Sujet: horatio l hoy vivo mi orgullo perdido Jeu 26 Mar - 22:51
horatio velasco
/ ft. russ
"there are more things in heaven and earth, horatio, than are dreamt of in your philosophy."
nom_velasco pas très américain ça si, non on peut le dire, velasquez vous avez dit non velasco ah c'est marrant on a envie de céder de dire velasquez ben non connard c'est velasco apprend à regarder plus loin que le bout de ton cul.
prénom_horatio dans hamlet tu vois ou pas c'est un mec intègre droit dans ses bottes qui rassure le prince il lui dit tranquille ça va essaye de pas trop devenir taré quand même là tu me fais peur. voilà hé bien horatio il aurait du s'appeler hamlet plutôt.
âge_24 x 12 à traîner de douleur avec la distorsion du temps 24 x 12 c'est énorme c'est trop long 24 x 12.
nationalité_ il dit colombien horatio colombien, colombiano avec le menton en avant et la bouche qui s'étire sur le A. mais depuis plus de dix ans maintenant il a le graal de tant de déchirés en lambeaux sur les routes à la frontière il a le graal il est naturalisé américain horatio et de ce graal il n'en veut pas.
origine_colombienne. colombien pour toujours, on ne lui enlèvera pas ça, c'est la seule chose qui lui reste.
lieu de naissance_ciudad bolivar bidonville de bogota. on dit bidonville en fronçant le nez, on dit "les pauvres" on brandit la pitié en pancartes. pour horatio ciudad bolivar c'est la terre promise l'endroit où tout était possible tout pouvait encore bien tourner. c'est aussi pour qu'il se rit de l'argent, horatio. il dit, quand j'étais dans une famille sans thunes j'étais encore une possibilité d'homme quand j'ai changé de milieu ouais peut être j'ai obtenu un statut mais j'ai perdu tout le reste.
arrivée à détroit_il y a treize ans presque pile. la peur au corps l'espoir au coeur. ouais de l'espoir il y a treize ans il y en avait encore un peu, une espèce d'agréable adrénaline d'appréhension, de possibilité que cette nouvelle vie démêle toutes les autres malgré la situation merdique. peut être que tout peut être encore sauvé. spoiler de treize ans plus tard : NON.
orientation sexuelle_ à treize ans malgré les événements travaillant fort à déchirer sa vie il ne pouvait penser qu'à ça. au cul. aux filles. les hormones qui travaillent envers et contre tout est-ce que ce n'est pas un bel hommage à la vie un beau symbole qui hurle qu'elle continue malgré tout et peu importe. maintenant, le cul, qu'est-ce que c'est ? un exutoire foireux qui ne fonctionne même plus. le symbole qui marmonne qu'un être peut être brisé jusqu'au fond. et puis, c'est lui qui touche. personne le touche, lui.
statut_ gamin il n'avait qu'un rêve, trouver une femme aussi extraordinaire que sa mère, l'épouser, et être pour elle un mari aussi extraordinaire que son père. former comme eux un couple indestructible et sublime. à l'époque, ils étaient le couple de référence pour lui et il était inenvisageable que d'autres formes d'être ensemble existe. puis il a rencontré les walsh. couple marié également. couple marié rien à voir. depuis il erre de fille en fille d'abord joyeusement pour s'oublier maintenant par désespoir et rage que ça fonctionne mais sans que son cerveau ne le lâche jamais, jamais.
occupation_ qu'est-ce qu'on fait d'une carcasse vide ? on l'inscrit à quelle sécurité sociale ? quels genre de contrats peut elle signer ? pendant longtemps il paraissait évident qu'il se fabriquait un avenir flamboyant dans le deal, avec le petit exotisme de colombien qui fait bien ça passe toujours mieux. mais un dealer qui consomme ne va jamais très loin et ça s'est étouffé dans l'oeuf. grâce à une des seules personnes qui essaye de l'aider (sans qu'il s'en rende compte bien sûr), Big Ed repenti de la dope, il s'est trouvé depuis peu un taf de barman dans un rade de Krainz Woods. "cache toi dans la gueule du loup gamin, devant leurs yeux vitreux au comptoir ils ne te trouveront jamais".
