée préférée. serrée contre ton coeur dans les nuits les plus froides, les plus effrayantes. dans tes mains les jours d'activités. tu ne l'a jamais lâchée. ni des yeux, ni de la main. sauf cette journée-là. où à sa chute, s'éleva un nuage de poussière. parce que ton bras s'emprisonna dans une emprise plus forte que nécessaire alors que tes lèvres se mutèrent dans le creux d'une main moite. tu perçus les nuances de ton prénom qui sortirent avec une force déchirante du coeur de maman. maman qui est forcée au sol par la chevelure. par le poids d'un homme qui la force à se taire. en plein jour. le jour qui devait vous protéger. qui l'a toujours fait. mais qui vous a abandonné cette journée-là.
03_comme s'ils s'étaient assurés de t'amener là où ta langue ne pouvait pas demander à l'aide. où tu ne pouvais pas comprendre les cauchemars qui se bâtissaient dans leur mots. éloignée à toujours d'un souvenir d'une mère au corps sanglant et au visage imprégné de larmes brûlantes. qui ne répondait plus au "maman" tremblant. à la chaleur de ta paume de main. ta vie s'est résumée trop tôt à la noirceur pestilentielle et à la solitude enfantine. malgré les corps qui s'entassent, frigorifiés par la vie. les yeux brûlés par l'éclat de lumière provenant d'appareil photo.
04_lorsqu'il ne s'agissait pas des ressorts du matelas qui ne te creusait pas le bas du dos devant une caméra omniprésente, c'était les pierres du pavé qui t'arrachaient la peau des pieds. forcée à mendier dans des quartiers aux habitants trop pressés, peu de personne s'arrêtait pour regarder la saleté de ton visage et les déchirures de tes vêtements. un enfant mendiant parmi tant d'autres, tu étais déchirée à l'idée d'accourir vers l'aide, ou de fuir les sirènes lorsqu'elles s'approchaient. chaque journée sans butin respectable amenait tout ton corps à s'éteindre face à la douleur. où ton ventre creux, se gonflait sous les coups.
05_ils attendirent les sous-vêtements tâchées avant d'anticiper les souffrances charnelles. peut-être en connaissance de cause, ils préféraient brouiller les pistes et les sentiments à coup de stupéfiants trop forts pour une enfant. tu ne te rappelles pas de la souffrance, ni de la brûlure de tes larmes qui croulaient sur des joues mutilées à coup de revers de la main. à coup de bagues lacérés sur une peau laiteuse. tu n'as que les images qui parlent d'elle-même, imprégnée dans ton esprit. là où les dessins animés auraient du prendre place. ou la joie de vivre.
06_tirée de la noirceur d'un sous-sol cadenassé pour les remous de la mer. odeur de mort dans le nez et regard qui ne parvient plus à se baisser. une morsure, une envie de s'évanouir. un crachat, une promesse de vivre le pire. menace d'être jetée dans l'eau, manger par les requins ou peut-être volée par des pirates ? et si les pirates étaient moins animal. moins bête. une vie à rêver. s'accrocher à la moindre idée de liberté pour se sentir avancer. si jeune, sans savoir ton âme. amenée dans une autre péninsule étrangère. terre officielle à ton destin. l'amérique.
07_vient un temps où tu n'étais plus la plus jeune du réseau. où tu devais chasser les larmes innocentes. murmurer des mélodies de ton pays pour calmer les coeurs effrayés d'ici. parler sans te faire entendre, prier et promettre que tout va bien aller. t'agripper à cette petite main qui se fait tirer par les hommes, loin de vous, loin de toi. et toi qui te lèves pour beugler des saletés. revendiquer ses droits à elle, à cet enfant. si les tiens te sont depuis longtemps arrachés. et c'est d'une attaque raciste et gratuite qu'on te boucla les lèvres jusqu'à ce que ton corps revienne à la vie.
