(tw: hot) (arena) yeux disent.

Elle a la dalle, Athéna. Tu l’sens, ça s’voit sur les traits de son visage, ça s’perçoit dans ses gestes demandeurs et ça transperce ses yeux lubriques. Toi, faut dire qu’t’y as même pas pensé, dernièrement. Ça t’a jamais traversé l’esprit. Mais là… ouais, là, y’a un truc qui s’passe et t’as envie. Envie d’la remercier comme il se doit pour le cadeau qu’elle t’a fait. Sauf que c’est elle qui vient chercher, c’est même pas toi qui donnes pour l’instant — elle vient jusqu’à mordre la peau de ton cou. Et tu répliques, elle rit à ta remarque. Mais toi t’es sérieux, elle va vraiment te laisser une marque ? Comment t’es censé être crédible face aux autres si t’as l’air d’une chienne en chaleur ? Elle arrête de mordre, yeux qui fixent ton cou avant de revenir dans les tiens. "et si c'est le cas?" Tu lèves les yeux au ciel. "Trop tard, hein?" Ça s’voit dans ses yeux qu’elle a déjà laissé sa trace, elle a un sourire bien trop satisfait pour qu’ce soit innocent. Tu poses tes mains sur ses hanches pour la garder contre toi, appuyer un peu plus sur son bassin. "t'as le droit à autant de cadeaux que tu veux." Ton sourire s’élargit un peu plus à ses mots, d’autant plus quand sa main passe sur ton torse et que l’autre se loge entre tes jambes. Et Athé, elle perd pas d’temps, elle va direct dans le caleçon, peau contre peau. Et tu pinces les lèvres — ouais, tu réagis instantanément. "dis-moi ce que tu veux, ares." Ton rythme cardiaque qui s’accélère, tes yeux qui se ferment quand elle vient lentement t’embrasser. Trop lentement. Elle joue avec tes nerfs, elle le sait. Et ça lui fait plaisir. P’têtre même que ça l’excite de t’torturer un peu comme ça. Te rendre la monnaie d’ta pièce, pour l’avoir fait attendre ce dernier mois. "Suce-moi." Parce qu’une pipe dans les toilettes crasseux du Bloc, ça vaut clairement pas une pipe d’Athé. Et t’es persuadé qu’en plus, elle t’a pas encore montré tous ses talents. Tu rouvres les yeux pour les planter dans les siens. "J’vais pas te supplier. Suce-moi Athé." C’est assez clair pour elle niveau communication ?

tournure inattendue des événements, mais honnêtement? athéna aurait pas demandé mieux. et surement qu'il faudrait qu'elle se calme, mais ça fait plus d'un mois. beaucoup trop long pour elle. alors évidemment qu'elle est en chien. évidemment qu'elle s'agrippe. le suçon dans le cou d'ares? ça, c'est juste pour son petit plaisir personnel. et même si ça l'emmerde, à ares, athéna s'en fout. certes, c'est son anniversaire, mais c'est déjà trop tard maintenant. la marque est déjà là. oops. "Trop tard, hein?" athéna hoche la tête, sourire aux lèvres, toute fière d'elle. les mains d'ares viennent agripper ses hanches et athé est prête à lui offrir tous les cadeaux qu'il veut. surtout dans cette catégorie. et y a déjà sa main qui se glisse dans le caleçon d'ares, caresses légères mais appuyées quand même. autre main sur son torse. et ça lui plait à ares, tant mieux, c'est le but. et peut-être qu'elle le provoque, en venant l'embrasser doucement, beaucoup plus lentement que d'habitude. mais elle aime bien, elle s'amuse, veut qu'il lui dise ce qu'il veut oralement. "Suce-moi." regard qui vient se poser dans le sien, athéna se mord la lèvre, sourire en coin. pas de problème. tout de suite. "J’vais pas te supplier. Suce-moi Athé." "pas besoin de me supplier, c'est ton anniversaire." qu'elle répond du tac au tac, mais elle avoue qu'elle prend son temps. d'abord elle pose ses lèvres sur son torse, juste avant de se redresser pour lui enlever son caleçon. elle le regarde dans les yeux tout du long. même quand elle penche la tête et s'approche de son entrejambe. elle commence en léchant de bas en haut. agrippe doucement la base avant de le prendre dans sa bouche. mais elle commence lentement. encore et toujours. parce qu'elle aime bien le torturer. mais comme il a dit qu'il voulait pas supplier, athé y va graduellement, pour pas qu'il s'impatiente. un peu plus profond à chaque descente. jusqu'à sa main qu'elle enlève et décale sur la cuisse d'ares. jusque-là, c'est tranquille. c'est pour ça qu'athéna apporte des précisions. "tu peux appuyer sur ma tête s'tu veux" qu'elle dit juste avant de recommencer et le prendre entièrement dans sa bouche. c'pas pour se vanter, c'est juste parce que c'est plus facile de rester en bas s'il y a sa main. et ça sera encore plus agréable pour lui, mais il fait comme il a envie. c'est juste pour qu'il sache que ça la dérange pas.