suggestion de groupe_ je crois qu'au point où on en est, on ne peut parler que de croco sans limites.
caractère_ irascible horatio au point de non retour. les compromis n'existent plus, la bonne humeur pas tellement plus. on peut parler d'un avant et d'un après. ouais, l'horatio d'avant sourire scotché aux lèvres charmeur absolu le genre qui conquiert la plus difficile des belles mères le plus incorruptible des maitres d'école. le genre qui entraine tout le monde dans sa liesse et son enthousiasme. maintenant horatio pour l'entrainer à moins d'avoir un paquet de pilule en carotte ça semble impossible. foutu horatio ouais et foutu pour foutu pas vivant pour un sou. la seule chose qui le maintient c'est sa peur d'être chopé. peur en permanence vissée au corps annulée ou amoindrie par la came à la rigueur et rien d'autre. parano de première classe manipulateur hors pair égoïste absolu tout ça il ne le fait pas exprès c'est juste qu'il est en mode survie. avant, il avait en lui la graine d'un homme bon. ensuite pratiquement tout lui a été enlevé et ce qu'il restait il a décidé de l'arracher lui même sans anesthésie ou presque. passif, il ne veut plus jamais l'être. subir, plus jamais. s'il lui arrive quelque chose il doit être à l'origine de l'événement, seule sa volonté compte. s'il veut s'enfermer il s'enfermera mais personne ne l'enfermera. s'il veut se faire du mal il se fera du mal mais plus jamais personne ne lui en fera. j'ai menti pour le drame : une autre chose le maintient. la colombie comme la lumière du jour pour un noyé. son père à retrouver vivant alors qu'il y a toutes les chances du monde pour qu'il soit crevé depuis longtemps. ouais, en dessous de toute cette déchirure béante qu'est horatio il y a quand même un naïf espoir, des moulins qui le tiennent debout en équilibre précaire contre sa parano viscérale.
_L'avis de ton perso sur détroit partir oh partir partir quand partir comment et surtout pourquoi rester ? depuis qu'il est arrivé aux états unis tout en horatio le démange de partir. et voilà que treize ans sont passés et que non seulement il est toujours là mais qu'en plus il est maintenant officiellement américain. et souvent à travers les années et de différentes manières il s'est demandé mais pourquoi ? pourquoi toute cette merde ? pourquoi un an de traversée-douleur, pourquoi toutes ces années d'abus et pourtant une inertie totale, je reste. mon corps sidéré qui ne bouge plus qui ne bouge pas qui se laisse bouger. rester aux états unis c'est rester victime et c'est précisément cet état de victime dans lequel ce pays m'a plongé qui m'empêche d'en partir. parfois pourtant ça grince. la culpabilité. la sensation d'être un sale gosse pourri gâté. il sait le nombre d'américains du sud qui se tue chaque jour pour arriver ici, pour arriver à faire tamponner leurs papiers d'une once de reconnaissance administrative. besoin de se justifier permanent alors que personne ne lui demande. souvent il formule des phrases dans sa tête pour qui demanderait. oui je sais j'ai de la chance mais en fait la chance c'est une histoire de perspective. tu me dis et ta mère ? ma mère si elle savait ce qui m'attendait au bout de la route peut être qu'elle aurait plutôt risqué ma vie en colombie. peut être. peut être ? je sais pas. je ne connais pas ma mère.
_Recherche de liens femme (24 - 30) elle, elle a fait découvrir à horatio à la fois l'amour et la came. relation-poison, de celles qui transforment deux gens bien en serpents. ça s'est terminé de manière abominable et elle s'est barrée laissant horatio avec un argument de plus pour s'enfoncer dans la came comme dans les seins d'une nouvelle amante. homme (20 - 23) débarquer à l'école américaine à Pontiac quand on est tout juste arrivé sur le sol et qu'on maitrise à peine la langue, pas facile. mais avec le charisme d'horatio aucun mauvais scénar en perspective. au lieu d'être le gamin rejeté par tous c'était le king de la cour de récré. lui, une ou plusieurs classes en dessous, il l'a direct considéré comme son modèle. il suivait horatio partout, faisait tout ce qu'il faisait. jamais vu qu'horatio flanchait au retour des weekends. jamais vu sa chute. maintenant il commence à la voir, et donc commence à se détacher, et ça, ça fait un mal de chien à horatio. homme ou femme (20 - 30) dealer ou dealeuse d'horatio qui l'aime bien, qui vient lui vendre chez lui autour d'un café. il.elle voit bien qu'il s'enfonce et aimerait bien l'aider et en même temps se dit hé je suis là pour faire mon boulot je peux pas être l'ange gardien de tous mes clients, et lui vend, lui vend, lui vend, ne dit jamais non.