08_ le ventre qui enfle. coupable de tes propres péchés. l'erreur ne s’étampera jamais sur le front du client qui t'avais mentit. il t'abandonnera, sans une égratignure sur son visage de prince. son visage de traître. et tu essayas de cacher ce mal qui naissait. n'ayant ni l'âge, ni les présomptions de pouvoir élever une nouvelle âme dans ce monde disgracieux. hypocrite et malsain. mais tes secrets dilués dans une langue américaine pas entièrement contrôlée vient à l'oreille du chef. de celui qui s'était procuré toi. qui s'était procuré toutes les autres. et on te menaça de te jeter à la rue. là où la ville avalera ton corps dans la nuit. si tu ne faisais pas quelque chose. et n'ayant pas proposé l'aide médicale: tu pleuras l’embryon dans la cuvette, jusqu'à ce que le chef vienne tirer la chasse.
09_tu tiens le sac d'épicerie contre ton ventre. pas par peur de l'échapper. mais dans l'optique de le tenir assez fort pour l'user comme arme. comme massue. peut-être avec assez d'élan, tu pourrais frapper l'homme qui t'accompagnais. ton ombre. la pesanteur sur tes épaules frêles, sur ton esprit fort. tu avançais d'un pas léger. tu faisais gaffe à la vie devant toi. tu faisais gaffe à l'usure de tes yeux, à ta respiration épuisée. à l'image que tu laisses, à la peinture que tu devenais. tu calculais, sans savoir calculer. tu croyais qu'en traversant à la seconde que la lumière verte changeait au rouge, tu aurais pu te sauver. mais même en lançant le sac sur cet homme, il te rattrapa. parce qu'une voiture te brusqua le corps assez pour te ralentir, pas assez pour te blesser. et sans vouloir faire une scène devant la ville, l'homme t'emmena d'une poigne forte dans ton monde sous-terrain. mais au pied des marches, se tenais un homme. et il semblait t'attendre toi.
10_tu cesses de chanter, dans une langue acquit au fil des ans, à écouter tout le monde. tu ne sais pas l'écrire, et la lecture te colle à la peau comme une faiblesse. une faiblesse que tu aimerais travailler, sans les professeurs nécessaires. le nouveau propriétaire de ta vie, fil d'argent qui te manipule toi, pantin, t'avais offert des draps de satin et une fenêtre. tu ne te rappelles plus la dernière fois où il t'était possible de fermer les yeux aux lueurs des étoiles. il usa de tes attraits pour faire de toi une muse. un intérêt. même si tu te tenais fermée à l'idée d'être quelque chose pour quelqu'un. tu avais été la fille d'une femme, et on te l'avait arraché. tu avais été la mère d'une idéologie, et on te l'avait arraché. tu n'avais et tu n'as plus la force d'être quelque chose. d'être, tout court.
Prénom / Pseudo_ oldelpaso // gabbee Âge vingt-cinq beignes. Pays / région / ville québec. Autre(s) compte(s)_ pas pour moi. Ton perso_ inventé ! Comment as-tu connu le forum_ de bouche à oreille (moins l'haleine dans le tympan)
Tu fais quoi dans la vie ; j'étudie vers le néant absolu. T'es déjà arrivé saoul(e) au bureau/à l'école_ je.... non ? Plutôt ville ou campagne_ ville. gimme les trente trois mcdonald autour d'un tel établissement ! (j'exagère. et j'aime pas l'arche dorée) Si tu pouvais inviter qui tu veux à dîner (même mort), ce serait qui_ orson welles plzzz, sur un plateau d'argent. Ta phobie la plus étrange_ les coccinelles. ouais. Les séries que tu aimes_ en ce moment, this is us. j'ai le coeur ne bouilli. Quel est le film dont tu connais touts les répliques par cœur_ pride and prejudice (don't judge me) Qu'est-ce que tu écoutes comme musique dans l'ensemble_ dernièrement je DÉVORE les album de GHOST. La chanson honteuse que tu adores_ n'importe quoi de céline dion, bien franchement. Plutôt bouquin ou plutôt liseuse (ou fuck la lecture ?)_ bouquin. d'occasion, même. Est-ce que tu fangirl sur une célébrité en particulier_ ..... non ? T'as déjà volé quelque chose ? si oui, quoi_ l'honneur de mon chat. Si tu ne pouvais manger plus qu'un seul plat pour le reste de ta vie, ce serait lequel_ une cuillère de nutella. Est-ce que tu fais du sport ou une activité_ ah..haha. T'es plutôt du matin ou du soir_ les deux. le sommeil, c'est quoi ? La sieste pour toi, c'est le bien ou le mal_ moi, me sentir comme Robinson en me réveillant, c'est pas mon fort. T'as des manies/habitudes alimentaires bizarres_ pas à ma connaissannnnce. Quel est le pire cadeau qu'on t'ai offert_ une amitié nauséabonde. Raconte-nous une blague_ c'est l'histoire d'une journée normale pas d'anxiété...ah...haha...ah.