Elle veut qu’tu demandes. L’truc c’est que t’as pas trop l’habitude, toi. Tu prends sans demander la plupart du temps. Et la communication, c’est pas trop ton truc. Surtout dans ce genre de situations. Mais tu sais qu’c’est ce qu’elle veut. Quand vous en aviez parlé l’autre fois, elle t’avait dit qu’il fallait pas que t’hésites à réclamer, à dire c’que tu voulais. Alors tu tentes. Tu lui demandes de but en blanc de te faire une pipe. Et c’est chelou en vrai. T’as l’impression qu’ce genre de choses, ça arrive dans le feu de l’action. Si ça doit s’faire, ça s’fait. Et si ça s’fait pas, bah ça s’fait pas, tant pis. L’principal, c’est qu’ça a l’air de lui plaire, à Athé. "pas besoin de me supplier, c'est ton anniversaire." À ton sourire d’esquisser un petit sourire. Mais elle prend son temps, la petite. Elle te désappe et tu t’retrouves entièrement nu — de bon matin, ça fait plaiz. Et le regard qu’elle a sur toi, t’y es toujours pas vraiment habitué. C’comme si c’était pas elle. Pas la soeur que tu connais. Que t’as toujours connu. Pensées qui s’évaporent quand elle te prend en bouche. Tu viens poser ta main sur l’arrière de son crâne — pas de pression, juste pour la poser quelque part quoi, avoir un contact avec elle. Et tu soupires de plaisir quand tu sens sa langue se jouer de toi. Mais elle s’arrête pour parler. "tu peux appuyer sur ma tête s'tu veux" Tu fronces un peu les sourcils quand tes yeux croisent les siens avant qu’elle n’enroule à nouveau ses lèvres sur toute ta longueur. "T’es sûre ? Fin j’veux dire… J’veux pas te faire mal en allant trop loin." Toi, tu veux bien qu’elle aille trop loin. Pour toi, ça va être cool. Mais pour elle ? Pas sûr. Et l’but, même si t’es égoïste, c’est qu’elle aussi kiffe le moment. Tu veux juste pas la forcer, la bloquer dans une position qui lui serait inconfortable. Parce qu'après tout, elle et toi, vous avez jamais fait ça. Une pipe, ouais. Plus poussé que le classique ? Non. Et t'es loin de te douter de comment elle est, Athé, dans sa sexualité. Encore un terrain à explorer.