les anecdotes
el cielo donde yo crecí_ avoir une petite soeur c'est bien dans la culture colombienne avoir une petite soeur c'est bien tout court ça te met tout de suite dans un rôle de protecteur de modèle. maria être lumineux lumière qu'il ne faut jamais laisser éteindre. et c'était beau, ces deux gamins pleins de vie sous le soleil colombien. beaux comme l'amour dont ils étaient issus, forts comme leurs parents. leurs parents. des parents aussi absents ça devient vite des figures mythiques. horatio grandit en idolâtrant les deux. inconscient de tout ce que son pays comportait de pourri et que ses parents essayaient d'annihiler il aimait paradoxalement les deux sans s'en apercevoir. sainte trinité parents soeur pays, royaume où la poussière imite le luxe avec brio. jusqu'au dernier moment je pense qu'horatio a vécu sans savoir concentré sur sa sainte trinité de pacotille sa sainte trinité qui s'effondrait déjà ô combien. jusqu'à l'arrestation de son père l'ignorance bienheureuse de l'enfance. et le départ d'une violence innommable où il comprend à peine pourquoi on l'arrache à sa terre pourquoi on l'arrache à la possibilité qui n'est jamais morte en lui de retrouver son père. c'est une histoire d'aveuglement d'arrachement et d'incompréhension. l'enfant qui crie mais pourquoi dans la voiture d'alma est le même que celui qui gémit dans son canapé quand le manque de came se fait sentir.
Hay que luchar por cada bocanada de aire y enviar la muerte al carajo_ n'a le souvenir que de leurs mains. leurs mains pendant le voyage. celles de maria qui tremblaient, celles de leur mère sur le volant puis accrochées aux leurs, rugueuses et impérieuses, et des siennes mouillées de larmes la nuit, dans chaque planque, entre celles de sa mère encore. ses mains mouillées entre celles de sa mère la nuit, dans chaque planque, qui inlassablement lui répète les mêmes explications. il y a un vrai problème dans notre pays, horatio. la corruption dévore tout, je refuse de la laisser vous dévorer aussi, c'est pour le mieux. les farc, oui, c'est avec qu'eux qu'on se réunissait quand on vous disait d'aller jouer. ils ont embarqué ton père, oui. non, pas les farc, l'état. non, l'état ce n'est pas forcément les gentils. je ne sais pas ce qu'ils vont faire de lui, mijo. tout ira bien ne t'inquiète pas. elle lui ment comme on ment à tous les enfants du monde. peu à peu elle introduit des mots d'anglais. elle ne se rend pas compte qu'à force de répéter comme ça avec les mêmes mots horatio ne comprend pas il intègre il apprend par coeur comme on apprend une comptine. horatio ne comprend toujours pas. il marche quand on lui dit de marcher se cache quand on lui dit de se cacher et malgré tout ça continue d'essayer de protéger sa petite soeur par orgueil sans s'apercevoir qu'elle se met à le protéger aussi. la mère avance cherche répare et les deux petits sont inséparables et inconsolable. ils essayent de transformer dans leurs têtes ces états unis dont leur mère parle sans cesse en terre promise.