Feuille de personnage : Des cheveux toujours mal coiffé d'un demi-chignon de traviole, des traces de bagarre partout, un accent à couper au couteau, un anglais vraiment bof, un papillon de nuit de tatoué sur une fesse
[ IF I BLOW YOUR BRAIN OUT
I COULD GUARANTEE YOU'LL FORGET HIM ]
Si tu ne m'aimes pas, je t'aime.
Et si je t'aime, prends garde à toi.
_________________________
Points : 67 avatar : jessie reyez âge : 22 yo. statut : célibataire _ jamais accro à la bonne fille quartier : dans une colocation atypique en plein coeur de MexicanTown avec sa vraie famille.
Sujet: Re: je luis de paillettes et me réduit au chaos. Mar 15 Oct - 8:15
Hey toi Bienvenue ici :D C'est encore un peu vide ici mais j'ai hâte d'en apprendre plus sur ton perso Si tu as besoin de quoi que ce soit, n'hésite pas
Lapo Alvise
murielle bolle el a di cété pa mwa
Messages : 478 pseudo : miserunt (mathie) crédits : moi (avatar) ; pinterest + moi (img profil) ; moonschild (signa) ; moi (icon)
- - TES ENVIES QUE J'AI CAUSÉES,
MA CONSCIENCE DANS UN FOSSÉ.
Points : 38 avatar : roméo elvis. âge : 26 ans. statut : lui courir après. quartier : pas de lieu attitré, il vit dans sa voiture et la gare là où il peut. il finit généralement planqué quelque part à delray, au moins là-bas personne ne vient lui péter sa caisse.
Sujet: Re: je luis de paillettes et me réduit au chaos. Mar 15 Oct - 8:57
"Aujourd'hui à 4:19" hm tu vis de l'autre côté de l'océan ou t'es plutôt du genre insomniaque maybe ?
bienvenuuue en tout cas zhenya est beaucoup trop cool, hyper bon choix trop trop hâte de voir ta fiche se remplir pour en découvrir plus sur ta solstice
si tu as besoin de quoi que ce soit, n'hésite pas
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Invité
Sujet: Re: je luis de paillettes et me réduit au chaos. Mar 15 Oct - 9:15
Ce titre qui en jette direct, quoi
Bienvenue parmi nous !
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Invité
Sujet: Re: je luis de paillettes et me réduit au chaos. Mar 15 Oct - 14:24
mais que tu es belle
ton titre, ton blase, ta tête, ta perfection bienvenue par ici chaton !
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Invité
Sujet: Re: je luis de paillettes et me réduit au chaos. Mar 15 Oct - 15:40
@MJ Velasco la plus belle. la plus forte. l'impitoyable. j'aime tellement. TELLEMENT. tes choix, ton personnage. je tenais à te le dire.
@Lapo Alvise un peu des deux ? oui, donc, je suis bel et bien de l'autre côté. the upside down. *remballe ses références à stranger things* romeo, ce choix parfait.
@Igg Hopkins faut pas rire c'est toi qui en jette. extrêmement.