athéna a l'habitude de toujours faire savoir ce qu'elle veut, alors évidemment qu'elle a envie qu'ares fasse pareil. c'est son anniversaire, il peut demander ce qu'il veut, alors autant qu'il en profite. quoi qu'il pourrait lui demander tout et n'importe quoi n'importe quand et ça serait le même résultat, mais c'pas le propos. et sans sa demande, athéna aurait continué de le torturer juste pour qu'il finisse par réclamer quelque chose. juste pour le plaisir. et à peine ares fait sa réclamation qu'athéna s'active déjà. mais à sa manière. lentement au début quand même juste pour le faire monter en pression encore un peu. juste avant de lui retirer les derniers vêtements qui font barrière, dont son caleçon. athéna fait exprès de le regarder dans les yeux, parce qu'elle aime bien avoir ses réactions en live - et parce que ça l'excite aussi. elle commence à sucer, lentement au début, sans aller trop loin. sent la main d'ares qui se pose sur l'arrière de sa tête. mais il fait pas pression. alors elle lui précise qu'il peut s'il a envie juste avant de le prendre dans sa bouche entièrement. "T’es sûre ? Fin j’veux dire… J’veux pas te faire mal en allant trop loin." athéna remonte, lèche en passant et comme sa bouche oeuvre pas à la tache, sa main prend le relai. elle hausse un sourcil en le regardant, l'air de dire 'tu m'prends pour qui en fait?'. "ouais, ares, j'suis sûre. certaine même. à 100%. tu m'feras pas mal et si vraiment faut que tu relâches la pression, t'inquiètes, j'te le ferai savoir." pas oralement, parce que clairement ce sera compliqué, mais elle a des mains et elle peut taper sur sa cuisse pour lui faire comprendre qu'elle a besoin de respirer si vraiment il appuie longtemps. et encore, ça la dérange pas vraiment. mais elle veut pas faire un malaise non plus, c'pas le but. enfin, pas dans ces circonstances. et elle sait très bien qu'il se retient juste pour ça, de peur de lui faire mal. mais vraiment, c'pas la première fois qu'athé fait ça, il a pas besoin de s'inquiéter pour elle. et pour appuyer ses propos, elle le reprend dans sa bouche et s'met à faire des vas-et-viens juste pour lui montrer que franchement, ça devrait bien se passer. et même si ça fait un peu mal, c'pas grave. athéna s'en fout.

Pas dans tes habitudes de demander. Tu prends sans savoir c’que l’autre veut (ou pas). Mais avec Athé, c’est différent. Tu veux pas la brusquer. Tu veux pas la forcer à faire quoi que ce soit. Tu veux pas la choquer. Tu veux pas lui faire mal, non plus. Y’a pleins de trucs qui t’font flipper quand ça concerne ta soeur, parce que tu la surprotèges, tu l’as toujours fait, c’est le but de ta vie, et t’aurais jamais voulu l’imaginer comme ça. En train de baiser. Bon, c’est différent là, certes — c’est avec toi. Mais tu préférais la voir dans ta tête comme une meuf pure, innocente. Non, elle se tape pas la moitié de Detroit. Non, elle se touche pas quand t’es là. Non, elle a pas de sextoys. Dans ta tête, c’est mieux comme ça. Alors quand elle te dit qu’tu peux appuyer sur sa tête, tu fronces les sourcils. Déjà elle a l’air à l’aise avec l’idée — ça veut dire qu’c’est pas la première fois et franchement, t’aurais voulu éviter de penser à ça là maintenant, tu voudrais pas débander. Et quand tu émets à l’oral tes réserves, elle se redresse, sa main continuant de te caresser, sourcil haussé l’air de dire ‘tu te fous de ma gueule?’. Et t’aimes pas trop ça, mais tu dis rien. "ouais, ares, j'suis sûre. certaine même. à 100%. tu m'feras pas mal et si vraiment faut que tu relâches la pression, t'inquiètes, j'te le ferai savoir." Wow, son niveau de confiance te prend clairement de court. Mais elle, elle a pas l’temps de niaiser visiblement puisqu’elle replonge entre tes jambes et s’met à faire des vas et viens sur ta longueur. Et toi, tu t’détends, peu à peu. Effaces les mauvaises pensées de ton esprit, ta jalousie, tes appréhensions. Tu profites juste du moment, elle peut même l’entendre à ta respiration qui s’fait plus irrégulière. Et puis finalement, t’appuies sur l’arrière de sa tête