by the dawn's early light_ c'est trop lumineux mais lumineux artificiel néons leds qui remplacent le soleil lumière froide population néons leds qui ne se réchauffe jamais vraiment. ils tentent de faire front la nouvelle sainte trinité mère fille fils ils tentent de continuer à se raconter que c'est le salut la terre promise et que si on tient encore jusqu'à demain, c'est que ça ira. puis encore jusqu'à demain, et ça ira. etc. alma se tue en démarche pour trouver un appart pourri un job au black une école pour eux et avec toute l'injustice dont un enfant est capable horatio ne comprend pas pourquoi elle ne se tue pas plutôt à envoyer des lettres et demander aux gens, à tout le monde, ce qu'il en est, pour retrouver leur père, son mari. il ne mesure pas le danger. il n'a encore rien appris. encore une fois, jusqu'au dernier moment il vivra comme si rien n'était grave. jusqu'à ce que sa mère soit arrêtée et déportée il vivra comme si rien ne se passait. l'enfance d'horatio a fait de lui l'homme capable d'ignorer les quatre éléphants au milieu de la pièce.
lagrimas de oro_ avoir une petite soeur c'est bien dans la culture colombienne c'est bien tout court. mais horatio regarde leur mère être arrachée à eux, leur appartement, leur équilibre précaire qui venait enfin de prendre forme, il regarde tout lui être arrachée une nouvelle fois et il se dit, je ne dois pas pleurer devant maria. ni maintenant ni jamais. alors il serre ses petites lèvres et ses narines s'ouvrent mais rien d'autre ne bouge. il serre les petites mains de sa soeur et ses narines s'ouvrent mais rien ne bouge. pas un sourcil ne se soulève quand on les entraine dans un bureau qu'on leur explique ce qui va se passer et qu'il n'entend pas, quand ils se retrouvent en foyer, qu'on leur explique ce qui va se passer et qu'il n'entend pas. il a bien compris qu'avoir une petite soeur c'était bien dans la culture colombienne c'était bien tout court mais que ça se considère peut être un peu trop vite comme acquis et qu'il ne s'agit pas que de protéger mais également de partager de profiter de s'ouvrir. pour la troisième fois de sa vie, horatio ferme ses yeux à l'évidence.
segundo viaje_ encore une fois jusqu'au dernier moment. jusqu'au dernier moment il ne soupçonne pas ce qu'on va lui enlever, encore. il comprend quand cette fois ils ne sont pas tous les deux amenés dans le même bureau mais chacun dans une pièce différente. puis qu'ils sont remis dans la même pièce, mais "pour se dire au revoir", ils disent. là vient le moment où horatio parle espagnol pour la dernière fois de sa vie. il parle espagnol pour la dernière fois de sa vie avec maria. après il cadenassera cette langue comme tout le reste au plus profond de lui pour ne la réouvrir que quand il retrouvera sa terre. il ne voit pas maria partir. il ne voit pas le visage des gens qui l'emportent. dans la voiture qui se dirige vers pontiac il ne se rend même pas compte que ces gens qui sont venus pour l'emporter ne lui parlent pas du tout, n'a pas la présence d'esprit de se dire que ce n'est pas normal, de ne pas parler à un enfant qu'on vient d'adopter. il se laisse trainer sur la route dans une voiture aux odeurs inconnues, trop propre. il ne pense à rien. sa respiration prend toute la place dans son cerveau. régulière, irrégulière, régulière, irrégulière. pas pleurer. je suis encore le grand frère même si de petite soeur il n'y a plus.