@Salem Nima mais. je te renvoie les compliments. coup de coeur pour ton tout. salem. nekfeu. plume. personnage. mon coeur manque un tour.
je remplis ma fiche dès que possible. dans la journée. ma journée.
& surtout, merci pour l'accueil !
Samih Scully
Feuille de personnage : Toujours défoncé + des traces de piqures sur les bras + une longue cicatrice du flanc jusqu'à la colonne + trèfle irlandais tatoué sur l'épaule gauche + porte toujours un hoodie noir + cohabite avec deux autres personnalités
The kid has got a darkside
Best believe it
Push too far you'll see
The kid has got a darkside
That you don't wanna meet at all La la la la la
_________________________
Points : 115 avatar : rami malek âge : 26 statut : célibataire quartier : delray _ maison abandonnée, maison fantôme au milieu d'un grand terrain vague avec le reste de la smala.
Sujet: Re: je luis de paillettes et me réduit au chaos. Mar 15 Oct - 17:12
Solstice Zaytsev a écrit:
@MJ Velasco la plus belle. la plus forte. l'impitoyable. j'aime tellement. TELLEMENT. tes choix, ton personnage. je tenais à te le dire.
(ici MJ)
Bah, merci c'est beaucoup trop sympa (on se trouvera un petit truc ensemble héhé, ) (maintenant file faire ta fiche tabernacle, j'ai envie d'en apprendre plus )
Seven Popescu
Feuille de personnage : dents en vrac, toutes de travers | tatouages pourris | main gauche balafrée (poignardée) et à la motricité un peu réduite | cicatrice sur l'épaule gauche (poignardée), cuisse droite (balle), bras gauche (balle), côté droit du ventre (balle) | traces de piqûres sur les bras | nez qui saigne trop facilement | mains souvent abîmées | toujours énervé | l'air de ne pas avoir dormi depuis trois siècles
- jj, mon paradis -
bolossage du staff : Messages : 2155 pseudo : marion crédits : miserunt (av), vocivus (icons)
then it went dark,
and it rained and rained and rained
Points : 144 avatar : sasha trautvein âge : vingt-et-un ans. statut : déchet. quartier : north end, en colocation foireuse avec barbra, dans la maison de sa sœur internée. on le trouve plus souvent dans la rue ou dans des squats.
Sujet: Re: je luis de paillettes et me réduit au chaos. Mar 15 Oct - 17:37
le titre + l'avatar, on peut déjà dire que t'as bon goût mais y a pas assez à se mettre sous la dent, donc j'ai hâte de voir ta fiche se remplir et de découvrir ce que ton perso nous réserve bienvenue
Barbra Marshall
- Whisper in my ear -
bolossage du staff : Messages : 234 pseudo : bangkok. crédits : miserunt (av), doom days, strangeHell I'll stab you with a razor-sharp piece of my own broken heart.Points : 44 avatar : sahara ray. âge : 21 ans. statut : l'insaisissable. quartier : north end.
Sujet: Re: je luis de paillettes et me réduit au chaos. Mar 15 Oct - 21:56
Je valide l'avatar et le pseudo est vraiment cool aussi hâte d'en lire plus, bienvenue parmi nous
Deandre Parker
Feuille de personnage : Voix graveleuse, mains veineuses, quelque chose en V pour compléter l'allitération.
but i am not hercules,
not even a distant relative.
Points : 127 avatar : Dimitri Simms (Meechy Darko) âge : Vingt-huit ans. statut : Désillusionné. quartier : MexicanTown. Les trois verrous de la porte sont plus dissuasifs que le dobermann de Dom.
Sujet: Re: je luis de paillettes et me réduit au chaos. Mer 16 Oct - 0:56
"tw. traite humaine"
parfait, j'adore souffrir. J'installe mon camp sur ta prés.
sinon la même rengaine, très joli nom et très joli avatar, bon courage pour le reste de ta fiche
Invité
Invité
Sujet: Re: je luis de paillettes et me réduit au chaos. Mar 22 Oct - 1:50
@Samih Scully avec plaisir pour le lien, peu importe avec quel bae.