pour qu’elle aille plus loin. Parce que t’as envie de plus. Et à chaque fois que tu sens les muscles de sa gorge se raidir, tu relâches la pression pour qu’elle puisse reprendre son souffle et continuer de plus belle. Et finalement, après une bonne dizaine de minutes, tu la tires par les cheveux pour qu’elle remonte vers toi. "Stop." Souffle court, tu passes ta langue sur entre tes lèvres pour les humidifier. "J’ai compris que t’étais kinky mais j’vais quand même pas terminer dans ta bouche." Parce que bon, c’est dégradant nan? Puis c’est un peu sale, on en fout toujours un peu partout dans ces cas là. Et puis, t’as p’têtre envie de plus, finalement. Une pipe, c’était bien. Mais pas suffisant. "Viens là." Qu’tu dis en la tirant vers toi, te redressant un peu. Tu rabats son short et sa culotte sur le côté pour venir glisser tes doigts entre ses cuisses. "Eh ben…" qu’tu dis en esquissant un petit sourire, ravi d’voir l’effet qu’ça lui fait à elle aussi. "Monte-moi d’ssus." Qu’tu réclames en glissant tes mains sous ses fesses pour l’attirer davantage contre toi. "S’te plaît." Qu’tu rajoutes finalement en posant les yeux dans les siens, petit sourire amusé aux coins des lèvres.

non, athéna, ça va pas la déranger si ares appuie sur sa tête. parce que de base, elle trouve ça étrange qu'il le fasse pas de lui-même. en général, les gars demandent pas vraiment l'autorisation d'athé avant de le faire en fait. et si d'autres l'ont fait, clairement, ça la dérangera encore moins si c'est ares qui le fait. parce que s'il voit qu'elle galère vraiment, il va pas la laisser faire un malaise sur sa queue. en bref, elle lui fait confiance et elle sait que ce sera plus agréable pour lui et elle, ça la dérange pas, donc pourquoi pas? ce serait dommage de se priver. d'autant que niveau douleur, tranquille, ça devrait bien se passer, elle s'fait pas de soucis là-dessus. et à peine elle a terminé sa phrase qu'elle le reprend déjà dans sa bouche, juste pour appuyer ses propos, lui montrer que vraiment, y a pas de problèmes. et au bout de quelques vas-et-viens, elle l'entend se détendre, ou plutôt apprécier ce qu'elle fait. ce qui l'encourage à aller un peu plus vite. finalement, ares pose sa main et commence à appuyer. jamais trop longtemps, suffisamment pour que ça devienne inconfortable, mais pas suffisamment pour qu'elle ait besoin de lui faire comprendre qu'elle a besoin de respirer. athéna s'adapte, accepte le rythme qu'il installe et en vrai, ça l'excite qu'il fasse comme il veut et de devenir l'instrument de son plaisir. "Stop." qu'il dit juste avant de la tirer par les cheveux pour la forcer à se redresser. athéna s'essuie la bouche. "J’ai compris que t’étais kinky mais j’vais quand même pas terminer dans ta bouche." athéna hausse les épaules, ça l'aurait pas dérangé, mais il fait comme il veut, c'est son anniversaire, c'est lui qui décide. mais comme il a dit un 'quand même' elle se retient de répondre. une autre fois. "Viens là." petit sourire en coin en entendant ça, athéna le laisse la rapprocher de lui, ses mains venant se poser sur ses épaules tandis qu'elle l'observe. elle sent ses doigts décaler sa culotte et son short et se glisser entre ses cuisses et elle s'mord la lèvre en continuant de le fixer. "Eh ben… Monte-moi d’ssus." et en plus de réclamer oralement - qu'il continue comme ça, d'ailleurs, athéna aime bien -, ares agrippe ses fesses pour la rapprocher encore plus de lui. "S’te plaît." "comme si t'avais besoin de me supplier pour ça" athéna secoue la tête, amusée, tandis qu'elle vient l'aligner contre elle juste avant de commencer à descendre. "putain" ça sort tout seul, parce que vraiment, un foutu mois qu'elle attend ça et ça fait du bien. et elle attend pas plus longtemps avant de se mettre à bouger de bas en haut, encore et encore. elle croise son regard, s'agrippe à sa nuque. y a moyen qu'elle griffe, mais elle fait pas vraiment attention à ça. trop concentrée sur lui, sur ce qui se passe plus bas et le plaisir que ça lui procure pour faire gaffe à ce que font ses doigts.