malamente_ les walsh. pourquoi personne de l'assistance publique ne se renseigne avant de refiler un gamin colombien à des suprémacistes blancs ? qu'ils soient des pervers psychopathes ça, dur à cerner. mais des suprémacistes ? au moins ce petit effort là ? alors horatio grandit dans une haine perpétuelle, renouvelée sans cesse, et la haine a une inventivité sans limites. frappé, brulé, tapis pour les pieds, cible de fléchettes (heureusement ça ne vise pas très bien de loin chez les walsh), parfois bien que rarement on attente à sa pudeur, pour dire poliment une chose terrible. ça ne sert à rien de s'attarder sur les multiples tortures et humiliations que sa famille adoptive a fait subir à horatio pendant cinq ans sans interruption autre que l'école. ce qui reste, c'est l'individu que ça a détruit, l'enfant qui s'est vu arracher encore un peu plus, encore un peu plus de ce qu'il ne soupçonnait pas arrachable. son sourire à la poubelle. acide citrique et pierre ponce sur l'innocence et la fierté. acide citrique et pierre ponce sur tout. il y a elle, cette fille, qui surgit dans sa vie comme un réveil matin. par hasard quand il traine sur un terrain vague derrière le lycée - par hasard qu'il s'accorde un instant de répit avant de rentrer "chez lui". ses yeux sont fous et il n'est pas capable de comprendre leur brisure mais elle l'emporte l'obsède et bientôt il est en permanence enfoui dans sa chevelure au propre comme au figuré. on leur a fait mal toute leur vie à ces deux là, assez pour qu'ils ne soient plus capables de savoir que l'amour ça ne se donne pas par la douleur, et alors ils se font mal, se font mal en permanence par détresse de s'aimer, par désir de s'aimer. elle lui fait découvrir la came, l'amour, la possibilité d'une vie ailleurs malgré l'absence de mode d'emploi. et puis un jour elle disparaît et l'absence, le nouvel arrachement ouvre ses paupières. ses paupières qui sans qu'il s'en aperçoive cachent aussi cette même brisure qui l'a tant obsédé chez elle.
amparo roca_ à dix huit ans alors, ça explose. si elle n'était pas passée dans sa vie il est probable qu'il se serait laissé détruire jusqu'au bout par les walsh. par jusqu'au bout j'entends, il les aurait laissé tuer son corps aussi. mais voilà que c'est lui qui se tient pour une fois au dessus de leurs corps et dans la paume dans sa main ne sent même pas le manche du couteau mais force est de constater qu'il s'y tient et que le sang gicle partout. pas le sien. pas le sien. c'est une autre sorte d'apnée qui commence, quand il laisse tomber l'arme se nettoie méthodiquement et sans autre forme de procès se barre, se barre une fois pour toute. il aura gardé son corps. il arrive à détroit comme il y était arrivé la première fois, tremblant et les mains humides de larmes. il retrouve sa soeur et d'abord n'y croit pas, et bien vite le réflexe de prendre les choses pour acquises se remet en place. sous prétexte de l'inexistence lui demande de tout faire. il s'enterre horatio dans la came dans le désespoir dans ses démons et son corps tout cassé, il s'enterre et le grand frère se laisse protéger par la petite soeur. plus tard elle lui dira de se casser. alors encore plus la came, l'enfonce. quand on est brisé comme l'est horatio, tout devient une excuse. et après quoi ? après big ed et "mj" comme elle se fait appeler maintenant les seules personnes qui le forcent à continuer à vivre. jusqu'à ce qu'un jour au détour d'un vieux journal qu'il utilise pour cacher les thunes du deal il tombe sur la photo de son père. le vieux journal est tout effacé, déchiré, ce n'est qu'une coupure, pas de légende. est-ce que c'est vraiment son père ? il le croit ferme. plus rien d'autre à faire que croire. c'est son père, s'il est sur un journal c'est qu'il est vivant, et s'il est vivant c'est qu'ils se retrouveront. il n'en parle même pas vraiment à maria. il remet tout doucement la machine en route. il abandonne le deal pour les raisons que l'on sait se laisse procrastiner sur le canapé parce qu'à un désespéré les bouffées d'espoir sont diesel, big ed le fout barman dans le quartier blanc pour conjurer ses paranos et lentement mais surement, ouais, la machine se remet en route. peut être.
Prénom / Pseudo_ appo. Âge presque 30 oh my. Pays / région / ville france / ile de france / paris Autre(s) compte(s)_ not yet Ton perso_ scénario. Comment as-tu connu le forum_ bazzart.
(je suis nul en code va falloir être patient. je suis aussi lent va falloir être patient. j'ai faim. BISOUS.)
<bottin1>[size=8]@"PERSONNAGE PRINCIPAL"[/size]</bottin1> / [url=URL DU PROFIL]@[/url]prénom nom1, [url=URL DU PROFIL]@[/url]prénom nom2
MJ Velasco
Feuille de personnage : Des cheveux toujours mal coiffé d'un demi-chignon de traviole, des traces de bagarre partout, un accent à couper au couteau, un anglais vraiment bof, un papillon de nuit de tatoué sur une fesse
[ IF I BLOW YOUR BRAIN OUT
I COULD GUARANTEE YOU'LL FORGET HIM ]
Si tu ne m'aimes pas, je t'aime.