@Seven Popescu alors comme ton personnage fait mon coeur battre, on peut en effet, dire que j'ai bon goût.
@Barbra Marshall allez, je m'agenouille devant ce que tu dégages. toute cette beauté, impossible.
@Deandre Parker ce. gif. (un de mes fave.) installe-toi bien, on démarre le manège vers torture-ville. t'es trop un coeur, love on your face.
sachant pertinemment que j'atteins la limite du temps alloué pour la fiche, je viens déjà quémander un peu plus de temps. je crois la terminée d'ici la fin de la semaine, entre mes études et mes devoirs de mi-session. merci de votre compré'.
ps plein d'amour : si vous avez déjà des idées de liens. n'hésitez pas
JJ O'Reilly
branlez-moi
bolossage du staff : Messages : 1095 pseudo : miserunt (mathie) crédits : miserunt (avatar), moonschild (signature), pinterest + moi (image profil), moi (icon)
- - DÉGUISÉ EN ÊTRE HUMAIN,
POUR UN SEMBLANT D’HUMANITÉ.
Points : 134 avatar : yuri pleskun âge : 23 ans statut : pas bon pour toi. quartier : delray, dans une vieille baraque immense avec les kids (et un enfoiré de raton laveur), sûrement qu'elle était belle autrefois cette bâtisse, mais aujourd'hui elle tombe en ruine, le toit prend l'eau et y a des trous dans le plancher. mais qu'importe, les propriétaires ont fuit en laissant la plupart des meubles, alors c'est parfait.
Sujet: Re: je luis de paillettes et me réduit au chaos. Mar 22 Oct - 9:39
ça marche, j'te rajoute un délai jusqu'à dimanche alors bon courage
Malcolm Allen
Feuille de personnage : Malcolm est sanguin, hyper impulsif. Il réagit au quart de tour et peut passer d'une émotion à une autre, totalement opposée en un rien de temps. + Malcolm a trois doigts tordus, séquelles d'une nuit de breakdown où il s'est explosé les mains contre le mur de sa chambre + Y a comme un odeur d'ammoniaque chez lui, dû au crack qu'il fume.
maybe I'm defective
or maybe I'm dumb
I'm sorry, so sorry for what I've done
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Points : 117 avatar : arón piper âge : 21 yo. statut : célibataire quartier : delray _ the com
Il squat l'un des petits studios disponibles. Les chiottes sont sur le pallier et la douche n'a pas d'eau chaude est est dans un coin de la pièce. Ca fait environ 12 m2, c'est moche, y a qu'un lit une place et deux places chauffantes de branchée. Il a pris celui-ci car c'est l'appartement voisin de Draxter.
Sujet: Re: je luis de paillettes et me réduit au chaos. Jeu 24 Oct - 10:34
Azy y a un suivi psychologique de prévu après avoir lu ta fiche ? C'était si beau, et si bien écrit Je te valide avec plaisir ! Pile à temps pour la maintenance Va vite t'amuser :D _________________
Olé, bienvenue à toi. Ta fiche est désormais validée tu es un membre à part entière du forum.
Tu vas pouvoir participer à la vie rpotique de C R O C O D I L E / G A M E S. Prépare-toi, ici on aime le drama !
Pour t'aider dans tes premiers pas sur le forum, on t'a listé sur le côté tous les liens pratiques qui peuvent te servir. N'hésite pas à faire un tour d'horizon pour vérifier que tout est bon avant de te lancer.
On a hâte de voir ce que ton personnage va donner.
PS : n'oublie pas de créer ta "feuille de personnage" dans le profil afin qu'il soit complet.
Invité
Invité
Sujet: Re: je luis de paillettes et me réduit au chaos. Jeu 24 Oct - 16:42
@Malcolm Allen i'm so so sorry merci pour cette validation rapide chou. (et haut les coeurs pour la maintenance !)
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: je luis de paillettes et me réduit au chaos.