La pression monte au fur et à mesure de ses vas-et-viens, et ouais, puisqu’elle t’a dit que c’était ok, ta main appuie sur l’arrière de son crâne pour la faire aller plus loin. Jamais trop longtemps, tu reconnais les signes, mais suffisamment pour qu’ça te fasse perdre pied. Suffisamment pour qu’tu lui dises d’arrêter, qu’tu la forces à le faire en la faisant remonter vers toi. Tu veux pas venir dans sa bouche, tu veux pas venir maintenant tout court. Vous n’allez pas vous arrêter en si bon chemin — tu sais qu’ça lui a manqué, et pour tout avouer, tu t’en rends compte c’matin aussi que t’as perdu du temps et de nombreuses occasions ce dernier mois à cause de ta mauvaise humeur. Tu la rapproches de toi, ses mains se posent sur tes épaules pour se maintenir en place. L’une de tes mains glisse entre ses jambes pour tâter le terrain et tu la rapproches un peu plus quand t’as la confirmation qu’elle est prête. "comme si t'avais besoin de me supplier pour ça" Et sans plus attendre, elle s’empale sur ta longueur dans un râle de plaisir. "putain" Et c’est à l’unisson qu’tu gémis également. Elle se met à onduler du bassin, s’agrippe à ta nuque. Regards accrochés. Gémissements partagés. Tu accompagnes ses mouvements en t’agrippant à ses hanches, coups de reins plus violents. L’une de tes mains qui repart entre ses jambes, histoire de venir la caresser en même temps. Histoire de lui faire perdre la tête rapidement. Parce qu’honnêtement, t’as envie d’exploser. Mais tu le feras pas tant qu’elle le fera pas. Toujours ensemble. Même dans c’genre de cas.

ares stoppe athéna, parce qu'il veut pas venir dans sa bouche. et même si ça aurait pas dérange athé, ce qui la dérange encore moins, c'est ce qu'il propose juste après. pas difficile et elle l'a déjà dit: c'est son anniversaire, ares peut demander tout ce qu'il veut. et tant que ça concerne le sexe, athé est totalement opérationnelle. alors elle met pas longtemps avant de s'exécuter, avant de venir lui 'monter dessus'. et un gros mot quitte ses lèvres direct quand elle le fait glisser en elle. mot qui se transforme en gémissement la seconde d'après. elle s'agrippe à ares, vient chercher son regard au moment même où elle commence à onduler son bassin. les mains d'ares se posent sur ses hanches, viennent l'aider à aller encore plus vite. c'est rapide et violent - preuve du foutu manque, que ça faisait trop longtemps. et plus ça va et plus les doigts d'athéna s'agrippent fort à lui, ancrage qui lui évite de perdre pied trop vite. sauf que sa concentration s'envole peu à peu - encore plus quand ares laisser glisse ses doigts entre ses cuisses pour venir la caresser. c'est trop et même temps, elle veut pas qu'il arrête. gémissements de plus en plus bruyants. "je..." mais elle arrive pas à finir sa phrase, parce que putain. putain. putain. sa tête part en arrière, tandis que son corps se contracte, tandis que l'euphorie l'envahit. ares la suit de près et elle peut pas retenir le sourire qui débarque sur son visage quand elle redresse la tête vers lui. et juste avant de se redresser, elle vient chercher ses lèvres. "joyeux anniversaire" qu'elle lâche, amusée - mais c'pas fini. non, c'est que le début de la journée.