Et si je t'aime, prends garde à toi.
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Points : 67 avatar : jessie reyez âge : 22 yo. statut : célibataire _ jamais accro à la bonne fille quartier : dans une colocation atypique en plein coeur de MexicanTown avec sa vraie famille.
Sujet: Re: horatio l hoy vivo mi orgullo perdido Jeu 26 Mar - 23:05
OH. MY. GOD.
TU SAIS PAS DEPUIS COMBIEN DE TEMPS JE T'ATTENDS TOI JE SUIS SI HEUREUSE, OHLALALALA ENFIN, ENFIIIIN HORATIO
En tout cas, j'arrive tout de suite dans tes mps et j'ai si hâte, si hââââte de lire ce que tu nous prépares pour Horatio et de jouer ce lien ohlala.
Breef, j'arrive, j'arrive, mais trop contente. Voilà fallait que j'exprime ma joie.
Seven Popescu
Feuille de personnage : dents en vrac, toutes de travers | tatouages pourris | main gauche balafrée (poignardée) et à la motricité un peu réduite | cicatrice sur l'épaule gauche (poignardée), cuisse droite (balle), bras gauche (balle), côté droit du ventre (balle) | traces de piqûres sur les bras | nez qui saigne trop facilement | mains souvent abîmées | toujours énervé | l'air de ne pas avoir dormi depuis trois siècles
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then it went dark,
and it rained and rained and rained
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Sujet: Re: horatio l hoy vivo mi orgullo perdido Jeu 26 Mar - 23:05
olala mais trop bon choix de scénario omg j'ai super hâte de voir ta fiche se remplir, mais le peu qu'on peut déjà lire est grave cool (et j'ai aussi hâte de stalker le drama familial avec mj lalala ) bienvenuuuue
Zaza Molina
j'me tape mes bff pour pas leur parler
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Points : 111 avatar : nat weaver âge : 23 ans statut : célibataire, la tête occupée par un gars qu'elle fait mariner malgré elle. quartier : à north end, elle vit encore chez ses parents. faut dire qu'elle aime vivre là-bas, y a toute sa famille qui passe en permanence, c'est un putain de squat et zaza n'a pas le cœur à vivre toute seule. le silence lui fait peur et se retrouver en tête à tête avec ses démons aussi.
Sujet: Re: horatio l hoy vivo mi orgullo perdido Jeu 26 Mar - 23:07
hola
J'SUIS TROP TROP CONTENTE QUE LE FRANGIN SOIT LA PTN (je te redonne ta soeur, j'en veux plus, elle est trop naze ) j'ai trop trop hâte de lire ta fiche, de voir ce que tu vas faire du personnage et DE RP AVEC TOI OUIIII
c'est vraiment trop trop cool que tu prennes horacio sans dec VITE VITE MAINTENANT (non tkl te met pas la pression )
si t'as besoin de quoi que ce soit, n'hésite surtout pas
Points : 270 avatar : nicola peltz. âge : vingt-trois ans. statut : c'pas clair. pas déterminé. pas énoncé à haute voix. mais c'tout comme. y a plus qu'ares qui compte. quartier : krainz woods, dans un appart un peu pourri, mais qu'elle a arrangé à sa sauce avec ares, son frère. et les voisins se plaignent, mais c'est pas comme si les kaiser en avaient quelque chose à foutre.
Sujet: Re: horatio l hoy vivo mi orgullo perdido Jeu 26 Mar - 23:07
omfg le frère valesco super choix de scénario
hâte de tout savoir sur horatio et je plussoie mvdd : hâte de stalker le drama familial comme jaja
but i am not hercules,
not even a distant relative.
Points : 127 avatar : Dimitri Simms (Meechy Darko) âge : Vingt-huit ans. statut : Désillusionné. quartier : MexicanTown. Les trois verrous de la porte sont plus dissuasifs que le dobermann de Dom.
Sujet: Re: horatio l hoy vivo mi orgullo perdido Jeu 26 Mar - 23:16
UN HORATIO excellent choix de pl je viendrai t'embêter pour un lien dès que t'auras fini, Deandre et lui se croisent forcément dans l'immeuble où habite MJ et bon courage pour ta fiche
Invité
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Sujet: Re: horatio l hoy vivo mi orgullo perdido Ven 27 Mar - 8:56
bababa, c’est que ça promet tout ça ! hâte de voir la suite, hâte de voir la fratrie en action bienvenue par ici, écris bien
Ares Kaiser
Feuille de personnage : tattoos, cheveux blonds et yeux bleus. phalanges toujours égratignées. cicatrices qui parsèment la peau à cause des combats récurrents.
Points : 283 avatar : mgk (colson baker) âge : vingt-six tours de la terre au cul, et pourtant toujours pas de date pour marquer l'histoire. statut : résigné, tu sais qu'c'est pas bien d'penser à elle comme ça alors tu te perds entre les cuisses des autres. quartier : krainz woods. petit appart que tu partages avec ta soeur. ça te permet d'la surveiller de plus près.
Sujet: Re: horatio l hoy vivo mi orgullo perdido Ven 27 Mar - 10:03
mon dieu le frère de mj, j'suis pas rendu moi non sans dec, bienvenue par ici, t'étais fort attendu alors j'ai hâte de lire ce que tu nous réserves
Invité
Invité
Sujet: Re: horatio l hoy vivo mi orgullo perdido Ven 27 Mar - 10:53
ça aurait été trop stylé hamlet comme prénom outre ça il me tarde de lire la fiche en entier vu les débuts prometteurs apparemment t'as fait plein d'heureuses alors sois vite validé qu'on voit tout ça en rp
Invité
Invité
Sujet: Re: horatio l hoy vivo mi orgullo perdido Ven 27 Mar - 14:11
hé béh, quel accueil ! ça fait plaisir ça motive grave (ou ça fout la pression, au choix)
merci vous
Invité
Invité
Sujet: Re: horatio l hoy vivo mi orgullo perdido Ven 27 Mar - 17:42
bon, ben. pardon du dp mais, je crois bien que j'ai fini. merci d'avance !
MJ Velasco
Feuille de personnage : Des cheveux toujours mal coiffé d'un demi-chignon de traviole, des traces de bagarre partout, un accent à couper au couteau, un anglais vraiment bof, un papillon de nuit de tatoué sur une fesse
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Si tu ne m'aimes pas, je t'aime.
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Points : 67 avatar : jessie reyez âge : 22 yo. statut : célibataire _ jamais accro à la bonne fille quartier : dans une colocation atypique en plein coeur de MexicanTown avec sa vraie famille.
Sujet: Re: horatio l hoy vivo mi orgullo perdido Ven 27 Mar - 18:06
THIS WAS TOO MUCH Le coup de la cible de fléchettes et du tapis pour les pieds noooaaaan, leave horatio alone, et le "il aura gardé son corps." ÇA M'A BRISÉ LE COEUR CETTE FICHE OK. Bref, je suis fan, fan, FAN de ta fiche et tu as si bien cerné Horatio, je suis JOIE tu peux pas t'imaginer Vite, vite, vite maintenant on va rp _________________
Olé, bienvenue à toi. Ta fiche est désormais validée tu es un membre à part entière du forum.
Tu vas pouvoir participer à la vie rpotique de C R O C O D I L E / G A M E S. Prépare-toi, ici on aime le drama !
Pour t'aider dans tes premiers pas sur le forum, on t'a listé sur le côté tous les liens pratiques qui peuvent te servir. N'hésite pas à faire un tour d'horizon pour vérifier que tout est bon avant de te lancer.
On a hâte de voir ce que ton personnage va donner.
PS : n'oublie pas de créer ta "feuille de personnage" dans le profil afin qu'il soit complet.
Invité
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Sujet: Re: horatio l hoy vivo mi orgullo perdido Ven 27 Mar - 18:21